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| | Je suis belle, ô mortels, comme un rêve de pierre... | |
| Message | Auteur |
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Sujet: Je suis belle, ô mortels, comme un rêve de pierre... Sam 13 Mar - 17:38 | |
| Vierge? Non, certainement pas. Tout d'abord, Blue est fichée en temps qu'orpheline prise en charge par l'état, bien que les faits précis ne soient pas révélés. Ensuite, une longue ribambelle de plainte pour attentat à la pudeur dans des lieux et des circonstances infiniment variés (vous n'imaginez même pas tous les lieux publics où on peut faire un strip-tease) défile joyeusement, s'étirant sur une longueur proprement stupéfiante, sertie ça et là de quelques outrages à agents dans l'exercice de leurs fonctions, et d'une ou deux plaintes pour harcèlement sexuel. De manière étrange, ce ne sont jamais les harcelés qui ont porté plainte... mais plutôt les femmes des harcelés. En règle générale, les hommes sont plutôt ravis d'être la victime de la jolie fée... Blue ne possède peu d'objets magique ou exceptionnels. Elle survit tout à fait bien avec ce qu'elle a, de plus banal: - Quelques lames de bonnes factures, bien inférieures à celles de Cristalune Vendetta: pas la moindre magie en elles. Toutefois, Lust se montre assez habile à les utiliser tout autant qu'à les camoufler dans les endroits les plus surprenants de sa personne. - Une impressionnante garde-robe. - Un bibliothèque bien fournie tout autant que variée, aussi surprenant que cela soit de sa part. ... Comment? Le reste? Croyez-moi, vous ne voulez pas connaitre la liste des objets "spéciaux" à sa disposition. Non, vraiment, vous ne voulez pas savoir. Cependant, à Rome, fait comme les Romains. Aussi Blue possède: - Un bonbon Hazard - Un lot de Haricots Magiques - Un Puddy ou un Sleep (en cours de choix ><) - Un lot de Rognures d'ongle de nain cannibale. (aphrodisiaque notoire si pilées puis sniffées. Bouillies, elles constitueront un parfum-phéromones presque irrésistible.) A tester sur Mirror ? ♥ - Une Potion d'Invisibilité d'urgence. - Une Master Key Et les visages... Par les uns et les autres. - Spoiler:
Par Maus! ♥
Dernière édition par Blue Fairy le Sam 7 Aoû - 17:28, édité 16 fois |
| Blue Fairy Unités d'Interventions Féériques | | | Sujet: Re: Je suis belle, ô mortels, comme un rêve de pierre... Lun 15 Mar - 21:25 | |
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Dernière édition par Blue Fairy le Jeu 27 Mai - 16:49, édité 6 fois |
| Blue Fairy Unités d'Interventions Féériques | | | Sujet: Re: Je suis belle, ô mortels, comme un rêve de pierre... Sam 20 Mar - 20:32 | |
| Non, ce n'est pas un bureau individuel, comme ceux des Capitaines, mais un simple meuble en bois, faisant face à celui de Matteo, et séparé sur le côté par des cloisons blanches qui formaient une sorte de box à hauteur d'épaule d'homme. Un tiroir ferme à clef, et contient les affaires sensibles ainsi que la plaque de Blue et une partie de sa collection de dagues. Les plus meurtrières, celles dont la lame est soigneusement enduite de poison paralysant ou bien mortel. Qui savait, en ces temps de crise, les extrémités auxquelles elle serait obligée de recourir? Fort heureusement, la jolie fée n'use presque jamais de ces armes là. Les autres sont dans le second tiroir, celui qui ne ferme pas, ou fichée dans le coin droit de son bureau, zone couverte de multiples cicatrices et balafres témoignant du peu de motivation que Lust mettait dans la rédaction de ses rapports. Dans ces moment de désœuvrement officieux son activité préféré était de ficher ses lames dans le bois verni. Le but du jeu? Imposer au poignard le maximum de vrilles ou de tours sur lui-même avant que son tranchant ne se plante, vibrant encore comme un insecte furieux, dans le meuble martyrisé. Avec le temps, elle arrivait à obtenir des trajectoires très artistiques.
Sur la table trainent souvent des papiers plus ou moins rébarbatifs, et un café arraché après une lutte héroïque à la machine du troisième, livrant parfois de surprenantes senteurs, ou des vapeurs d'une couleur menaçante. Sucré à outrance et souvent mélangé des sauces bizarres (tomate, carotte, chocolat-noisette-fraise, curry, épices…), Blue est la seule à pouvoir avaler un truc pareil. Avachie sur son fauteuil et souvent à moitié dévêtue, ses pieds chaussé d'escarpins tranquillement posé sur la table (et offrant une vue imprenable sur l'invraisemblable longueur de ses jambes fuselées qu'elle dévoilait au curieux) elle ricane souvent en voyant passer les officiels en visite: son lieu de travail est celui qu'on évite toujours de montrer à ces messieurs du budget. Ça ne fait pas sérieux, voyons.
Il y a un seul cadre sur son bureau. Là où tous ses compagnons Traqueurs ont une photographie de leur famille ou de leur conquête du moment, de leur dragonnet peut-être ou bien de leur poisson rouge, la petite fée n'a qu'une image en noir et blanc, visiblement découpée dans un journal, représentant leur équipe au complet, à l'époque où Puss était encore avec eux. De gauche à droite: un Mirror froidement digne, raide, parfait, un Matteo souriant et plus tombeur que jamais, offrant sa beauté ravageuse à l'objectif, puis elle-même dans son insolente beauté qui avait un je-ne-sais-quoi d'indécent même avec son tailleur des plus correct, pendue au cou du Marquis rayonnant, insolemment superbe. Tout au bout enfin, un Evelyn impassible et désarmant de douceur à côté des deux énergumènes. Comment avait-elle dénichée cette photo si étrange, réunissant des gens qui n'auraient jamais du se trouver ensemble? Mystère. Certains murmurent que Blue aurait usé de son don sur d'innocent journalistes, mais vous et moi savons que ce n'est pas son genre… n'est-ce pas? Comme d'habitude, elle tourne le coin de la petite rue, attenante à une grande artère animée, pour s'enfoncer dans les faubourgs grisâtres et tristes qui sont son univers. Comme d'habitude, elle est scandaleusement jolie et colorée, un éclat de ciel planté sur la terre, qui détonne violemment avec le décor terne. Mais les habitants, lippe pendante et regard morne, la regardent passer sans réagir, comme d'habitude. Encore un détour, une esquive habile d'une flaque traître (les canalisations ont encore lâché? ), talons claquants sur plaque d'égout, et poubelle éventrée agonisante et ouvrant vers le ciel ses entrailles et crachant ses exhalaisons. La fée pousse la vieille porte usée et grinçante d'un immeuble un peu plus bas que les autres, un peu moins gris peut-être. Un vieil homme aveugle est assit dans le hall carrelé. Blue embrasse son front ridé en passant, et il sourit, creusant les rigoles tendres de son visage hâlé. Bonsoir ma fille, je t'ai mis ton courrier à la porte. Jouera-t-elle aux dominos avec lui, ce soir? Non, pas ce soir. Les yeux morts laissent passer une brève étincelle de déception, que le rire léger et virevoltant de la jeune fille efface: demain, c'était promis, elle viendrait, comme tous les dimanches. Le vieux logeur serre affectueusement de sa main tremblante et calleuse celle de sa locataire préférée, avant que la jolie fée ne monte les trois étages la séparant de son chez-soi.
Elle ramassa la pile de factures sur son paillasson, et tourna la clef dans la vieille porte grise, se glissant avec un étrange soulagement dans son univers fermé et solitaire, son enfer personnel qu'elle n'avait jamais dévoilé à personne. C'était minuscule, une seule pièce de vie, une salle de bain et une cuisine. Mais c'était tellement vide que ça paraissait immense. Une fenêtre ne laissait entrer qu'une terne lumière, le soleil était voilé par les hauts bâtiments avoisinant. Les murs gris pâles, autrefois blanc peut-être, offrait aux regards leur déserte désolation: pas la moindre décoration. Un canapé dans un coin semblait avoir fonction de lit, bien que Lust ne se donne jamais la peine de le déployer. Une radio grésillante crachotait les mauvais accords d'une musique populaire sans intérêt, et la transmission mauvaise ne permettait même pas de distinguer les paroles. La cuisine était vide elle aussi, seule une table bancale appuyée contre le mur soutenait les vestige d'un maigre déjeuner. Dans un coin, une plante carnivore sinistre offrait au moins à sa propriétaire des nuits dénuées d'insectes.
Sans accorder un seul regard au décor tristement banal, la fée traversa la pièce, semant ses vêtements derrière elle et s'affala lourdement sur son canapé, avant d'enfiler un de ses infâmes polos informes et trop grands qui pendouillait lamentablement jusqu'à mi-cuisse et dont elle devait retrousser trois fois les manches pour pouvoir sortir les mains. Étrange obsession que celle de voiler son corps parfait, tellement détesté. Ses yeux errèrent paresseusement dans la pièce tristement familière, se posant sur son espace de travail où une improbable pile de livres défiait les lois de la gravité par sa hauteur et sa construction risquée. Une petite table et une chaise à dossier droit, qui faisaient face au recoin le plus vivant de tout l'appartement: des dizaines d'images et de photographies, en couleur et en noir et blanc, clichés volé ou découpage d'article étaient épinglé au mur. C'était toujours les mêmes personnages qui se découpaient: son équipe, ses amis, ses seuls liens. Un Mirror agacé par un Puss rayonnant, Matteo et elle-même qui prenaient des poses ridicules, Bee et Sheen, puis une photo de groupe, Puss encore, souriant, puis Matteo… il y avait même, ça et là, quelques rares cliché de son capitaine avant l'accident. Mais Lust les avait retourné. La petite fée eut un sourire vaguement attendri devant sa collection personnelle, et parcouru une nouvelle fois son lieu de vie, évitant un seul et unique endroit. Un imposant meuble en bois sombre, sûrement très beau dans une pièce un peu mise en valeur, ne dégageait qu'une impression sinistre dans l'appartement grisâtre. Il était dénué du moindre objet, à l'exception d'un unique cadre, petit, et renversé face contre le meuble. Les occupants de la photo était invisibles aux yeux de tous et surtout des siens, mais sa simple présence suffisait à Lust. C'était pour ne pas oublier qui elle était. Ne pas oublier ce qu'elle valait, au fond. Ne jamais faire taire la petite voix de son père au fond de ses entrailles, qui murmurait, doucereuse et sournoise, la même litanie depuis des décennies: "petite putain, fille de putain". Le cadre contenait la photo du mariage de ses parents. Les deux arborait une expression de joie qu'elle ne leur avait jamais vue. En noir et blanc, c'était celle qui était parue avec l'article annonçant leur décès tragique.
Blue se renversa sur le dos, ses yeux magnifiques rivés sur le plafond fendillé. Elle soupira dans sa solitude et ferma les yeux. Personne ne venait jamais ici, elle ne le permettrait pas. Tout restait comme d'habitude. Et rien ne changerai jamais.
Dernière édition par Blue Fairy le Mar 6 Avr - 20:36, édité 2 fois |
| Blue Fairy Unités d'Interventions Féériques | | | Sujet: Re: Je suis belle, ô mortels, comme un rêve de pierre... Dim 21 Mar - 0:02 | |
| Sheen Curkain, dit Mirror Cher capitaine. Centre absolu et sans concurrence de son univers. Officiellement, aux yeux de tous, elle le respecte énormément (à sa manière bien sûr, c'est-à-dire que ce respect ne lui épargne rien de ses habituelles taquineries) et lui est loyale, mais rien de plus. Doux mensonge, cruelle illusion. Elle semble éprouver un malin plaisir à l'agacer, à le déstabiliser aux moments les plus inattendus, à se tenir très près, trop près de lui. C'est un jeu. Il ne cède pas, elle ne recule pas. C'est un jeu sans conséquences, car il y a très longtemps que Blue n'agit plus dans le but de le circonvenir. Il y a très longtemps que ses sentiments à son égard ont évolués vers une voie plus douce-amère. Non, c'est plus sa manière à elle de lui laisser entendre qu'elle l'apprécie, en toute discrétion, dans cette sempiternelle insolence sensuelle et câline. Juste une façon très étrange de s'exprimer pour cette petite fée qui n'a jamais su s'ouvrir. C'est une manière détournée de l'assurer de son soutien tout en gardant son propre masque. Mais qui est capable de voir les circonvolutions mentales étranges et les chemins tordus que Lust emploie sans cesse? Elle se cache constamment.
Puss in Boots Pussy. Son ami, son soutien. Le sait-il seulement? Blue sait, bien sûr, qu'à son égard il n'a jamais été tout à fait franc. Mais ce n'est que justice, elle-même ne se dévoilant pour personne. Puss, compagnon des soirs d'infortunes, complice des instants de folies, si efficace pour lui faire oublier sa morosité. Puss, à l'égard de qui son comportement n'a jamais dévié. Elle ne fit jamais la moindre allusion à ce qui l'avait amené à un séjour (écourté) à Samarcande, se contentant de l'accueillir avec une joie non feinte à son retour. Il n'avait pas été tout à fait honnête? Cela n'avait aucune importance pour Lust. Son monde à elle ne tournait pas autour de la rigueur et de l'honnêteté. Et pour la petite fée qui avait vécu dans une solitude au goût de fiel, le Marquis avait peu à peu prit une importance capitale. De là à le lui dire, il y avait un monde…
Almanzine Les mots qui glissent sur le papier, si facilement, et on se laisse prendre au jeu de la confidence. Ce n'était rien, au départ... quelques mots échangés sur les balais, sur le vol, puis des recettes, puis... puis tout. Étrange amitié virtuelle, douce sorcière. Blue attache une étrange importance à ses lettres, toutes soigneusement conservées dans un tiroir fermé à clef. Amie: le mot est doux! Confidente. Elles semblent si bien se comprendre... Cruelle sera la désillusion.
Matteo della Chiave, dit Barbe Bleue Si semblables, si différents. Matteo peut sembler le pendant masculin de Lust, pourtant il y a une différence majeure: le jeune homme est toujours sincère et réellement intéressé, même pour un laps de temps très court. Il est gentil, il est franc. Elle, elle séduit par besoin et sans le moindre sentiment. C'est une course effrénée et sans but, une errance sordide qu'il n'avait jamais connu. Soigneusement, Blue avait évité de se rapprocher de lui de manière trop "intime", sentant inconsciemment que ça aurait été une très mauvaise idée. Paradoxalement, ce comportement lui avait permit de s'en faire un très bon ami. A la Blue, bien sûr: c'est-à-dire que Barbe Bleue ne devait avoir aucune idée de ce qu'il représentait pour elle, car elle gardait toujours sa réserve enjouée. Mais soyons franc, les membres de son équipe, plus Pussy, représentait ce qui lui tenait lieu de famille. Ridicule? Oui. Et c'est pour cela que la fée le taisait.
Evelyn Beehive, dit Queen Bee Étrange personnage si doux. Blue l'aime bien, sans jamais avoir réussi à le voir totalement comme un homme (ce qui épargna sans doute à Evelyn bien des tracas). Depuis sa récente arrivée dans leur équipe, la fée semble avoir prit les intérêts du jeune homme très à cœur, de loin. Et comme elle n'a jamais hésité à frapper les gens par derrière, ceux qui s'en prennent à Bee eurent souvent de très mauvaises surprises dans trop savoir d'où elles pouvaient bien tomber. Encore une fois mal à l'aise pour s'exprimer, et rongée par un maladif complexe d'infériorité, Blue n'a jamais fait montre ouvertement de cet attachement et il est assez probable que l'agent Beehive n'en sache rien…
Dean Connel, dit Grand-Père
Tendre vieille pomme. Petit homme âgé et aveugle qui représente une sorte d'attache solide dans le monde flou et éthéré de la jolie fée. Incapable de la voir, et donc de la trouver jolie, ses rapport avec lui s'en sont trouvé grandement simplifiés. Car en réalité, inconsciemment peut-être, Blue déteste qu'on l'admire, tout en ne pouvant s'en passer. Mais avec Dean, ce problème n'a pas lieu d'être. Le vieux veuf avait logé la jeune femme sans jamais lui poser de question, en échange elle avait quelque peu meublé sa douloureuse solitude, en quelques thés partagés autour d'une partie de dominos. Il ne l'avait jamais jugé, et ne savait rien d'elle que ce qu'il avait deviné. Cela convenait tout à fait à Lust. Ou plutôt à Luce Loveless, nom sous lequel il la connait. Lust Lovelace est un peu trop connue et mésestimée...
Hansel Kuchklein Un gamin orgueilleux et agaçant. Blue n'a jamais éprouvé que mépris à son égard, tant il correspond à tout ce qu'elle détestait: immature, goguenard, sûr de lui, possessif, intolérant. Au fond, peut-être qu'elle l'enviait un peu, comme quiconque vivant sans attaches familiales peut envier quelqu'un possédant une fratrie. Et comme elle avait le sentiment qu'il avait gâché son lien avec sa sœur par ses futilités, Hansel l'agaçait. Il ne lui avait pas fallu très longtemps pour se rendre compte que cet adolescent dégingandé avait un problème avec la gent féminine et elle avait poussé jusqu'au bout sur ce point faible, se faisant volontairement lourde et sirupeuse, stupide et évaporée. Bien sûr, elle était capable d'être bien plus subtile dans sa façon de séduire, bien plus irrésistible. Mais Blue Fairy ne voulait pas le séduire: elle voulait l'énerver, le faire craquer, hurler son exaspération. Et était très satisfaite d'elle-même quand elle arrivait à le faire l'insulter (comme si se faire traiter de catin avait une quelconque incidence: elle avait parfaitement conscience d'en être une) ou bien fuir. Bien sûr, bien subtil qui arriverait à démêler les motivations de sa manœuvre, la fée ayant poussé à son paroxysme l'art d'être sous-estimée.
Ruth Lovelace Mère fantôme. Elle n'a jamais été qu'une présence effacée dans une maison froide, une silhouette silencieuse qui ne disait rien devant les sévices subits par sa fille, trop contente d'y échapper elle-même. Lust regrette un peu sa mort, mais n'éprouve ni rancune ni affection à son égard. Tout ce qu'elle aurait souhaité, au fond, c'est que sa mère ne donne jamais naissance à la petite bâtarde qu'elle est.
Janis Lovelace Détesté, redouté père. Le monstre de ses cauchemars, incarnation de ses peurs les plus viscérales. Elle rêve encore de lui parfois, et se réveille en hurlant, tremblante et glacée. Blue lui doit ce qu'elle est à présent, c'est-à-dire rien. Petite putain, fille de putain. Elle lui doit les marques sur son corps, les marques sur son cœur. Son incapacité à se lier, sa frayeur compulsive à l'idée de dévoiler autre chose qu'une catin stupide, son errance malsaine dans les méandres sales et amers de la jouissance physique et de la douleur psychique. Elle lui doit sa souffrance et sa solitude. Elle n'a jamais parlé de lui à qui que ce soit et tremble encore à son évocation, tant l'emprise qu'il a sur elle, même mort, est absolue. Et bien qu'elle ne l'ai avoué à personne, lors de son arrestation, c'est le regard abominable de Janis qu'elle a entraperçu dans les yeux du Big Bad Wolf…
[Si les concernés voient le moindre souci dans ces relations, me contacter par MP ^^] |
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