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Sheen Curkain, ou Mirror.

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MessageAuteur
MessageSujet: Sheen Curkain, ou Mirror. Sheen Curkain, ou Mirror. EmptySam 14 Aoû - 23:30

Récit ré-édité comme convenu.

Identité

Nom: Curkain
Prénom: Sheen
Surnom(s): Mirror
Âge: Approchant la trentaine
Date de naissance: 22 mars

Emploi:
Traqueur - Capitaine
Ville natale: Wonderland
Orientation sexuelle: Hétérosexuel
Don surnaturel: Possède la faculté de faire dire la vérité à ses interlocuteurs. Ce pouvoir peut cependant être contourné avec une force d'esprit assez développée. En effet, un adversaire spirituellement assez puissant pourra choisir de ne pas répondre du tout ou de répondre de façon détournée : une question comme " Qui êtes vous ?" pourra avoir comme réponse " Un fils d'horloger", ce qui, en soit, n'est pas faux, mais n'aide en rien.

Personnalité

Traqueur de renommée après l'affaire des pommes empoisonnées, Curkain tire de sa grande intelligence et de sa perspicacité une capacité hors-pair pour l'analyse. Il est capable de tirer des conclusions à partir de la plus compliquée des situations ou encore à partir des gestuelles les plus banales. Ajoutez à ça une impressionnante habileté au combat et une témérité sans limites, il n'est pas étonnant que Mirror soit devenu un traqueur des plus efficaces, ce qui lui a valu maintes fois les éloges les plus fortes de la part de ces concitoyens. Mais voilà le problème, si trop d'éloge il y a, il a tendance à prendre très vite la grosse tête et peut très rapidement devenir un être vaniteux et exécrable. D'un naturel froid et solitaire, il n'a que faire des relations sociales et se concentre essentiellement sur son travail, il n'a d'ailleurs aucun scrupule à créer la peur parmi ses amis -ou plutôt collègues- ou ses ennemis en les menaçant de révéler leur secrets les plus intimes par le biais de son pouvoir, pouvoir grâce auquel peu de personnes n'osent s'opposer à sa volonté. Il prend d'ailleurs un plaisir intense à en jouer, cela lui donne une impression de supériorité qu'il affectionne particulièrement. Ambitieux, il a pour unique but de gravir un a un les échelons et de finir par devenir Haut Commandant, qui serait le titre allant de paire avec son orgueil quelque peu démesuré par moment. Se suffisant à lui-même, il n'a pas besoin d'être aimé pour réussir, seul le résultat compte (il aime cependant être admiré pour ces mêmes résultats).
Entre deux enquêtes, il s'adonne quelque fois à la peinture, si l'on peut appeler ça comme ça, en effet, toutes ses « œuvres » sont des taches noires amorphes, ressemblant aux fiches des tests psychologiques. Il se sert d'ailleurs de la psychologie, ou plutôt de l'analyse de la psychologie des gens pour tenter de mieux les cerner, à défaut d'être sociable.
Il a la particularité de détester qu'on l'appelle par son prénom, il exige même que l'on n'utilise uniquement son nom : Curkain, ou son surnom : Mirror. Ses ambitions le poussant à vouloir le titre de Haut Commandant, il tire néanmoins une certaine fierté de celui de Capitaine. Il en convient donc qu'il est requis pour ses subordonnés d'utiliser ce titre pour s'adresser à lui.

Morphologie

Le Capitaine Curkain n'est pas très imposant, étant de taille moyenne et de corpulence dite « normale ». Il arbore un masque blanc sur lequel on peut voir des yeux et une bouche noirs, ce sont en fait des fragments de miroir sans teints : lui permettant de voir correctement sans pour autant que l'on voie son visage. Car à visage découvert, il devient effrayant, ayant été gravement brulé au visage pendant l'affaire des pommes empoisonnées. Ce masque lui permet d'être vu en société sans créer une vague d'effroi voire de dégout. Ayant une bonne capacité d'orateur : il joue, en plus du masque, de son intelligence et de ses paroles pour intimider son adversaire. Il n'est pas naturel d'avoir en face de soi quelqu'un qu'on pourrait qualifier de « personnage de carnaval » capable de tant de choses sur notre esprit. Il se vêtit essentiellement de noir, avec une chemise blanche ou dans les teints bleus dont il laisse le col ouvert, sous un long manteau lui arrivant au dessus des genoux, le tout rehaussé d'un chapeau, lui aussi noir, qu'il garde en toutes circonstances, même en intérieur où il convient généralement de se découvrir. On aperçoit quand même une chevelure bleu violacé passant au dessus du masque et lui arrivant au dessus des yeux : il a d'ailleurs l'habitude de tortiller sa mèche la plus longue, situé du côté droit, quand il réfléchit et qu'il n'a rien d'autre à portée de main. Il se contente généralement d'un stylo quand il en a un, qu'il fait tourner entre ses doigts.
En déplacement, il adopte une démarche lente, le dos légèrement voûté, la tête légèrement enfoncée dans ses épaules et les mains toujours dans les poches de son long manteau noir.


Récit

Dès son plus jeune âge, Sheen était déjà doté d'une intelligence peu commune. Vivant dans une famille plutôt aisée, il ne voyait pas beaucoup son père qui voyageait beaucoup pour son travail mais qui permettait à Sheen et sa mère de vivre de façon très correcte. Le père n'étant pas très ouvert, Sheen tentait de le comprendre les rares fois où il était présent, il l'analysait, sans s'en rendre compte. Il le fit de plus en plus naturellement, sans vraiment réaliser ce qu'il faisait, il analysait les gens avec une facilité déconcertante. Il n'avait pas beaucoup d'amis, il passait son temps à lire les livres qu'il trouvait dans la bibliothèque familiale, que ce soit des contes de fées ou d'autres romans plus sérieux laissés à l'abandon dans ce grand meuble de bois. Quand il ne lisait pas, il regardait les gens évoluer par la fenêtre, il remarqua que les enfants étaient parfois entourés de deux personnes : une femme et un homme, une mère et un père. Sheen se sentait différent, se demandait pourquoi il n'avait pas le droit à une vie « normale », avec deux parents, même si ce n'était que pour une occasion spéciale ? Pourquoi son père n'était-il là que trop rarement ? Il vouait un amour énorme à sa mère, il ne connaissait pas assez son père. Il lui en voulait même quelque peu de laisser sa mère toute seule à s'occuper de lui. Il tenta de faire ce qu'il pouvait pour remédier à ça, pour ne pas donner trop de travail à sa mère, pour l'aider, même s'il se concentrait sur ses études... Il devint très rapidement autonome, il se suffisait à lui même : son but était maintenant de rejoindre les unités d'interventions féériques, de devenir un traqueur de renommée. Il avait déjà entendu ce nom, que ce soit par sa mère ou par un quelconque moyen d'information : et ce nom l'attirait. il était persuadé de pouvoir faire un traqueur exceptionnel, capable de résoudre n'importe quelle enquête.
L'adolescence fut pour lui très calme, trop calme, aucun changement, aucune crise comme ils pouvaient en voir chez certains enfants de son âge. Le seul point où il restait « puéril » était sur cette volonté de devenir traqueur, ce rêve. Il ne savait pas comment faire, par où commencer. Il savait qu'il en avait les capacités, mais ne savait pas comment y arriver.

Il décida d'interroger sa mère, ne connaissant pas de traqueur personnellement, elle lui conseilla de se renseigner au commissariat principal. Il connaissait l'emplacement exact de ce bâtiment : un grand immeuble aux vitres de verre, un monstre de modernité fourmillant d'activité.
Ce n'est que quelque temps plus tard que sa mère tomba gravement malade. Alerté, le père revint le plus vite possible. Sheen et lui restèrent au chevet de la femme, tout le temps. C'étaient les premiers vrais moments que Sheen passait avec son père : il était content, mais avait quand même peur pour sa mère. Ils firent venir un médecin, le père en choisit un bon, se fichant du coût des honoraires. Sheen voyait enfin une part d'humanité chez cet homme qui lui semblait si indifférent par le passé. Bien que le médecin travailla d'arrache-pied, la femme mourra.
Le père s'arrangea pour être beaucoup plus présent, les deux hommes de la maison apprirent peu à peu à se connaître. Sheen lui fit part de sa volonté de rejoindre les unités d'interventions féeriques : son père lui promit de l'aider, comme il le pourrait. Il lui conseilla de se mettre à l'exercice, l'organisation étant une organisation militaire, la force physique y était requise. Il prit chacun des conseils de son père au pied de la lettre. Une question lui restait en tête, pourquoi sa mère ne répondait seulement à ses questions les plus simples ? Son père lui expliqua son talent, qu'il pouvait faire dire la vérité aux gens et que seuls ceux avec une force d'esprit assez développée pouvaient résister : soit en ne répondant pas, soit en répondant de façon détournée. Il ajouta que ce don pourrait lui être très utile s'il arrivait à devenir traqueur.
Ce fut un réel choc pour l'enfant. Il ne s'en doutait pas du tout. Il était plus que déterminé à devenir traqueur, il pratiqua un exercice physique régulier et continuait ses études avec une détermination extrême.

Quelques temps plus tard, il arriva devant ce bâtiment aux vitres de verre. Il entra et arriva dans la réception. Plusieurs personnes étaient là, certains derrière des comptoirs, travaillant ici, d'autres patientant sur des fauteuils. Sheen pris un fauteuil, en attendant qu'un comptoir se libère. Il passa le temps en regardant les gens autour de lui, il y en avait de toutes sortes : hommes, femmes, fées, etc... Certains semblaient sereins, d'autres perdre patience : ceux là étaient tendus, soupiraient, faisaient toutes sortes de gestes avec leur mains...
Son regard se fixa ensuite sur le comptoir réservé aux renseignements. La place se libéra au bout de quelques minutes. Sheen se leva et marcha jusqu'au comptoir, il arriva devant un homme d'environ 23 ans, au teint assez pâle : il ne semblait assez antipathique. Sheen lui fit part de son envie de rejoindre les unités d'interventions féeriques, lui expliquant qu'il venait se renseigner sur les études à faire et la procédure à suivre.Après avoir vérifié ses dossiers, n'ayant rien trouvé au nom de Sheen Curkain, l'homme lui parla d'une école non loin du commissariat qui formaient les gens en désir de rejoindre l'organisation : il pourrait y suivre un apprentissage théorique et pratique. On lui donna un papier avec l'adresse. Il partit, sans oublier l'habituelle formule de politesse.
Il prépara son dossier d'inscription, il y mis son nom, son prénom, son niveau d'étude et y ajouta son talent, persuadé qu'il avait avec celui-ci un atout majeur. Il ne se rendit que le lendemain à l'adresse qu'on lui avait donné, c'était un bâtiment assez grand. Il entra, ce n'était pas aussi rempli que le commissariat principal, et beaucoup moins spacieux. Il n'y avait pour ainsi dire personne, hormis un homme assis derrière comptoir. Sheen s'avança et lui présenta son dossier. On lui demanda de patienter, l'homme inspecta son dossier.
Il lui expliqua qu'il pourrait entrer à l'école dans deux semaines. Il se contenta d'acquiescer et rentra chez lui, expliqua à son père qu'il avait réussi. Il était plus près du but qu'il ne l'avait jamais été. Les deux semaines suivantes lui parurent les plus longues de sa vie. Quand finalement arriva le jour, il salua brièvement son père, et se mit vite en route. Ca y est, il entrait à l"école.
Il y passa cinq ans, pendant lesquels il apprit à se servir d'une arme, il s'entraina au combat, il suivit des cours théoriques. Il est même arrivé quelque fois qu'on le convoque au commissariat principal pour un interrogatoire : ayant désormais une certaine notoriété grâce à son talent, en arrivant dans la salle d'interrogatoire, les suspects se disaient " Mince, je vais devoir dire la vérité" et n'étaient donc pas capables de résister, ils crachaient le morceau, par réflexe. Au bout de ces cinq ans de dur labeur, il obtint sa place dans l'organisation, et après un certain temps, fut envoyé en mission.

Il eut vent d’un inventeur noyé sous l’alcool, dont l’invention était cinq mioirs prétendus magiques, incapables de mentir à leurs propriétaires respectifs. Seulement, et là était le problème, chacun de ces miroirs abritaient cinq pâles copies de Sheen, qu'on appelait désormais Mirror. Il se devait de retrouver ces miroirs, et de les anéantir une à un. Il devait préserver son image. Cette affaire l’emmena aux quatre coins du monde, traquant avec témérité les quatre premiers miroirs, qui furent une partie de plaisir à détruire. Seul un lui manquait. Heureusement, il avait pensé à interroger le dernier miroir avant de l’anéantir, qui, bien que n’étant une invention, ne pouvait mentir au vrai Mirror. En fait, ça l’arrangeait, une simple invention n’avait pas la force d’esprit nécessaire pour contrer son pouvoir…
Le dernier se trouvait au manoir Applewood : où vivait la petite Snow White et son père, récemment marié à une dénommée Muscarine, qui détenait le dernier miroir. Ces gens là n’étaient pas craintifs, il ne fut pas compliqué d’entrer dans le manoir. Le plus dur était de ne pas se faire remarquer. Il du attendre, caché, observant les habitants dans la pénombre. Il aperçut son reflet, le dernier miroir, lui ressemblant traits pour traits, comme les précédents. Il fallait encore attendre, un moment où le miroir serait seul, loin de sa propriétaire, ce serait le moment pour agir. Il fallait le faire discrètement, ne pas éveiller les soupçons, ne pas se faire repérer. Muscarine et l’invention avaient leurs appartements au 1er étage du manoir, ils partageaient la même chambre, ce dernier se retirant dans le miroir au moment de dormir. L’heure du diner approchait, Muscarine commença à descendre, il fallait agir vite, avant que l’invention ne rentre dans le miroir, vite et sans bruit. Une fois Muscarine descendue, Mirror passa à l’action avec une agilité féline, rapidement et discrètement. Il frappa le faux miroir à la jambe droite, puis dans la gorge, l’empêchant de crier, suivi une frappe vive au même endroit sur la jambe droite, obligeant le faux Mirror à se mettre à genoux. D’une rotation puissante, Mirror brisa la nuque de son adversaire. Il le transporta à l’intérieur du miroir, heureusement pour lui, même mort, il pouvait y entrer.
Il s’apprêta à repartir, quand reparu soudain la maîtresse du miroir, Muscarine Applewood, une expression exaspérée sur le visage. Elle s’adressa à Mirror :

« Mirror ! Tu n’as toujours pas trouvé un moyen d’éliminer la petite Snowy ? »

Cette phrase piqua la curiosité du traqueur, en une fraction de seconde, il décida de répondre à la jeune femme et de rester pour en savoir plus par la suite.

« Non, pas encore… »

Il apprit dans les jours suivants que la femme avait eu l’habitude de tuer par explosion, ou d’autres moyens plus doux. Mais cette histoire lui semblait quelque peu surprenante, comment la police des contes, pour laquelle il travaillait, n’aurait rien soupçonné ? Il ne prenait pas au sérieux cette jeune femme : elle lui semblait être une de ces personnes atteinte de légère folie, exprimant une rancœur énorme mais n’ayant pas assez de cran et de culot pour passer à l’action.
Mirror était sûr du résultat de l’affaire, quand elle tenterait d’assassiner la petite Snow White, il l’en empêcherait et l’arrêterait sur le champs. Il était complètement sûr de lui. Mais voilà qu’un soir, où Muscarine lui raconta une enième fois son dessein ridicule : à savoir de tuer la petite par jalousie, simplement parce que la beauté de cette dernière est supérieure à la sienne, Mirror éclata de rire. Ce fut une fois de trop…
Le regard de Muscarine changea, on pouvait sentir la rage dans ce regard. Elle enflamma une pomme qu'elle envoya directement dans le visage de Mirror, celui-ci ne vit rien venir, c’était donc comme ça qu’elle s’y prenait pour ses explosions. Il prit la fuite et réussit à s'en sortir. Il garda tous ses sens, mais fut complètement défiguré. Il mit un certain temps à rentrer dans ses appartements, il fut gardé une semaine en convalescence à l’hôpital, à broyer du noir, le visage recouvert de bandages. A son réveil, son père se tenait en face de lui, un masque dans les mains qu'il tendit au grand brûlé qui s'empressa de le mettre. Il n'avait pas d'autre choix, s'il voulait conserver sa place dans la société.
Il apprit par la suite que Muscarine tenta de tuer la petite Snow White mais échoua. Il s’empressa de monter un dossier sur elle et fut convoqué à son procès.



« Maintenant, je vais appeler Sheen Curkain, ou Mirror. » c'est ce qu'ont pu entendre les gens présents à l'audience ce jour là. Un homme arriva dans l'enceinte du tribunal, un masque sur le visage, et vêtu d'un long manteau noir dont on pouvait voir dépasser le col ouvert d'une chemise aux teints bleutés et d'un chapeau ; c'était Mirror. Il entra dans le tribunal lentement, les mains dans les poches.

« Monsieur Curkain, de quoi accusez madame Applewood, ici présente ?
-D'un total d'environ 68 explosions en tout genre, de 16 homicides volontaires par calcination et 129 par injection de poison, plus un viol. N'ai-je pas raison, Muscarine ? »


Il l'avait piégé à son tour : elle ne pouvait pas mentir, bien qu’il l’ait sous-estimée une fois, cette fois il était sûr de lui, elle connaissait par cœur le Mirror du miroir, mais pas l’original, elle ne pouvait pas contrer son pouvoir.

« Si, totalement, reprit la femme. »

Il marcha vers la sortie. Il put entendre pendant ce temps qu'elle écopa de quatre siècles de prison.
Mirror avait envoyé un des plus grand criminel de leur époque derrière les barreaux, même s'il y avait laissé son visage, il obtint le titre de Capitaine des Traqueurs, et un nombre énorme d'éloges.

Les années passèrent, Mirror continua son métier, ne vivant plus que pour ça. Il avait oublié le nom de Sheen, il ne répondait plus qu'aux noms de Curkain ou de Mirror. Il garde encore à ce jour une rancune énorme envers celle qu'on appelle maintenant Crazy Apple.





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Dernière édition par Mirror le Mar 17 Aoû - 21:59, édité 8 fois
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MessageSujet: Re: Sheen Curkain, ou Mirror. Sheen Curkain, ou Mirror. EmptyLun 16 Aoû - 9:21

Bonjour !

Je préfère prévenir que si tu me trouves sévère, c’est bien à cause de l’importance du PP, qui requiert un haut niveau de langue ; donc excuse-moi si je me montre quelque peu impitoyable par moment^^’

Alors, sur le plan de la langue pure, quelques fautes, que je n’ai pas toutes corrigées, quelques répétitions, et quelques phrases à la syntaxe ou à la construction un peu boiteuses enfin :

Citation :
Il est capable de tirer des conclusions à partir de la plus compliquée des situations jusqu'aux gestuelles les plus banales.

Le « à partir » doit être répété ou la construction altérée ; sans quoi on a l’impression qu’il commence à tirer des conclusion dans « la plus compliquée des situations », puis que celle-ci évolue en « gestuelles des plus banales » pendant qu’il est toujours en train de déduire… Je ne sais pas si je suis très clair >_O

Sinon :

Citation :
« Ajouté à ça une impressionnante habileté au combat et une témérité sans limites, Mirror est devenu un traqueur des plus efficaces, ce qui lui a valu maintes fois les éloges les plus fortes de la part de ces concitoyens. »

Outre le fait qu’« ajouté », dans ce contexte, s’écrit plus probablement « ajoutez », on attend un mot/des mots qui fasse(nt) lien entre la première proposition et la seconde : « Ajoutez à ça une impressionnante habileté au combat et une témérité sans limites et il n’est pas étonnant que Mirror soit un traqueur des plus efficaces, ce qui lui a valu maintes fois les éloges les plus fortes de la part de ces concitoyens. »

Citation :
il n'a d'ailleurs aucun scrupule à créer la peur parmi ses amis -ou plutôt collègues- ou ses ennemis en les menaçant de révéler leur secrets les plus intimes par le biais de son pouvoir, pouvoir grâce auquel peu de personnes n'osent s'opposer à sa volonté.
Le truc, c’est que son pouvoir est uniquement de faire dire la vérité… Par de forcer les autres à la dire. C’est-à-dire que tu n’es pas obligé de répondre à ses questions – ou tu peux répondre en contournant la vérité. Par exemple, s’il te demande « As-tu volé ceci ? », tu peux rétorquer « On m’a toujours connu honnête ! », ce qui semble être une réponse suffisante mais, en réalité, ne lui répond pas du tout. Ensuite, tu peux, comme l’ancien Mirror, préciser que les êtres d’une faible force d’esprit auront du mal à ne pas répondre par réflexe…
D’ailleurs, tu montres sa mère ne répondant pas à ses questions, alors…

Citation :
Il a la particularité de détester qu'on l'appelle par son prénom, il exige même que l'on n'utilise uniquement son nom : Curkain, ou son surnom : Mirror. Étant imbu de sa personne, il estime même faire une fleur à ses subordonnés en ne les obligeant pas à utiliser le mot « Capitaine » devant son nom ou son surnom pour s'adresser à lui...
Hum, les Traqueurs s’adressent toujours à leur Capitaine en l’appelant par son titre (cf les topics des autres Traqueurs, comme Knight et Beast ou Lucian et Oriel)… Donc là, Mirror se montre déjà bien familier.

Citation :
Il peut cependant être intimidant par le fait qu'il arbore un masque blanc parsemé de taches noires représentant les yeux et la bouche, un grand sourire aux lèvres.
Soit des trous enchantés pour ne pas laisser voir le visage derrière, soit des fragments de mirroir sans teint, mais pas des tâches… Le pauvre homme aurait, sinon, quelques problèmes de visibilité !
L’expression « être intimidant par le fait que » est incorrecte. Dans la phrase, c’est le fait qu’il arbore un masque qui est intimidant ; « il » n’est donc pas sujet, mais « le fait ».

Citation :
Ce masque lui permet d'être vu en société sans créer une vague d'effroi voire de dégout. Couplé à son intelligence et ses paroles, Mirror est capable d'intimider son adversaire
Encore une phrase sans lien logique >_< Je sais bien que c’est le masque qui est couplé, mais il faut que tu relies explicitement ceci à la deuxième phrase – d’autant que, après, c’est Mirror qui est sujet de ladite phrase, et qui devrait donc être le nom allié à « couplé » si on suivait la logique de la syntaxe employée ici…

« Il se vêtit essentiellement de noir »
Petite erreur de temps : au présent, c’est « il se vêt »^^

Citation :
On aperçoit quand même une chevelure bleu violacé passant au dessus du masque et lui arrivant au dessus des yeux, il a d'ailleurs l'habitude de tortiller sa mèche la plus longue, situé du côté droit, quand il réfléchit et qu'il n'a pas d'autre objet à sa portée, il se contente généralement d'un stylo quand il en a un, qu'il fait tourner entre ses doigts.
Je profite de cette phrase pour plaider pour l’usage d’une ponctuation un peu plus variée dans tes phrases : tu te contente d’une alternance de virgules et de points quand tu gagnerais parfois à l’usage d’un tiret, d’un point-virgule, de deux points… Prends cette phrase, dans laquelle on se perd un peu à force de virgules, et qui est d’ailleurs incorrecte sur le point de la syntaxe puisque ses propositions devraient par endroit être séparées par une ponctuation plus forte :
Citation :
On aperçoit quand même une chevelure bleu violacé passant au dessus du masque et lui arrivant au dessus des yeux : il a d'ailleurs l'habitude de tortiller sa mèche la plus longue, situé du côté droit. [Le point est ici nécessaire car tu passe à autre chose. La phrase devient moins compréhensible sinon : il m’a fallut quelques instants pour comprendre que « pas d’autres objets » ne désignait pas la mèche de cheveux…] Quand il réfléchit et qu'il n'a pas d'autre objet à sa portée, il se contente généralement d'un stylo quand il en a un, qu'il fait tourner entre ses doigts.
Les deux points instaurent une pause dans la phrase et l’équilibrent un peu plus. Souvent, deux propositions qui devraient être séparées par ce type de ponctuation ne sont espacés que par deux virgules…

Histoire
Citation :
il remarqua que tous les enfants étaient entourés de deux personnes
Hum, c’est vraiment un détail mesquin, mais… Très peu d’enfants sortent dans la rue avec leur deux parents, sauf sortie exceptionnelle (cinéma, restaurant…), et encore.

Citation :
Pourquoi son père n'était là que très rarement, et pourquoi dans ces rares moments il ne daignait même pas lui adresser la parole ?
N’était-il, ne daignait-il même pas lui adresser la parole dans ces rares moments.

Au demeurant, je ne comprends pas trop non plus puisqu’il a l’air de vouloir assurer une assurance confortable à son fils et à sa femme ?... Un homme un peu froid, d’accord, mais ne jamais parler à son fils…

Citation :
Il vouait un amour énorme pour sa mère
Vouait un amour énorme à sa mère^^

Citation :
il avait arrêté les études, il n'en avait plus besoin dû à [grâce à] sa grande capacité d'analyse dont il avait maintenant pris connaissance
… En quoi une grande capacité d’analyse permet-elle d’éviter les études ? Surtout que…

Citation :
son but était maintenant de rejoindre les unités d'interventions féériques, de devenir un traqueur de renommée.
… Devenir Traqueur exige de suivre des études… Et sa mère l’a vraiment laissé abandonner sa scolarité comme ça ? D’autant que tu nous parle ensuite de son adolescence, donc cela signifie qu’il a abandonné ses études vers douze ans ?...

Citation :
Il avait lu ce nom dans la gazette, et ce nom l'attirait, il ne savait pas pourquoi, mais il l'attirait, il était persuadé de pouvoir faire un traqueur exceptionnel, capable de résoudre n'importe quelle enquête.
Hum, les Traqueurs sont des policiers, donc… Il en a sûrement entendu parler avant. Par ailleurs, la répétition de « attirer » est surtout une tournure orale… Et l’explication « il ne savait pas pourquoi » est un peu bizarre – ça fait attrait mystique inexplicable…

Citation :
aucunes crises comme ils pouvaient en voir en regardant par sa fenêtre
… Il regarde des crises d’adolescence par sa fenêtre ?... Egalement, « aucun » est singulier, donc le nom qui va avec aussi.

Citation :
Il ne savait pas comment faire, par où commencer. Il savait qu'il en avait les capacités, mais ne savait pas comment y arriver.
Et sa mère ne l’a pas aidé à faire des recherches ? Dans la vie réelle, par exemple, tu demandes à tes connaissance si elles connaissent un policier ou la formation pour en être un… Ou tu abordes directement un policier en patrouille (ça le flattera sûrement, en plus^^).

Citation :
les unités d'interventions féériques cherchaient de nouveaux traqueurs, une adresse était donnée, c'était ici, à Wonderland, il s'empressa de la noter et la garda précieusement.
Attends, il ne connait même pas l’adresse d’une institution publique ?! C’est un peu comme ne pas connaître l’adresse de la mairie…

Citation :
Ce n'est que quelque temps plus tard que sa mère tomba gravement malade, après avoir mangé une pomme.
La référence au conte est ingénieuse, mais là, sans justification, au milieu du récit, ça fait un peu étrange…

Pourquoi sa mère n’a-t-elle jamais pu répondre à ses questions ? ô_o Des interrogations d’enfants du style « comment on fait les bébés », « c’est quoi le nom du bébé cheval » ou même « pourquoi papa ne vient jamais ? » (= « Parce qu’il est occupé, mon chéri », ce qui est vrai d’après ton récit), puis des questions d’ados du genre « comment devenir Traqueur » ou « pourquoi je peux pas lire cet ouvrage intéressant intitulé « Fées Nymphomane et Gais Chevalier » ne nécessitent pas de réponse compromettantes…

Et lorsque Sheen voit sa mère mourante, sa seule réaction est tenter de la forcer à répondre ses questions ?...

Et où est son père pendant ce temps ?... Encore une fois, tu ne le montres pas non plus, à la base, comme un monstre d’indifférence…

Citation :
Elle était morte, il ne le remarqua pas tout de suite. Il s'en voulait, il était persuadé de l'avoir tué.
L’avoir tuée comment ? oO Sachant qu’à côté, tu le montres assez indifférent pour la questionner et méditer à côté d’elle – et ils n’ont pas appelé de docteur ?...

Citation :
Il réussit à s'installer rapidement grâce à cet argent
Euh. Combien a-t-il volé, exactement, pour pouvoir se payer un appartement ?

Citation :
il se découvrit un goût prononcé pour la peinture
Comment ? Par quel raisonnement, quel évènement ? Et pourquoi juste des tâches noires ? Et, soudain, cette idée d’un masque ?:/

Citation :
Quelques années plus tard, il se présenta aux unités d'intervention féériques.
Quelques années ? Qu’a-t-il fait en attendant ?
Citation :
Il arriva dans un grand bâtiment assez sombre, lugubre, qui aurait pu être un refuge de la pègre.
Dans la description du commissariat, il est indiqué que l’endroit est fourmillant d’activité…

La séquence de l’embauche de Mirror, quoique caractéristique de l’audace que tu prêtes au personnage, est surréaliste. On ne devient pas Traqueur comme on devient caissier de supermarché ; déjà, il y a des études à faire et ensuite, on n’embauche personne comme policier sans avoir vérifié son casier judiciaire… Sachant que Mirror doit quand même être recherché par son père !

Citation :
on le félicita, et lui expliqua qu'il fallait qu'il s'entraine au combat, et qu'on l'appellerait si jamais on avait besoin de lui pour un autre interrogatoire. Il s'exécuta et alla s'entrainer. Les jours passèrent, il progressa à un rythme impressionnant, et, quand il eut développé une habileté au combat suffisante, on l'envoya au briefing de sa première mission sur le terrain.
Il s’entraîne tout seul, progresse à une vitesse miraculeuse bien qu’il n’aie jamais fait d’exercice auparavant et pouf, sans vérifier ses compétences, on l’envoie au charbon ?

Citation :
On lui fit vent d’un inventeur noyé sous l’alcool, dont l’invention était cinq miroirs, renfermant chacun le même homme, capable de passer au travers de ce miroir comme bon lui semblait, et ayant, semblait-il, la propriété d’être incapable de mentir, de dire la vérité, et seulement la vérité, à son propriétaire.
« Il eut vent » ; répétition d’inventeur/invention ; et je n’ai rien compris à l’explication:/

Citation :
Simple banalité quand il s’agit d’un inventeur sâoul
C’est banal, pour un ivrogne, d’inventer des miroirs magiques ?

Citation :
chacun de ces miroirs renfermaient Sheen, ou plutôt Mirror, qui était désormais son surnom.
Renfemaient Sheen ?...

Pourquoi le passage soudain au présent pour raconter l’épisode Snow White ?...

Citation :
« Dis moi, Mirror, quel est le vrai nom de Snow White ? Je suis sa belle-mère, je devrais savoir, non ? Alors, dis moi la vérité. »
Traqueur d’élite et il ne connait même pas le nom des gens chez lesquels il s’infiltre ?...

Pourquoi a-t-il oublié son prénom ?... Une rancune particulière ? Mais laquelle ?...

En résumé, je dois avouer qu'il te reste encore beaucoup à travailler, surtout du point de vue de la syntaxe. Je m'excuse encore une fois si je t'ai paru cruel ; comme je te l'ai dit, tu incarnes un PP important, donc les exigences sont forcément supérieures à un PP ordinaire, et encore plus qu'un personnage inventé.

Malgré tout, je te souhaite une bonne chance et un bon courage pour ta correction, en sachant qu'un test RP sera peut-être encore exigé après ta validation^^'
The Charming Prince
The Charming Prince
mr. tout-le-monde... ou pas !
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HUMEUR : Furieux ♥
CITATION : Le sourire est la langue universelle de la bonté. - William Arthur Ward

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MessageSujet: Re: Sheen Curkain, ou Mirror. Sheen Curkain, ou Mirror. EmptyLun 16 Aoû - 21:32

Je ne t'ai trouvé ni sévère ni cruel. Je conçois tout à fait qu'il faille être exigent pour un PP comme celui-là.

Récit édité :)
Anonymous
Invité
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MessageSujet: Re: Sheen Curkain, ou Mirror. Sheen Curkain, ou Mirror. EmptyVen 20 Aoû - 18:19

Bonsoir,

Tout d'abord, toutes mes excuses pour le retard de cette réponse - la décision n'a pas été facile à prendre, et il a fallut que tout le staff puisse donner son avis^^'

Malheureusement, je dois énoncer un avis défavorable envers ta fiche. Tu l'as grandement améliorée par rapport au premier jet - beaucoup de fautes ont disparu, ainsi que quelques maladresses d'expression - mais cela reste un peu faible par rapport à l'importance du PP et au niveau des personnage avec lesquels il devra interagir - je pense à Big Bad Wolf notamment -, et le personnage reste un peu "schématique" ; on n'y sent pas beaucoup ta touche personnelle, même si l'invention de sa passion pour la peinture, malheureusement trop peu développée, était une invention intéressante.

Tu es cependant plus que libre de tenter ta chance avec un personnage de ton cru - comme je te l'ai dit, nous sommes particulièrement exigeants sur les personnages prédéfinis, donc ne te sens pas incompétent ! Et j'espère sincèrement pouvoir te voir continuer sur le forum.

Bonne chance en tout cas,

Charmy é_è
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Sheen Curkain, ou Mirror.

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