Les femmes la jalousent, les hommes la désirent, et pourtant elle, elle ne remarque rien. Candice est belle. Son corps petit et fin est voluptueusement sculpté. Ses formes sont arrondis et délicate. Elle est légèrement plus petite que la moyenne, tout en gardant une taille respectable. Sa peau est assez clair et pure, brillante et douce. Son visage est ni rond ni allongé et fin avec des traits doux.

Sa bouche est légère et ses lèvres pulpeuses. Elles laissent apparaitre ses dents du haut lorsqu'elles s'étendent en un charmant sourire. Ce dernier forme une petite fossette sous sa joue gauche. Ses dents sont droites, parfaitement alignées, bien sur, la perfection va jusqu'au moindre détail, et blanche comme la neige.

Puis on peut remonter sur son nez en forme de triangle fin entre ses joues fines mais qui s'arrondissent joliment avec son sourire. Puis on peut voir ses yeux. Deux grands yeux bleus brillant tel le saphir, qui peuvent exprimer tous ses sentiments rien qu’en modifiant son regard. Pétillant et perçant lorsqu'elle est heureuse, grandit sous la surprise, brillant par tristesse, perdu lorsqu'elle rêve.

Finalement, elle a de long cheveux blond qui descendent jusqu’aux milieux de son dos. Naturellement raides, elle aime les coiffés de différentes façons, les bouclés, les natter, les relever avec soin, les laisser détacher mais en aucun cas, se les couper de plus de 5 centimètres. Elle aime la longueur qu’ils ont atteint à présent.

Naturellement, l'expression de son visage est calme voir un peu triste malgré ses lèvres souriantes légèrement mais sans découvrir ses jolie dents.

Candice dispose d'une réelle noblesse et délicatesse dans sa démarche et son maintien. (Ce qui dénote quelque peu avec son caractère.) Droite et la tête haute, ses mouvements sont gracieux et élégant. Elle dispose d'une certaine force, malgré son apparence menue. Ses mains sont délicates et aux doigts longs.

Son style vestimentaire change selon son humeur, l'endroit où elle se trouve, ses envies.

Une semaine après la naissance de Candice.
« Candice Pleasance Hayes… C’est tellement beau… Mon bébé. » La mère observait son tout premier bébé dormir dans ce si petit berceau. Lentement elle leva l’une de ses longues et fines mains et caressa le visage poupin. Puis reculant elle quitta la chambre à pas feutré. Les Hayes venaient donc d’avoir enfin leur premier enfant, la première héritière d’une puissante famille de vampire de Wonderland…

Plusieurs années plus tard, Candice 10 ans.
La petite blondinette virevoltait dans sa robe de bal. Un joli vêtement rose poudré agrémenté d’un tas de dentelles et rubans en tout genre. La fierté de Candice, cette robe elle l’avait elle-même crée enfin elle l’avait décrite oralement à un couturier et ami de longue date de sa famille. Et tourne, tourne, tourne. Comme toujours la tête en l’air l’enfant n’avait pas remarqué que sa mère était entrée dans la chambre dans laquelle elle se trouvait. Elle n’avait pas non plus remarqué que sa mère tenait entres ses mains un plateau débordant de tous les cotés. BAM. La collision était inévitable, le contenu du plateau s’écrasa sur le sol, des verres se brisèrent et une claque fusa. Candice porta ses deux mains sur sa joue. « Que tu peux être idiote Candice ! » Silence. Silence. Silence. « Réponds un peu ! Tu es tellement niaise ma vie, tu ne vois rien, tu n’anticipes pas la moindre chose, que deviendras-tu ? Tu es une source de problème sur patte ! » Idiote. Problème. Niaise. Ces mots font mal, et Candice sent son petit cœur se briser, et Candice sent les larmes couler. « Et voilà, encore à pleurer… Candice, je ne veux pas te voir à la réception. Écoute-moi bien tu vas monter à l’étage, me jeter cette robe et... » « Mais… » « Et aider les autres en arrêtant de te conduire comme une gamine. » Aider les autres, c’est ce que retins ce jour la petite Candice.

Cinq ans après, Candice 15 ans.
« Caaaaandice, descends la voiture t’attends ! » Candice ne se fit pas prier et descendit. Elle allait voir un psychologue ou un psychiatre, elle ne se rappelle plus. Elle sait juste que ces parents s’inquiète pour elle. Mais elle, elle ne comprend pas. Elle veut seulement être aimé Candice, elle veut seulement que sa mère sois fière d’elle, elle est seulement gentille avec tout le monde, elle obéit à n’importe qu’elle ordre si cela lui permet d’aider. Ce n’est pas ce que voulait sa mère ? Aider les autres. Arrivé au cabinet, la jeune patiente entre une aux formes généreuses semblant se parler à elle-même, et un petit garçon au sourire carnassier. Après plus d’une heure d’attente on l’appelle enfin. Et là elle panique laissant place à Lust […] Candice reboutonne sa chemise offrant un sourire aguicheur à son si séduisant et jeune psychologue. « Je vous avais dis docteur, que je saurais vous convaincre de ne rien dire sur mon état à mes parents… Tout ça reste entre nous alors ! » Sur ce elle quitta lascivement le cabinet…

Ensuite tous s’enchaina à une vitesse folle. Mort des parents Hayes. Mort du psychologue de Candice. Crise plus forte. Premier et véritable amour. Rupture et disparition de l’être tant aimée… Et maintenant que peut bien nous réserver Candice Pleasance Hayes ?