Je fais soft puisque je perd rapidement pied quand j'essaye de faire une présentation sortant de l'ordinaire et vous présentes mon deuxième essais: Tibiscuit! Applaudissez le bien fort s'il vous plait, il a un trac d'enfer!
Identité
Nom: Gingerbread
(Pain d’épice)Prénom: Lad
(Garçon)Surnom(s): Tibiscuit
Âge: 17 en apparence
Date de naissance: //Perdue//
Emploi: Chasseur de prime…
Ville natale: Wonderland
Orientation sexuelle: Hétéro sexuel (a priori)
Don : On ne peut se souvenir de se à quoi il ressemble que quand on l’a face à nous. Dés qu’il repartira, vous oublierez totalement son physique jusqu’à se que vous le croisiez à nouveau, et ainsi de suite…
Fort pratique pour passer inaperçus. Malédiction: Il doit accomplir au moins une BA par jour sinon il redevient un petit biscuit pour la journée suivante.
(Dur à additionner avec son emploi… Mais il a tellement peur de redevenir une créature mangeable qu’il fait tout pour l’accomplir.) Personnalité
Ce garçon, bien qu’ayant 17ans d’apparence, pourrait très bien en avoir 7 parfois. En effet, comme les enfants, il adorerait passer son temps à jouer et à rire, ne s’occupant que de lui-même. D'ailleurs, il a le caractère pour ça. Toujours souriant, le rire sur le bout des lèvres, il s’amuse de tout et de tout le monde. Sa citation préférée ? Mieux vaut en rire qu’en pleurer !
Mais ne vous fiez tout de même pas à son sourire charmeur. Redoutable chasseur de prime, il est très intelligent mais, mieux encore, perspicace. Chose à ne jamais oublier : Il fera tout pour ne jamais se revoir en tant que pain d’épice. Et pour ça, il doit accomplir au moins une bonne action par jour. Ce n’est pas aisé et il est capable de vous mettre dans les ennuies pour pouvoir vous en sortir et apparaître comme un sauveur.
Fan des charades, casse-tête et énigmes en tout genre, il aime beaucoup qu’on lui en soumette et aura un grand respect pour ceux qui arriveront à résoudre les siennes. Son personnage préféré dans la ville ? The Mad Hatter. Il trouve ce personnage fascinant et passe de temps en temps devant son salon de thé juste pour avoir le plaisir de l’apercevoir. Il ne s’est cependant jamais montré, bien trop nerveux pour oser.
Maintenant, il est également très sérieux quand il se met en chasse et se transforme totalement, devenant un personnage au charisme indiscutable avec une vivacité d’esprit incroyable. Gare à toute personne en fuite qui croisera sa route. Tibiscuit veille…
Tibiscuit… Son créateur lui a donné se surnom et, honnêtement, il aurait adoré s’en débarrasser le plus vite possible. Mais le sobriquet c’est répandu et, avant même qu’il n’ait le temps de protester, il ne contrôlait déjà plus la situation. En effet, essayez de le comprendre. Comment voulez-vous qu’il soit prit au sérieux avec un surnom pareil ? C’est totalement ridicule. Oh évidement c’était parfait quand il paraissait avoir 5ans, mais maintenant…
En bref, bien que tout le monde l’appel ainsi, il ne l’accepte que de ces amis proches.
Tien, parlons de ses amis: il les choisit avec soin. Il faut soit savoir l’arrêter quand il devient trop lourd, soit savoir jouer avec lui.
Pour résumé, Lad est un grand enfant qui adore les charades et les bonbons mais également un chasseur de prime redouté avec un nom qu’il trouve ridicule…
Morphologie
Grand, petit, sportif, mince, gros, blond, brun, yeux vert, bleue, marrons, …
Personne n’arrive à se mettre d’accord pour la seule et bonne raison que, après son passage, vous oublierez se que vous avez vu, ne vous souvenant que d’une ombre.
Mais voici, de source sure et officielle, la description de notre chasseur de prime en sucre
(ne m’en veuillez pas pour cette appellation, c’est un ami qui m’a forcé^^) :
Ni trop grand ni trop petit, Lad possède la taille tout à fait honorable d’1mètre 76 qui lui permet de regarder dans les yeux une grande majorité de la population et de se fondre aisément dans la foule. Sans être trop imposant, il possède une musculature fine mais bien entretenue et ce grâce à ses nombreuses courses poursuites dans les rues de la ville.
Quant à son visage, je crois pouvoir affirmer que se garçon n’est pas un Michel ange. Il est cependant de ses personnes dont les jeunes filles s’amourachent facilement.
Il possède effectivement se charme insolent typique aux adolescent et un grand sourire à faire pâlir le soleil.
Ces cheveux, il préfère les garder court mais, ayant en sainte horreur les coiffeurs, est obligé de se les laisser pousser pour les couper au couteau quand ils le gênent. Évidement, se détail n’est pas un secret puisque, comme tout le monde peut le voir, ils sont coupés d’une manière aléatoire digne de faire enrager un maniaque. Pour ses yeux eh bien, qu’est-ce que je peux en dire ?... Tout d’abord, l’expression : « Les yeux sont le miroir de l’âme » perd tout son sens ici. En effet, qu’il soit en colère, agacé, surprit, triste ou quoi que ce soit, ses prunelles noisette auront toujours un éclat amusé et rieur. Ensuite, je suis obligé de vous le dire : ils sont en permanence vrillés dans les vôtres, cherchant à savoir toute la vérité et rien que la vérité.
Et, puisqu’il n’est pas nu, il me faut vous parler de ses vêtements. C’est bien simple, il porte toujours les mêmes. Tout d’abord, il a un pantalon d’ouvrier
(jean) noir un peu déchiré mais pas assez pour que ça se remarque. Ensuite, il laisse tomber sur son torse un T-shirt sans manche dans les tons marron foncés. Et, finalement, il porte une longue veste un peu trop grande pour lui a tendance à servir de ramasse-poussière quand il n’y prends pas garde.
Il a également deux objets qu’il a en permanence sur lui, quel que soit l’heure du jour ou de la nuit : Un collier en argent représentant un crâne de buffle qu’il a acheté avec sa première prime dans une brocante et une boucle d’oreille en argent également qui lui a été offerte par son père et qu’il ne parvient pas à enlever... Par manque de courage ou bien par désir de ne pas oublier…
Récit
Il était une fois un pâtissier seul et triste de ne pas avoir d’enfant ni de femme à aimer. Il se sentait si triste, qu’un jour alors qu’il faisait ses biscuits, il décida d’en faire un en forme de petit garçon pour, l’espace d’un instant, avoir l’impression de ne plus être seul. Il mit beaucoup d’amour dans sa création, faisant attention à chaque détail et pensant même à ajouter trois petits boutons en sucre sur son torse ainsi que deux yeux qu’il essaya de rendre parfait, leurs insufflant un petit éclat amusé.
Il y croyait tellement fort et il mit tellement de cœur à l’ouvrage que, à sa sortie du four, le petit bonhomme en pain d’épice se leva timidement, prenant vie sous ses yeux.
Surprit, notre pâtissier peinait à y croire et était sûr de devenir fou puisqu’il était, dans son esprit, absolument inconcevable que se petit bonhomme de pain d’épice soit vivant. Il était pourtant bien obliger de l’admettre et cela réchauffa son vieux cœur qui imaginait déjà tout se qu’ils pourraient faire ensemble, tout se que faisait un homme et son fils. Parce que, oui, il considérait le petit bonhomme comme son fils. Et, comme tel, il lui donna son nom ainsi qu’un prénom original pour un enfant qui est tout sauf banale.
Mais le petit bonhomme, bien qu’appréciant son père, n’arrivait pas à vivre normalement avec cette apparence. Alors, un jour de novembre durant lequel la neige tombait dur, il se glissa dans un paquet de livraison qui devait être livré chez un sorcier de génie bien qu’un peu fou, comme le disait la rumeur. Mais, téméraire comme il l’était, Tibiscuit n’avait que faire d’écouter ses racontars de vieilles femmes, comme il les appelaient, et attendit silencieusement dans son panier l’heure où il serait enfin arriver.
Celle-ci ne ce fit dalleur pas attendre car, une poignée de minutes plus tard, il sentit que le panier ne bougeait plus. Curieux, il se fabriqua un escalier de cookie et regarda sous la nappe pour savoir s’il était enfin arrivé. Et grand mal lui prit car le sorcier, qui aimait beaucoup le pain d’épice, se saisit de lui et, de sa grande main, l’approcha de sa bouche.
Mais notre héros ne voulait pas mourir, loin de là. Il voulait vivre. Il se saisit donc d’un sucre d’orge et frappa le plus fort qu’il pût cet homme qui voulait le manger. Cependant, inutile de vous le préciser, la force d’un biscuit n’est pas vraiment très impressionnante et il ne réussit pas à le blesser. Il avait fait mieux encore ; Il avait attisé la curiosité du sorcier. En effet, celui-ci n’avait jamais vu une de ses commandes se mettre à bouger et, le tenant toujours dans la main, il l’écarta tout de même de sa bouche pour lui demander :
- Qui tu es toi ?
Très fier de ses origines, notre pain d’épice bomba le torse et affirma :
- Je suis Lad Gingerbread, fils du célèbre pâtissier de Wonderland.
L’homme partit d’un grand éclat de rire qu’il ne réussit à calmer qu’après de longues minutes.
- Et tu crois que je vais croira ça, toi qui fait dix centimètres et n’est pas plus humain que mon chat ?
- Eh bien c’est justement à se sujet que je suis venu vous parler.
- Oh, tu veux donc parler affaire ?
Le sorcier le reposa sur la table, invitant Tibiscuit a exposer son problème. Celui-ci ne se fit pas prier et expliqua dans les moindres détails se qu’il ressentait à être si petit et son désir de devenir un vrai petit garçon.
Pardon Pinochio pour se plagia flagrant - N’est- pas humain qui le veut mon garçon, lui avait répliqué le sorcier. Comment puis-je être sur que tu le mérite vraiment ?
- Mettez moi à l’épreuve si vous le voulez. Je ne vous décevrais pas !
- Oh mais je vais faire mieux que ça mon cher. Je vais émettre une condition. Tu devras, chaque jour, accomplir au moins une bonne action, que ce soit aider une vieille dame à porter ses courses ou bien sauver le monde. Si un jour se passe sans que tu n’ai rien accomplit, tu redeviendras un bonhomme de pain d’épice le jour suivant.
- Mais, c’est bien trop difficile ! Comment trouver une personne à aider chaque jour ?! S’était exclamé Tibiscuit.
-Ce n’est pas mon problème et ce n’est pas non plus une clause négociable.
- Et que demandez vous en échange de se sort ?
Parce que, Tibiscuit en était conscient, un sorcier ne faisait jamais rien sans rien recevoir en échange. Mais, pour l’instant, il ne voyait pas se que celui-ci gagnerait à accepter.
- En échange ? Une vie pour une vie mon cher bonhomme de pain d’épice.
Tibiscuit ne voyant pas de problème à accepter et ne comprenant pas tout à fait, lui donna son accord et signa sur un parchemin avec une petite plume en or.
Dans la seconde qui suivit, notre héros s’évanouit.
- …
- … …
- … … hum ? …
Dans une ruelle face à la pâtisserie où il était né, Tibiscuit ouvrit les yeux et passa sa main sur son crâne, horriblement douloureux. Tout d’abord sonné, il ne comprit pas pourquoi tout était si grand tout à coup et à sa hauteur. Tendant la main devant lui pour se saisir d’un lampadaire et s’aider à se lever, il fut surprit en constatant qu’il possédait une peau, comme les Hommes !
Émerveillé, il procéda à une inspection complète de son corps, réalisant petit à petit que tout ceci n’avait pas été qu’un rêve. Un sourire béat sur le visage, il se mit à courir de ses jambes maintenant si grandes et ouvrit à la volé la porte de la boutique, criant à son père qui était dos à lui, assit sur son fauteuil :
- Papa ! Papa ! Tu ne vas pas en croire tes yeux !
Étrangement, celui-ci ne se retournait pas pour lui demander se qui se passait et, croyant que son père ne lui pardonnait pas de s’être absenté toute la nuit, continua :
- Je suis devenu un vrai petit garçon papa ! Comme toi !
Mais son père ne bougeait toujours pas, enfoncé dans son fauteuil.
Prit d’un horrible doute, Lad marcha à pas très lent vers lui et posa une main hésitant sur le dossier du fauteuil, le faisant pivoter vers lui.
A la vue de son père, les yeux clos, le visage cendré et une expression de terreur sur le visage, il se mit à hurler tout l’air qu’il pouvait, vidant ses poumons puis les remplissant à nouveau pour hurler de plus belle.
Il lui fallut une bonne heure pour se calmer enfin, après avoir ameuté tout le quartier et avoir brisé sa voix par deux fois.
Le sorcier l’avait prévenu pourtant : Une vie pour une vie. Mais il n’avait pas comprit… Et à cause de lui, son père était mort. Poursuivre l’homme pour lui demander de le ramener était impossible, c’était bien trop tard. Résigné et le cœur lourd, Lad acceptait cette terrible vérité…
Le jour de l’enterrement, un 10novembre pluvieux, le notaire du village vint le voir pour lui remettre une petite enveloppe que son père lui avait laissée.
Acquiesçant, le garçon la fourra dans sa poche, pas prêt du tout à lire à nouveau l’écriture de son défunt père.
Ce fut seulement un mois plus tard, alors que la pâtisserie faisait faillite –il faut l’avouer, Tibiscuit était loin d’avoir le talent de son père- qu’il se décida à ouvrir l’enveloppe. Il en tomba tout d’abord un petit anneau d’argent, suivit d’un mot, plié en quatre. Intrigué, Tibiscuit posa l’anneau sur la table face à laquelle il était assis et lut le mot :
« Mon cher fils,
J’ai toujours été fière de toi et bien plus encore. T’avoir a été le plus beau cadeau que dieu ait put m’offrir et je suis ravie d’avoir vécue assez vieux pour te voir grandir… »Le cœur de Lad se serra tandis qu’il prenait conscience que cette lettre aurait dût lui arriver dans plusieurs années, après que son père lui ait apprit tout ce qu’il avait besoins de savoir, et non si tôt, si vite… Quelques larmes perlant sur ses joues, il se remit péniblement à lire :
« … Maintenant que tu es un homme, tu as amplement l’âge de recevoir se bijoux qui se transmet de père en fils dans la famille depuis plus de cinq générations. Sache que, même si tu ne peux pas le porter, tu ne dois jamais t’en séparer et ce quel que soit le prix à payer.
Je t’aime mon fils, soit heureux.
Ton vieux père. » C’était une lettre très courte mais qui avait agrippée Lad par les entrailles et qui ne voulait plus le lâcher. La lettre lui glissant des mains, il la laissa tomber et porta plutôt son regard sur l’anneau brillant grâce aux rayons du soleil. S’en saisissant du bout des doigts, il l’approcha de son œil et remarqua qu’il y avait en faite une partie beaucoup plus fine qu’il pouvait tirer.
Il fini par comprendre la nature de l’objet, un petit sourire sur les lèvres. Une boucle d’oreille ? Son père ne le laissait même pas jouer avec une épingle !
Cependant, très fier d’avoir en main cet objet à la valeur, à son sens, inestimable, il décida de le porter –maintenant qu’il le pouvait- et se le referma sur l’oreille.
Il n’avait cependant pas prévu quelque chose : il n’avait pas été percé !
Cela lui fit un mal de chien mais, les yeux inondés de douleur, il se refusa à l’enlever, passant cette épreuve presque avec plaisir.
A partir de se jour, Tibiscuit changea du tout au tout. Il ferma la boutique et la vendit pour se faire une somme de départ et se mit en tête de traquer les méchants et de les emprisonner, quoi que ça lui en coûterait. Mais il ne serait pas traqueur, ça jamais. Non, lui il voulait être chasseur de prime. Il voulait s’occuper de ceux qui étaient recherchés et qui pouvaient éventuellement lui rapporter de l’argent. (Eh bien oui, être un héros c’est bien joli mais un héros avec de l’argent, c’est mieux.)
C’est dalleur à peu près à ce moment là que son dos se réveilla, poussé par son désir de justice.
Et, eh bien, nous en sommes à peu près là. Seulement, quelques années on passés et il s’est fait une bonne petite réputation, bien que personne ne se souvienne de son visage…
Hors Rp'
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Code: Bave de Gnome[/list][/justify][/quote]