Alyson Drew Heather alias Blanche-Neige .. Le prénom de sa mère (Alyson), ainsi que celui de sa grand-mère Drew. Et le sien.

Snow White, qui est son préféré,Snowy, qu’elle réserve a l’intimité, Heat', Aly' , Sonny' , Blanche-Neige, Gamine, qu’elle préfère ne pas prendre en compte parfois, et bien d’autre encore… Si il fallait les compter, plusieurs volumes en seraient nécessaires, cela varie aussi selon ce qui se passe et son interlocuteur.

17 années, eh oui, elle est jeune.

Un 20 décembre, lors d'une froide nui d'été à Candyland.

Elle est l’unique vendeuse d’une petite boutique du centre-ville, nommé « Paradise Sweet ». La demoiselle y vend de nombreuses douceurs en passant du bonbon tout rose au gâteau au chocolat et en finissant par des tas d'objets tous farfelues.

Bouclier miroir, en plus de la protéger de toutes attaques magiques ce bouclier, renvoi l'attaque dont aurait pu être victime l jeune sur,deviner qui ? La personne qui à jeter cette attaque.Ingénieux non ? (Malheureusement,un effet de moins de cinq minutes,le temps de se sauver.)

Bisexuelle, parait-il.

« Une enfant, au teint blanc comme la neige, aux lèvres rouges comme le sang et aux cheveux noirs comme le bois d´ébène ! »

C’est ce qu’elle était la jeune demoiselle, jusqu’au départ de sa belle-mère et la mort de son père. Aujourd’hui quand on voit Snow White, on voit de longs cheveux noir ébène qu’elle adore faire glisser entres ses doigts, mais revenons en a ses cheveux, ses sublimes cheveux. Soyeux, lisses et brillant, quoi de mieux ? Et pour les rendre encore plus magnifiques Snowy’ met des tas d’accessoires dans sa chevelure de rêves. Du simple serre tête rouge agrémentée d’un nœud papillon à un cache œil, tout y passe. Venons-en à son corps. Un joli visage d'ange, la peau est jolie, sans défaut, claire, pas laiteuse, plutôt pêche claire, de jolies pommettes remontées, légèrement teinte, artificiellement ou non, de rose. Un joli nez, droit, fin, ni trop long, ni trop court, de chaque cotés deux amandes effilées. Deux jolis yeux bleus océan, souvent ornés d’un maquillage charbonneux, lui donnant un air mystérieux et joueur, quand aux jolies lèvres pleines et douces, elles sont vives, rouge comme le sang et joliment peintes de rose, de prune, ou de fuchsia. Un joli cou gracile, souvent orné de colliers ras le cou, ou de sautoir avec lequel elle joue avec des mains longues, fines et gracieuse, très agile, et donc qui s'élargit sur des épaules gracieuse, ainsi qu’une poitrine avantageuses, joliment faite. On ne peut nier que la demoiselle est très belle, comme une... princesse, je crois, je ne sais pas c'est elle qui m'ordonne de vous le dire, moi, narratrice, je la trouve a croquer, c'est même la principale raison pour laquelle on l'apprécie, un peu folle et délurée, elle aime tout autant son physique, hum. Continuons, de la poitrine on descend sur un ventre plat, une taille fine, avec une forme prononcée, pire encore quand elle est vêtue, de jolie hanche arrondies, des cuisses musclées, rondes et douces, de joli mollets courbés, des chevilles un peu maigre, et de très petits pieds, voilà.

Blanche-Neige possède un style vestimentaire assez particulier. Elle se complait à porter des robes à volants, à froufrous et à dentelles. La demoiselle ne passe pas inaperçu. Mais tous ces vêtements lui vont réellement bien. Elle préfère porter des couleurs pâles. Bleu pâle, rose pâle, toutes les couleurs y passent sans aucune exception. Jamais vous ne la verrez en jeans ou quelconques pantalons, les maitres mots de son style vestimentaire sont : jupe et robes.

Mon dieu, quand les gens rencontrent Snowy’, la première chose qu’il espère c’est qu’elle se taise. Bon dieu, on se demande comment son entourage arrive à la supporter. Elle est pipelette et en plus de ça, parle pour ne rien dire. « Oh un nuage », « Et puis vous savez, les fleurs c’est beau *-* » Nan mais on s'en fout quoi. Qu’est qu’on en a à faire que les fleurs soient belles où que le nuage ressemble à un oiseau. Et pourtant, Leila ne peut s’empêcher de faire ce genre de remarque. Blanche-Neige peut débiter un flot impressionnant de parole sans intérêt dans un temps record, ce qui devait agacer sa belle-mère au point de vouloir la tuer. En fait, elle ne se rend même pas compte des âneries qu’elle raconte, pour elle, ce qu’elle dit est tout à fait intéressant et logique.

Snow White est une personne possédant un sang froid impressionnant. Elle ne s’énerve jamais et regarde les gens en souriant bêtement et en penchant la tête sur le côté quand on lui parle. C’est exaspérant de voir une personne qui met énormément de temps à réagir. On a beau l’insulter, la frapper, l’humilier, elle continue de sourire niaisement et de pencher la tête. Mais ce n'est pas parce que Snowy’ met du temps à réagir qu'elle est idiote, loin de là. C'est une fille débrouillarde et autonome (et ce n’est pas les sept nains qui diront le contraire), avec une intelligence dans une moyenne tout à fait acceptable. Et oui, Snow’ n'a pas rien dans le crâne. C’est juste que la jeune fille aime prendre son temps.

Parce qu'il arrive à Snowy’, souvent, de taquiner les gens. Toujours gentiment, mais à les taquiner quand même. De diverse manière mais elle trouve toujours un moyen. C'est la meilleure chose qu'elle a trouvé à faire pour montrer qu'elle apprécie quelqu'un.

Mais croyez-vous que derrière cette facette d’adorable et douce jeune fille, il n’y a rien ? Au contraire, tout le monde se trompe sur son compte. Oui, avant elle était cette jeune fille, mais quand son père mourut et que sa belle-mère voulut la tuer, la jeune fille eut, un tout autre comportement... Différente des sentiments d’autrui et un sourire machiavélique aux lèvres, comme au procès de sa chère belle-mère. En somme une jeune fille... maligne à la fois douce et mystérieuse.

Le silence feutré d'une chambre, une chambre qui paraissait tranquille, par les persiennes se diffusait la lumière du soleil. Une respiration douce s'échappait du lit. Les draps verts pâle étaient froissés, voire déchiré, sur l'un des oreillers reposaient une tête aux longs cheveux noir ébouriffées qui dormait profondément. Plus pour longtemps, mais profondément, la porte de chêne s'ouvrit avec lenteur dans un petit grincement, la chambre sous le toit, s'illumina légèrement, une femme rondelette, dont les bras étaient pris par une haute pile de linge, qui ressemblait plus à une tour de Pise miniature qu'à du linge. La femme s'approcha des persiennes et les ouvrit, la lumière inonda la pièce et sa voix résonna d'un ton joyeux dans la pièce.

« Hey Alyson, faut te bouger, il fait l'heure !! Tu as du travail, ma chère petite..»

Doucement des draps émergea la tête de l'adorable Snow White aux cheveux en bataille, toute décoiffée, passablement calme et détendu. Elle ne s'était pas réveillée assez tôt ce matin, elle aurait dû faire attention, Mrs Sullivan va sans doute être énervée de voir que la jeune fille arrivera encore une fois en retard dans la boutique où se presseront déjà des tas de clients. Mais quand elle l'a verrés aussitôt l'incident sera effacée comment résister à Snowy' ? La tendre et douce Snowy'. Qui grâce à sa naïveté et son petit sourire innocent fait chavirer les cœurs de tous ses clients masculins, qui lui achètent tout ce qu'ils peuvent dans la boutique. La jeune femme se leva, pendant que la ménagère déposait son courrier sur la table de chevet avant de partir. Quant à elle, Snow White partit prendre une douche, chantant à tue-tête comme pendant son enfance. Elle se mit à repenser à sa vie... Son ancienne vie.

Froide nuit d’hiver, Alyson Rainsworth meurt en donnant vie à celle qui était destinée à mourir par la faute d’une belle-mère jalouse et d’une pomme empoisonnée.
Dans le palais, la joie se mêle au chagrin. Le Roi est accablé par la mort de sa femme et son souhait le plus cher est de la retrouver dans le monde des défunts, mais le bébé que l’une des servantes lui amène, le réconforte et peu à peu cette enfant qui causa la mort d’une femme et d’une mère lui redonne l’envie de vivre.
Les jours passent, les mois aussi... L’enfant fût appelée Alyson Drew Heather, bien trop long, tous commencèrent à la surnommée Snow White ... Blanche-Neige. Le souhait de sa mère c’est réalisé une enfant au teint blanc comme la neige, aux lèvres rouge comme le sang et aux cheveux noir comme le bois ébène. Une bien douce enfant que tout le monde envie. La douce passe son temps à rêvasser, chanter et s’amuser en compagnie de Mad Hatter. Pour elle sa vie était parfaite ! Jusqu'à ce fameux soir. Comme toujours Snowy’ s’amusait à jouer avec Mad Hatter, en l’occurrence ils jouaient à cache-cache dans l’immense palais. Ce fût l’une des servantes qui l’arrêta dans sa course effréné pour l’emmener dans le hall du palais, saluer sa belle-mère.

« Ma belle-mère ? demanda l’enfant qui commençait à céder à la panique. »

Une fois dans le hall, il suffit qu’elle lève les yeux, pour haïr au plus profond d’elle sa belle-mère. Et ce sentiment semblait être réciproque. Mais après tout, son père « semblait » l’aimer. Alors la jeune enfant s’y habitua. Elle savait pertinemment que sa belle-mère la détestait, mais pas au point de la tuer … Et l’enfant ne s’en rendit compte que quand elle eut 15 ans.
Souriante d’une démarcha sautillante, dans sa robe bleu et ses cheveux nouées d’un ruban blanc, la demoiselle partait dans sa cabane, voir son cher Sham, pour boire le thé. Comme tout les après-midi, il la fit rire, comme tout les après-midi elle rit, comme tout les après-midi elle le taquina. Mais ce qu’elle ne savait pas c’est que cette après-midi, sa belle-mère viendrait.
Celle-ci vint à l’heure du goûter, leur apportant une pomme. Une pomme juteuse, qui donna envie à la jeune demoiselle qui s’en attendre la croqua… Elle n’eut pas le temps de crier ni même d’appeler à l’aide qu’elle était écrouler à terre. Quand elle se réveilla elle était toujours dans la cabane allongée et entourée de nains, ces nains qui l’avaient sauvée de sa belle-mère.
Et sa vie continua... La mort de son père, le procès de sa belle-mère. Assise près des policiers la douce pleurait telle une enfant meurtrie, quand ils ne la regardaient pas le demoiselle offrait à sa belle mère un sourire machiavélique.
Une fois le procès fini, elle se contenta de lancer à sa belle-mère un simple :

« Dommage que je sois si difficile à tuer. J’ai hâte de vous revoir, Belle-Maman »

L’eau froide sur sa peau, la réveilla de ses pensés. Quinze minutes plus tard, elle sortit de sa douche et se dirigea vers son armoire, cherchant de quoi se vêtir. Elle opta pour une robe rose pâle, garnie d’un ruban en soie blanc sous la poitrine, assortis à ses talons haut. Puis elle descendit en courant l’escalier, et une fois la porte de l’arrière boutique fermée, Snowy’ arriva dans la boutique s’afférant à la caisse.