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Meredith || les sanglots longs des violons ||

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MessageAuteur
MessageSujet: Meredith || les sanglots longs des violons || Meredith  || les sanglots longs des violons || EmptyMar 6 Juil - 0:32

Identité

Nom: Gray.
Prénoms: Meredith, Lacey.
Surnom(s): /
Âge: 20 ans.
Date de naissance: 15 avril.
Emploi: Pianiste retranchée.
Ville natale: Woollyland.
Orientation sexuelle: Hétérosexuelle.
Don surnaturel: Meredith possède un pouvoir qui permet de faire naître une vive douleur chez autrui. Psychique ou physique cela dépend ce à quoi elle s'attaque.
    Effets :
    Le pouvoir de Meredith peut s'attaquer aussi loin que proche de la personne visée. Il suffit même qu'elle connaisse parfaitement le corps de l'individu et ses lieux de fréquentation divers qu'elle a la capacité de l'attaquer à sa guise, dans la limite du possible. (le maximum de temps où elle peut rester à faire souffrir l'individu est un quart d'heure)

    Psychique_> Cette branche n'a besoin uniquement que de la volonté de Meredith pour fonctionner. Elle ne peut se manifester chez la personne visée que part une vive, une irascible douleur dans la tête, qui peut tout aussi bien tanguer, que lancer, qu'assommer.

    Physique_> Cela concerne plus largement toute les formes de douleur possible, consistant à une connaissance parfaite du corps de la 'victime' et une maîtrise parfaite de la branche, qui n'est pas encore bien assimilée pour Meredith. Elle peut ainsi provoquer une vive douleur dans le membre de quelqu'un, qui apparaît sans raison tangible.



Un poétique chaos, les froids calculs de l'indifférence.

« Dans mon chagrin, rien n'est en mouvement
J'attends, personne ne viendra
Ni de jour, ni de nuit
Ni jamais plus de ce qui fut moi-même »
Paul Eluard.


Le minutieux geste était répété, chaque matin durant, sans lassitude aucune. C'était hésitante qu'elle se réappropriait tous les manuscrits qu'il avait déposé au gré de ses envies, au hasard d'un besoin soudain pour lequel il aimait à s'incliner, comme la plus discrète des adorations qu'elle pouvait lui offrir, de là où il était. Elle posait précautionneusement ses grandes et fines mains sur le bord de la table de bois verni- seul bien convenable qu'elle avait pu s'offrir, exclusive et la plus précieuse preuve de fanatisme qu'elle avait pu exhiber sans emphase, sans remords, sans retenue. L'éminent pupitre était entretenu avec une minutie sans limite, avait depuis bien longtemps dépassé son rôle premier, déphasait tous les quidams qui avaient un jour eu l'occasion d'entrer dans le taudis qui lui servait de maison.

Ils lui livraient un regard surpris, quasi-suffoqué par l'aura qui semblait en émaner, avait l'impression de poser leur yeux sur quelque essence humaine, et pourtant.. Et pourtant, cela ne résidait pas même dans une encolure ou un ornement des plus singuliers, mais dans la manière dont il était agencé dans la pièce, combien tout semblait être fait pour que les œillades s'y concentrent. D'éminentes bibliothèques plongeaient le fond de la pièce dans une ombre des plus dérangeantes par lequel s'en dégageait une désagréable impression dépeuplée de tout sentiment qui faisait instinctivement détourner le regard. Et plus l'on s'avançait, plus l'on avait l'occasion de remarquer que çà et là, la pièce s'ornait de corps plus vivants, qu'ainsi déposée, la bougie donnait inconsciemment à la pièce ce qu'on semblait lui avoir retiré : la vie.

Ornée d'un léger coup de peinture de bronze auquel on avait accolé à quelques endroits de minuscules et larges bandes d'un motif qui sentait le vieilli, on observait la pièce sans trop s'attarder, de peur que le regard froid de la propriétaire des lieux nous intime d'en destituer le regard, et de se préoccuper- là!- du minuscule mais élégant tapis qu'elle avait fait ramener d'une contrée reculée dont elle ne semblait plus avoir le souvenir. L'immense pupitre s'attitrait maître de la pièce, possesseur privilégié d'attentions que la jeune femme s'attardait à lui vouer, sans jamais transgresser les vagues règles qu'elle avait elle même achever d'attribuer au minuscule endroit dont elle était l'apparente maîtresse.

Or, il en était tout autre. Esclave des souvenirs et du passé que livraient les manuscrits décomposés, l'obligée se livrait à un rituel compliqué dénué d'anatocisme, empli d'une logique macabre qui paraissait interminable. La rigueur qu'elle plaçait dans ces égards accroissait une passion qui ne se dépossédait pas de sa soif.

Le regard condescendant qu'on s'osait parfois à lui livrer- une telle misère ne méritait aucune commisération- rejoignait parfois la terrible question à laquelle on aimait lui accompagner un ton aux apparences respectueux mais qu'elle décelait particulièrement artificieux. N'était-ce point rassurant d'encore se savoir capable de faire la différence entre le bien et le mal, d'être l'annonciatrice attitrée de ce qui pouvait prendre office de malheur, et- naturellement- de s'en protéger?

« Vous jouez? »

Elle demeurait encore comme une de ces cantatrices anonymes de boulevard dont les noms se confondaient et avec qui l'amalgame était pardonnée par un regard froissé, distancé d'un sourire désolé. Elles étaient toutes les mêmes. Vaporeuses et mystérieuses, altières et amoureuses, endossaient une guitare, un piano ou s'accompagnaient d'un micro pour subsister, parfois pour oublier. Elles possédaient un regard lointain, une bouche apprêtée, avaient toutes déjà aimé et continuaient de se passionner par obligation ou par acharnement. Elles étaient blâmées sur les trottoirs, applaudies à la proportion de leur talent sur la saynète.

D'autres persistaient pour leur offrir une place plus cohérente, sans démesure quant à leur éventuel succès. C'était un de ceux-là qu'on lui avait assigné, qu'elle s'était contrainte à adopter, entre deux préparations, un homme gras mais doux, encourageant, dénué de toute limite. L'œil plus large que l'esprit, la réflexion moins affutée que l'intuition, un corps ample, une main moite. Il était un des rares qui continuait à lui murmurer son prénom que lui seul entendait, dans la loge de fortune qu'il s'était confectionné, accompagné d'un balai comme témoin seul de son émerveillement. Émerveillement auquel se raccordait le public, s'il en avait l'envie, si l'humeur ne l'asticotait pas. Il avait une manière bien particulière de prononcer le « Meredith », du bout des lèvres, presque un soupir, presque une ode offerte à ceux qui passaient, rapides et occupés.

Il n'avait pas de nom, ladite Meridith n'avait voulu le lui en donner. Il s'appropriait une identité, déliait les commérages à propos de cette musicienne sans phare, ne semblait avoir aucun objectif excepté celui de l'entretenir dans l'ombre, de la sublimer et de disparaître, comme s'il ne s'était rien passé.

...

« Maxwell, c'est son nom. Je suis sûre que tu as entendu parler de lui, il est connu, dans les contrées de Woollyland. C'est un des plus grand bibliothécaire de la région. Il est peut-être un peu vorace, mais c'est un homme avec qui on se plaît à converser, il est extrêmement cultivé. Il n'a que quelques années de plus que toi, Meddy.. »


Bien plus tard, il avait eu ouïe du prénom d'un homme apposé près du sien. Il s'y était penché, avait accordé une attention plus importante à la conversation qui se déroulait devant lui, sentant son pouls s'accélérer à l'idée d'avoir des informations supplémentaires concernant ladite personne, comme persuadé que cela l'aiderait à connaître Meredith, à percer le mystère que renfermait l'éréthisme de son éternel silence. Quand elle s'évertuait à ouvrir la bouche, c'était pour converser sur des sujets sans importance aucune. Ainsi, il n'avait jamais rien pu savoir sur ses origines sociales, sur son passé ou sur sa vie personnelle, si jardin secret elle avait.

...

L'homme l'attendait jusque très tard. Il ne venait onques sans une redingote grise foncée et portait un léger chapeau auquel il était assorti, ne regardait personne sauf la scène. L'entrée contrainte était la possibilité que les femmes présentes dans le public envisagèrent le plus, main sur la bouche, coude sur le dossier des chaises des autres, le regard affuté. L'on se convainquait d'une distraction qu'il réservait pour les soirées qui partaient en perdition, les regards affluaient mais il semblait venu d'ailleurs, intransigeant dans sa posture sévère, à fixer la scène et les instruments qui y demeuraient. Personne ne pouvait voir son visage, certaines le traitèrent de malotru à l'idée qu'il omettait l'évidente politesse de le retirer en entrant en présence.

Les commérages cessèrent dès lors que le silence se fit et qu'une immense jeune femme apparut sur scène. Une femme osa à livrer un regard vers l'homme-corbeau, qui semblait avoir levé les yeux.

...

Satisfait, le public sortit de la minuscule taverne en commentant la prestation de l'une des plus jeune et plus impressionnante pianiste des dernières années. L'homme ne fit pas un geste, laissant la salle se vider, tel un habitué des plus passifs, avec le détachement impressionnant dont disposait ces hommes de société qu'ils ne montraient uniquement quand ils étaient avec eux-mêmes.
Et attendait, imperturbable.

...

On la maquillait, c'était la tradition. Ouatée d'une poudre blanche, vaporeuse, le bout des lèvres délié d'un rouge carmin, les cheveux courts et brossés rattachés en une minuscule pince aussi noire que sa coiffure. Son nez était minuscule, constata t-elle, d'une neutralité qui l'effraya tout d'abord, et, alors qu'elle attrapait le bout de coton qui lui permettait d'enlever tous ces artifices, elle eut un faux mouvement et passa le haut de son index contre ses paupières fardées d'un noir d'ébène. L'« enfant », dont les silences apaisaient les mœurs, celle qu'on ne cessait de croiser dans un couloir des coulisses, qu'on adorait qualifier de benjamine.

Elle attrapa un petit peu d'eau qu'elle déposa avec toute la délicatesse dont elle disposait sur le coton, fit un, deux traits sur la peau de sa joue qui commença à révéler un teint très légèrement basané. Ses yeux noirs d'ocre fixèrent leur jumeaux, sans parvenir à mutuellement se transmettre ce qu'ils n'osaient s'attester. De ses longs ongles, elle plia le bout du coton en deux, révélant par la même occasion la partie qui en était encore vierge, qu'elle passa sur ses lèvres d'un geste presque violent.

Quand elle eut fini et que trois bouts tâchés de cotonnade finirent sur un coin de la coiffeuse, la vaporeuse sentit les pores de sa peau respirer de nouveau. Son visage en forme de cœur lui faisait face, impudent, presque impuni d'un passé souffreteux. L'intensité quasiment insolente de son regard était atténuée par la douceur particulière de ses sourcils, qui formaient deux deltas légèrement arrondis, aussi noirs que ses cheveux.

Mais ce qui impressionnait le plus, ce qui glaçait en voyant cette enfant sur scène, dans la rue ou devant soi, c'était sa taille, son maintien et la manière indolente qu'elle possédait de se déplacer, une promiscuité entre le dédain et l'insignifiance. L'on posait pourtant malgré soi un regard sur cette beauté exotique et anachronique, cette musicienne exiguë et décalée. Genoux noueux, mains longues, minces, en grand deuil, mystification qui ajoutait du crédit à l'étrange sentiment de dérangement qu'on ressentait en sa présence.

Ce fut avec l'impression d'un sanglot qu'elle sortit de la misérable loge.

...

Bruit d'un baiser, climat d'une étreinte passionnée. L'homme au chapeau reversa la tête en arrière, épris de celle qui jouait de ce piano poussiéreux qui traînait encore sur l'estrade, qu'il savait bientôt revendu. Les affaires allaient mal, de ce que les spéculateurs murmuraient entre eux, investir ailleurs était plus sûr. La jeune personne qui se perdait dans ses bras ne semblait ne rien en savoir, et peut-être même qu'elle en était à des années-lumières. Qu'importe. Il lui offrirait un piano, il en avait les moyens. De sa voix d'enfant, aiguë, à peine développée, elle murmura son prénom de la manière particulière qu'elle avait d'étendre les lettres, à l'infini. Semblait quémander une autre caresse, de sa manière enfantine et détournée, timide mais définitive, qu'il percevait comme un fait, une évidence qu'elle était la seule à lui dicter.

« Je t'aime. »

Ils s'aimaient.

...

Son souvenir sulfureux continuait d'être cultivé, telle la prière des plus assidues, chaque matin. Il était parti, elle n'avait eu le temps d'être étonnée ni même celui de surprendre sa vive douleur qu'elle avait une fois de plus appris à être, à exister sans personne. À jouer de ses visages, à se jouer de celle qu'elle regardait et qu'on applaudissait, avec, sans cesse plus de ferveur. Qu'est-ce qui fascinait ce public? Sa juvénilité? Son regard toujours fermé? Son air de princesse insatisfaite? Ou était-ce ces longs doigts qui parcouraient l'instrument avec plus de ferveur que celle qu'ils donnaient à se perdre dans les bras de leurs amours, de leurs espoirs, de leurs amants? Et elle-même avait voulu être fascinée. Se l'était exigé, y avait mis toute sa patience, tout son sens peu développé de l'observation, avait cherché, puis avait été contentée, plus qu'elle ne le pensait tout d'abord.

Il n'était pas important d'apposer une identité près de l'homme aux tableaux. Certaines réminiscences préféraient être tues. Bien vite qu'il avait traversé sa vie, vive était la survivance de leurs étreintes.

Meredith s'était laissée abandonner au silence de l'homme en noir, fraîchement débarqué. Elle n'avait pas eu la force de réfléchir, s'était mue en lui telle l'exactitude d'antan, n'avait pu envisager l'avenir rêvé que lui proposait l'amant utopique que ses sentiments l'avaient rattrapée.

Elle continuait de jouer dans l'espoir qu'il réapparaisse.

Maxwell avait précautionneusement choisi ses adieux, dans les mois qui suivirent. Théâtraux, preuve de l'exigence d'une dernière danse déchue, de leurs derniers baisers, il avait abandonné, conscient, persuadé de ses choix, de la justesse de son action, puisque la soif de la déréliction était trop tentante, trop alléchante pour satisfaire une enfant trop assujettissante.

L'enfant avait vécu une existence sans mère, teintée par un père qui la pensait son obligée, qu'il marierait avec le garçon d'un de ses plus proches amis, dont elle ne pouvait s'empêcher de penser du bien malgré sa perfidie et sa perversion qui l'avait conduite à vivre à demi-teinte, le regard baissé de peur de trop déranger, et le regard glacé, occupé à détruire tous ceux qui s'amusaient d'elle du doigt, de la voix ou à l'arrière. Père qui se pensait permis les pires bagatelles, puisque le deuil se consommait comme il le pouvait. Elle s'était découvert la possibilité de faire souffrir les autres, que ce soit mentalement ou physiquement, avant de découvrir que, sans doute, sa véritable vocation résidait dans le piano-forte. Avait abandonné l'idée d'un fiancé et d'une oisiveté sans bornes, s'était fixée dans un coin pauvre mais pittoresque de Wollyland, avait seize ans.

Il y avait longtemps qu'elle fréquentait le piano, de part celui de son père. Meredith avait senti ses doigts frétiller à la sensation- certes, imaginaire- du piano sur ses doigts, s'était sentie frissonner à l'idée de jouer de nouveau. Elle n'avait pas encore de maison. Quand elle fut capable de gagner son propre pécule, qu'elle fut lassée de vivre en compagnie de cette troupe diffuse, la jeune femme décida de s'établir, véritablement. Choisit un appartement pour elle seule, falsifia son identité jusque l'âge qui lui permettait d'effectuer ces actions à son propre compte.

À demi-consciente, embrumée par la concrétisation de ce qu'elle avait toujours redouté, la seule et unique lettre que l'archiviste lui laissa restait, encore, aujourd'hui, en plein milieu de la table- reliure d'or, encre d'argent- qu'elle lui avait offerte :

« De ton passé je ne connais rien, de ton histoire je n'eus qu'un patronyme suavement murmuré et de ta force j'ai vu une soliste prodige. Rien qui ne puisse réellement justifier mon départ ni le justifier. Mais les cartes sont entre mes mains, retiens l'ataraxie entre les tiennes et ne le lâche pas. L'égoïsme et le mensonge croiseront ta route, tu es jeune, tu es belle, tu parais tel un songe aux yeux du monde et un homme ne peut s'en contenter. Ce n'est point de ta faute, mon amour- console-toi- sans doute demeurerais-je en toi, tel le pire égoïste,
Continue de jouer,
Éternel,
Maxwell. »


Et elle jouait. L'homme aux tableaux n'apparaissait pas, elle s'obstinait dans l'ombre, alors que l'audience augmentait et que l'impromptu succès toujours attendu par le balbutiant de la coulisse ne se faisait plus désirer, elle arrêta tout, se barricada chez elle et ne voulut plus jamais entendre parler de musique.

Mais continuait.
Quand même.
Encore un peu.
Quand elle le pouvait..


Hors Rp'

Premières impressions concernant le forum: Les polices minuscules qui m'obligent à froncer les yeux. Le design épuré et frais. J'aime.
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Dernière édition par Meredith L. Gray le Dim 19 Déc - 16:09, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Meredith || les sanglots longs des violons || Meredith  || les sanglots longs des violons || EmptyMar 6 Juil - 21:42

    Bonjour \ô/

    Woollyland, ça se prononce "wou", ça prend deux 'o', tout le monde se goure mais c'est pas grave, je persévère ! 8D

    J'ai quelques hésitations quand à ton pouvoir qui me semble, de fait, légèrement puissant. Cela me va si tu m'assures que tu n'en feras pas un usage inadéquat.

    Je t'accorde donc la 'Validation Morsureuse d'Après 23h00' avec joie \ô/ Une fiche toute pleine de phrases longues, mais ploupement bien écrite, j'aime beaucoup. ♥

    Sur ce, Ploup-bonne nuit. :D
Walrus
Walrus
team steak haché
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HUMEUR : Bweh.
CITATION : « L'objet possédé est heureux tant que son propriétaire l'a à l'oeil... »

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FICHE : La Cabane à Huîtres.
NOTEBOOK : Le moule à muffins
VIE SOCIALE : La pêche à la crevette
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