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Who's afraid of big bad wolf ? big bad wolf, big bad wolf !

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MessageAuteur
MessageSujet: Who's afraid of big bad wolf ? big bad wolf, big bad wolf ! Who's afraid of big bad wolf ? big bad wolf, big bad wolf ! EmptyVen 3 Juil - 13:22

Who's afraid of big bad wolf ? big bad wolf, big bad wolf ! Fiche_11

Identité


Nom: Walsh
Prénom: Edward
Surnom(s): Big Bad Wolf
Âge: Entre 17 et 19 tout dépend de la personne et surtout du contexte...
Date de naissance: 8 Avril

Emploi: Chef des Epouvanteurs.
Ville natale: Wonderland
Orientation sexuelle: Bisexuelle
Don surnaturel: En croisant le regard des gens il peut voir leur peur, leur pire phobie.
Ainsi il peut les rendre fous alliés en les confrontant à leur plus grande peur.
Par ex: Il regarde un homme qui a peur des chiens dans les yeux.
Juste après, ce même homme commence à devenir fou, il commence une sorte de "bad Trip", angoisse, paranoïa qui le conduit au final directement au suicide. L'homme saute par une fenêtre ou se jette sous un véhicule pour échapper à un chien purement imaginaire.
Pour ne pas que le pouvoir devienne trop puissant, seuls les gens les plus faibles psychologiquement comme l'exemple si dessus finiraient sur le billard. Pour les autres, ils deviendraient juste un peu plus fous qu'ils ne l'étaient déjà.
Donc les membres ne sont pas concernés par le suicide (sauf s'ils veulent vraiment mourir pour terminer le perso'). Ainsi, seul les PNJ "standards" seront concernés par le suicide.

Personnalité


Qualités, défauts, goûts, manies, phobies, particularité...

Edward est un homme de "goût" si l'on peut dire : il se caractérise par une certaine classe et un grand savoir. Au premier abord, le jeune homme a tout d'un homme respectable : intelligent, cultivé et adepte des bonnes manières. L'aguichante façade cache pourtant le terrible Big Bad Wolf. La conscience d'Edward ne réprime pas ses actes. Il agit sans le moindre remords et sait toujours faire preuve d'un certain humour noir lorsqu'il commet un meurtre. En effet, si Edward manque de sens moral, son sens de l'humour, lui, est souvent au rendez-vous, ce qui dénote avec la nature de ses actes et rend ce jeune homme assez paradoxal : comment un homme aussi fin, aussi pointu sur la nature humaine, peut en même temps faire preuve d'une telle inhumanité ? Personne ne semble pouvoir pénétrer les dédales obscurs du cerveau de Big Bad Wolf et il est encore moins possible de le raisonner. Il est également doté d'un très grand pouvoir de manipulation, de persuasion et d'analyse, ce qui en font une personne redoutable. Pour aller avec le reste de son caractère il aisé de dire que Edward a un ego démesuré, en tout cas il est très fier et ne supporte pas que l'on puisse douter de ses "capacités".
Pour un psychopathe il a beaucoup de qualité enfin c'est une façon de parler. Effectivement ses quelques "qualités" il les utilise en commettant ses meurtres où s'amusant à torturer les esprits. Rien n'est plus dangereux qu'un bourreau cannibale capable de garder son sang froid en venant vous croquer un petit bout de votre si belle peau. Edward sait garder son calme et c'est une vraie qualité non ? Enfin, garder son calme garder son calme c'est peut-être un peu exagéré, peut-être un peu trop même, le jeune homme ne garde en effet son calme seulement lorsqu'il commet ses actes criminels quotidiens. Par contre, lorsqu'une personne vient lui chercher des poux en lui parlant de choses qu'il n'aime pas, là, il n'hésitera pas à vous sauter au cou et ce n'est pas qu'une façon de parler, Prunius Pumpkin pourra vous le confirmer.
Ayant la fâcheuse manie de se passer la langue sur la lèvre supérieure de manière sensuelle et surtout à la manière d'un loup affamé, ce signe caractéristique qui lui est propre le rend maintenant plus facile à reconnaître. En effet, il se passe automatiquement la langue sur la lèvre supérieure dès qu'il commence à être intéressé, énervé ou bien tout simplement en train de commettre un acte peu recommandable. En somme il n'est pas forcément bon de le voir se lécher la lèvre supérieure, vous êtes prévenu. Un psychopathe c'est un psychopathe, mais est-ce qu'un psychopathe "connaît" la peur ? C'est une bonne question, un fou n'a peur de rien, si ? Peut être a-t-il peur de ne plus être fou, la vie deviendrait alors si ennuyante. En tout cas si une chose est sûre c'est que Edward n'a pas peur de ne plus devenir fou. Non, sa phobie est... à la limite du ridicule. Cet homme si redouté ayant commis les crimes les plus atroces aurait une peur bleue des papillons. Oui vous avez bien entendu (lu), Edward Walsh allias Big Bad Wolf le criminel le plus recherché et le plus dangereux du monde des contes a peur des papillons... Pitoyable direz-vous, mais n'oubliez pas une chose, BBW est psychopathe, un fou reste un fou et la folie ne s'explique pas, alors pourquoi une phobie devrait-elle s'expliquer ?
Lorsqu'on est un criminel on est forcément méchant ? Non pas forcément, on ne peut pas dire qu'Edward est méchant, non, il est fou, pas méchant, tout simplement fou. Entre la folie et la méchanceté il y a un bien grand écart. Edward n'est pas gentil non plus, il n'est pas généreux, pas non plus à l'écoute des autres et encore moins doux et affectif. Non, il est lui, il est fou. Tuer, violer, torturer, des mots bien atroces mais qui pour lui sont juste un passe-temps, un amusement, un jeu, une passion. Il aime ça c'est tout, il n'est pas désagréable, vulgaire, "violent" pour autant. S'il ne veut pas spécialement vous tuer il n'est pas violent, il est lui, il est fou. Ne cherchez pas plus loin, il n'y a rien à comprendre à la folie, il est tel qui est et la folie est son premier trait de caractère. Alors, vous dites qu'il est méchant ? Juste parce qu'il ne fait ni acte de compassion ni preuve d'une quelconque humanité lorsqu'il tue, viole ou torture ses victimes ? Certes, Big Bad Wolf n'est pas un tendre avec ses petits.... "jouets", mais sinon il est gentil, non ? Non. il fallait bien le défendre le pauvre... Le pauvre ? Non, il n'est pas malheureux de son état, il l'aime cette folie qui l'habite et qui le pousse à massacrer, violer, tuer, torturer, annihiler, démembrer, dépecer, c'est vrai, il aime faire souffrir et tuer. Faites attention, il n'est pas loin, vous êtes un jouet potentiel. Outre ces quelques détails, avec de telles pulsions meurtrières et un tel humour noir, il est facile de dire que Big Bad Wolf est une personne qui est sans doute la plus sadique, folle, dérangée, givrée ainsi de suite. Mais malgré cela, il est aussi le criminel le plus fascinant et intelligent que l'on a jamais rencontré. Froid, distant, mais poli avec pour but de détruire tout ce qui bouge dans les contes. Edward aime tout particulièrement tuer les gens, enfin, ce n'est pas vraiment qu'il aime ça, c'est surtout qu'il en a besoin. Il a besoin de tuer, il a besoin de sa dose comme un adolescent à besoin de sa dose quotidienne de PC. Sorte de gentleman de la folie, il aime l'ordre et la galanterie. Il déteste par-dessus tous les hypocrites et les personnes qui n'ont pas de savoir vivre. Evidemment il déteste encore plus les papillons, insectes qui l'horripile et qui lui font peur plus que de raison.


Morphologie


Taille, traits du visage, silhouette, expressions et habitudes gestuelles, style vestimentaire, particularité...

Edward est un bel homme. On peut le dire et on peut le voir très facilement. Le jeune homme a été plutôt généreusement formée par la nature. Vous allez le découvrir et pour faire dans le traditionnel nous allons commencer de la tête aux pieds. Sa chevelure pour commencer est mi-longue, continuant légèrement après ses oreilles Généralement le jeune homme ne les peigne pas, ses cheveux sont lisses et se coiffent généralement seuls. Ses cheveux ont une couleur étrange, bleu, un bleu semblable à celui d'une mer du nord. Ses yeux eux sont envoûtant, leur couleur est étrange, rare, voire quasi impossible à avoir, ils ne sont ni verts ni bleus, ils sont d'un cyan très profond magnifique. Cachant le regard sanguinaire d'un dangereux psychopathe, mais malgré tout on peut toujours y déceler un brin de folie qui est impossible de cacher. De petits yeux amandes surplombés par de fins sourcils bleus comme les cheveux. Ses yeux sont également très perçant, ayant une vue plus que parfaite, le jeune fou n'a aucun mal à voir de loin et de nuit pouvant ainsi traquer sans problème les proies qui auraient décidé de ne pas mourir sans avoir essayé de survivre. Le nez est ni trop gros ni trop petit, un joli petit nez égyptien. La bouche quand à elle est fine, des lèvres ni trop pulpeuses ni trop effacées lui donnent une bouche charmante que l'on a envie de mordre même si c'est surtout l'inverse qui se produit. Une petite langue rose vient d'ailleurs régulièrement dire bonjour à la lèvre supérieur ainsi, il est parfois possible de voir ses dents blanches et régulières lui procurant un sourire charmeur, mais aussi très froid, montrant toute la cruauté de l'individu. Edward n'a pas un pet de graisse et possède des épaules assez carrées. Ses doigts sont fins et longs, des doigts de pianiste et cela tombe bien vu qu'il faut des doigts délicats pour torturer à souhait ces victimes. Pour finir ses bras et ses jambes n'ont pas de caractéristique particulière hormis peut-être le fait qu'ils ne possèdent pas eux aussi un seul bout de gras. Ses mollets et ses bissextes sont d'ailleurs assez musclés sans non plus que cela soit vraiment impressionnant. D'ailleurs, le jeune homme est assez grand, mesurant aux alentours des 1m85 et pesant approximativement 60Kg, cela vous donne une petite idée de la silhouette de l'individu, ni trop maigre ni trop gros, svelte comme il le faut avec un brin de carrure. Le corps d'Edward est "Vierge", pas de tatouage, pas de piercings, le jeune homme ne sait jamais fait percer les oreilles et ne possède a priori aucune cicatrice ou tache de naissance quelconque. Sa peau est donc blanche sans aucun artifice pour embellir cette dernière. Au niveau de la tenue vestimentaire on peut dire que c'est tout à fait banal. Edward se vêt de vêtement assez "Rock'n Roll", malgré son statut au sein des Epouvanteurs, il s'habille comme un adolescent rebelle. De larges T-Shirts avec diverses inscriptions ou dessins plus ou moins "violents" ou provoquant. De grands manteaux souvent de couleur noire avec pour la plupart une capuche à fourrure blanche. Ses sous-vêtement sont des boxers tout ce qu'il y a de plus simple, généralement de couleurs sombres. Il porte des jeans, troués ou non, mais il ne se lance pas dans le style des jeans qui arrivent aux fesses. Il s'habille de regular qu'il monte au niveau des hanches pour qu'on ne puisse justement pas voir son boxer. Il porte de simple chaussure noires ou blanche, tout dépend de la couleur de ses vêtements. Parfois, rarement, voire en des occasions quasi inexistantes, BBW porte des "vêtements classes". En fait son style est assez étrange et ne semble pas montrer une très grande logique, en effet, le jeune homme s'habille aussi bien de manière "dépravée" lorsqu'il est de sortieque de manière très élégante voire même aguichante. Costume noir sur mesure, cravate noire et chemise blanche très chic quoi, style peu rassurant cela dit lorsqu'on connaît le caractère de l'animal. Reste à savoir pourquoi il s'habille de la sorte... D'après certaines rumeurs il paraîtrait que Big Bad Wolf porte autour du cou une sorte de médaillon militaire. Une chaine en argent tout à fait normale attacherait en fait une lame de rasoir parfaitement aiguisée sur laquelle serait gravéeun prénom, un nom ou bien même une phrase. Edward a pour habitude d'afficher un visage de marbre à tout moment de la journée. Même lors de son procès son visage était resté inexpressif. Seul ses yeux pouvaient témoigner de la folie qui l'habitait. Il arrive cependant au jeune homme d'afficher un sourire hautain et sadique, un léger sourire certes, mais lorsqu'on le voyait on ne pouvait pas l'oublier. Rien que de voir un tel sourire vous glaçait le sang et il était facile de savoir l'avenir que le jeune homme fou avait décidé pour vous. Car oui, si un jour vous croisez son regard sachez que vous êtes sûr à 99.99% de mourir dans les heures ou les jours qui vont suivre.

Hors Rp'


Premières impressions concernant le forum: Fort Sympathique.
Éventuelles idées pour l'améliorer: Plus de membres?
Comment nous avez-vous découverts: Suite de partenariats.
Depuis combien de temps faites-vous du Rp': Deux petites années.
Évaluation de votre activité sur le forum: Les vacances sont avec moi.
Code: Validé par Walruchounet 8D


Dernière édition par Edward Walsh le Dim 5 Juil - 20:07, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Who's afraid of big bad wolf ? big bad wolf, big bad wolf ! Who's afraid of big bad wolf ? big bad wolf, big bad wolf ! EmptySam 4 Juil - 5:53

Récit


Situation familiale, origine et passé, projets d'avenir...

I. __Il était une fois...

Il était une fois à Wonderland, dans une petite maison d'une famille aisée, le meilleur événement qu'une famille pouvait rêver arriva. Après deux ans de vie commune pleine d'amour, d'harmonie et de bien être, un petit bout de chou tout ce qu'il y avait de plus mignon montra son nez. Un petit garçon, tout mignon et encore tout petit fit son apparition. Toute la famille, tous les amis et même la plupart des voisins étaient même venus pour assister à l'heureux événement. Tous avaient reçu le petit message qui annonçait l'arrivée du nouveau-né. En ce jour du huit avril, où le ciel était bleu et ensoleillé comme la plupart des journées de printemps, tout le monde avait cessé toutes activités pour venir voir le petit bout de chou. Edward Walsh, c'était le nom de l'héritier de cette famille aisée qui ne pouvait rien demander de plus. Ils avaient la santé, une maison, assez d'argent pour vivre des jours paisibles sans se soucier de quoi que ce soit et maintenant, ils avaient un fils prénommé Edward. La famille Walsh vivait le parfait conte de fée dont tout le monde rêvait.
Les jours, les mois, les saisons et les années passèrent. Edward avait maintenant cinq ans. Depuis déjà sa plus tendre enfance ses parents avaient remarqué un comportement assez étrange de la part de leur fils. Il ne semblait pas réagir comme les autres enfants et surtout il était parfois anormalement violent avec les animaux, les jouets, mais aussi avec les autres enfants. Ce fut lors du cinquième anniversaire d'Edward que les parents eurent peur de leur enfant pour la première fois. La journée s'annonçait belle, un magnifique ciel bleu ornait le ciel ainsi qu'un soleil des plus radieux. Pour célébrer ce merveilleux jour, les Walsh avaient préparé un petit goûter dans le jardin de la maison. Une nappe rouge quadrillée de blanc ou bien l'inverse avait été soigneusement installée sur l'herbe verte. Un gâteau ainsi que des boissons et des bonbons trônaient fièrement sur la petite nappe. Le père qui avait pris sa journée pour la passer son fils et avec sa femme était assis dans l'herbe et attendait qu'Edward et sa chère épouse arrivent. Madame Walsh arriva avec leur fils une ou deux minutes après un magnifique sourire sur les lèvres. Edward quant à lui marchait derrière sa mère, mais ne semblait pas ravi plus que cela de la petite fête organisée par ses parents. Maintenant qu'ils étaient assis tous les trois autour de la nappe, mais surtout autour du beau gâteau, il était temps de souffler les bougies.
"1, 2, 3, Happy Birthday !!"

Edward souffla trois bougies et en laissa donc deux allumées sur ce joli petit gâteau. La mère se leva pour aller chercher des assiettes et le père quant à lui l'accompagna pour aller prendre un couteau. En attendant le jeune et innocent Edward était seul devant ce joli petit gâteau, devant ses deux jolies petites bougies. Les yeux cyans du jeune garçon fixaient les petites flammes dansantes sur leur petite scène en cire jusqu'au moment où cette dernière ne serait plus et où le feu dépérirait donc. Les deux petites flammes se reflétaient dans les yeux du jeune garçon, comme des ballerines dansant devant un miroir. Edward attrape l'une des bougies et l'approcha le plus près possible de son visage, fixant ardemment la petite danseuse de flamme. C'était si joli, mais cela ne serait-il pas plus joli en grandeur nature ? Edward tourna la tête de droite à gauche, mais ne vu personne. Déçu, Ed' était déçu jusqu'au moment où il vit un petit chien, ayant sentit l'odeur alléchante du gâteau, le gourmet à quatre pattes s'était approché du jeune garçon pour essayer d'en avoir un bout. La langue pendante laissant tomber quelques fines goûtes de salive sur la nappe et remuant sa petite queue pour montrer qu'il était heureux. Peut être avait-il envie de jouer à la ballerine de flamme. Alors, Edward, d'un geste lent et gracieux approcha la petite danseuse des poils du chien. Essayant ainsi de faire s'embraser la queue du gentil toutou, mais cela ne marchait pas, les poils ne faisaient que roussir et hormis l'odeur peu agréable que cela dégageait, ce n'était en rien aussi gracieux que la petite danseuse de flamme. Edward était encore seul dans le jardin, ses parents devaient sûrement essayer d'apporter tous les cadeaux ainsi que les assiettes et le couteau, leur fils avait encore le temps de s'amuser avec le chien. Edward attrapa la bouteille d'alcool que son père avait toujours ou presque sur lui et l'ouvrit avec quelques difficultés. Après un effort herculéen pour un enfant frêle de son âge, il réussit enfin à ouvrir la bouteille en se délectant un instant de la forte odeur du nectar. Le chien était toujours à côté de lui et semblait plus que d'accord pour devenir une danseuse de flamme à quatre pattes. D'un geste lent, le jeune garçon renversa le liquide à l'odeur si forte et enivrante sur le pelage de l'animal. Renversant délicatement de la tête à la queue de son compagnon improvisé à quatre pattes jusqu'à ce que la bouteille se retrouve vide. Il ne fallait pas lésiner sur les moyens, le spectacle se devait d'être magnifique pour en rendre jaloux la petite bougie. A nouveau, Edward plaça la petite danseuse de flamme sous la queue du chien et cette fois, l'effet temps attendu se produit, en une fraction de seconde, le feu se propagea sur tout le dos de l'animal. Suivant la traînée d'alcool et léchant le poil du chien, des flammes d'un bleu sombre menèrent la danse suivies par de belles et grandes flammes jaunes. Le chien ne tarda pas à couiner de douleur, courant dans tout le jardin et essayant de se rouler dans l'herbe pour estomper les flammes. Mais rien n'y pouvait, le spectacle avait déjà commencé et la petite ballerine à quatre pattes n'allait pas tarder à finir le spectacle. Edward retenait sa respiration, il admirait le spectacle, mais ce n'était plus celui de la petite danseuse qu'il regardait, c'était celui du chien qui souffrait le martyr tout en se consumant sans pouvoir rien faire. Alertés par les bruits horribles qui provenaient du jardin, les parents d'Edward sortir le bout du nez pensant qu'il arrivait malheur à leur fils. Quelle ne fut pas leur surprise en voyant la pauvre bête courir dans tout le jardin en essayant d'arrêter le feu qui commençait à la dévorer de plus en plus. Sans perdre un instant le père retourna à la cuisine et après avoir rempli d'eau le plus grand récipient qu'il ait trouvé, il lança le contenu de ce dernier sur le chien puis se jeta sur lui avec un grand linge pour essayer d'étouffer le feu. Le père se leva une fois sûr que le feu était bien éteint. L'incident était clos ou presque, qu'allaient-ils faire maintenant ? Il y avait quant même un chien carbonisé dans leur jardin et ce n'était pas rien.

Paniqués, il n'y avait pas d'autre mot, les parents d'Edward étaient paniqués. Pourquoi avaient-ils trouvé ce chien en flamme courir dans leur jardin, pourquoi Edward avait-il l'air d'aimer ce spectacle macabre ? C'était étrange, inimaginable, c'était complètement fou, oui fou. Complètement fou... Ils ne voulaient pour le moment aucune d'explication, ils ne pouvaient pas laisser le cadavre de l'animal dans leur jardin. Il fallait l'enterrer, le cacher, personne ne devait savoir, personne ne devra jamais savoir pour ce chien. Aussitôt dit aussitôt fait. Le père avait déjà mis le chien dans le grand linge. Depuis un petit moment il était en train de creuser un trou pour y mettre un arbre, mais manque de temps il n'avait pas encore pu le planter. Alors, il décida de creuser davantage, de mettre le cadavre du chien et de planter l'arbre par-dessus. Personne ne trouverait le chien, personne. Une fois le travail accompli, le père retourna voir son fils qui n'avait pas bougé et qui semblait au contraire triste que cela est duré aussi peu de temps. Alors, s'asseyant à côté de son enfant, monsieur Walsh essaya de comprendre le pourquoi de cette affreuse histoire.
"Edward, qu'est ce qu'il t'as pris de faire une telle chose ?
-Le chien voulait être la ballerine de flamme.
-Quoi ?
-Tu crois que maman voudra bien faire la danseuse de flamme la prochaine fois ?"

Le père d'Edward était abasourdi, non seulement ce que lui racontait son fils était digne des plus grands psychopathes de tous les temps, mais en plus il disait cela avec un calme incroyable et un visage de marbre ou presque, puisqu'un sourire qui tirait au sadisme arborait ses lèvres. Son père était effrayé, son fils était fou, eux qui n'avaient jamais rien demandé, ils avaient eu un fils complètement fou. Ils ne pouvaient pas laisser leur fils comme ça, ils allaient tout faire pour qu'il ne refasse pas une chose comme celle-ci et surtout qu'il ne dise plus des choses aussi horribles avec autant d'insouciance. Son père était bien résolu à changer cela et il en allait de même de sa mère même si cette dernière ne savait pas tout de cette histoire puisqu'elle n'avait pas entendu la conversation qui venait d'avoir lieu. Quoi qu'il en soit, tous les efforts possibles, imaginables voire même inimaginables que pouvaient fournir les parents d'Edward ne pouvaient servir à rien. Personne ne le savait encore, mais le jeune Edward Walsh allait devenir Big Bad Wolf et avec lui, tout n'était que folie.


Dernière édition par Edward Walsh le Dim 5 Juil - 20:18, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Who's afraid of big bad wolf ? big bad wolf, big bad wolf ! Who's afraid of big bad wolf ? big bad wolf, big bad wolf ! EmptySam 4 Juil - 9:32


II.__ Un meurtre au coin du feu

A nouveau les jours, les mois et les années étaient passées. Cependant,maintenant, il n'y avait plus de fête. L'incident qui s'était produit lors du cinquième anniversaire d'Edward avait dissuadé à tout jamais les parents du jeune garçon de recommencer une quelconque fête. Ils avaient même peur de le laisser seul de peur qu'il s'en prenne cette fois-ci à un humain. Les Walsh étaient bons, en aucun cas vous devez imaginer Edward enchaîné dans la cave ayant le droit pour seul divertissement d'entendre le vent souffler contre les volets de la maison et d'avoir pour seul ami son ombre que lui octroyait la permission de voir la lune une fois la nuit tombée. Non, les Walsh, malgré ce qu'avait fait leur fils étaient bien décidés de s'occuper de lui comme avant en évitant juste au maximum de le laisser seul dehors. Dans la maison il était libre de faire ce qu'il voulait, tout objet susceptible de pouvoir être utilisé comme une arme ou un objet de torture potentiel était mis hors de portée du jeune garçon qui était désormais âgé de douze ans. Tout était enfermé à double tour dans des placards, même le couteau à beurre et la lime à ongles était bien soigneusement cachés et malgré toutes ses précautions, Edward arrivait toujours à torturer et tuer des animaux. Il le faisait à mains nues et ses parents n'avaient pas l'intention de l'attacher les mains et de lui mettre une laisse autour du cou. Aussi, ils essayaient de limiter les dégâts le plus possible, mais ne pouvant pas freiner totalement ses drôles de pulsions meurtrières et sadiques qui habitaient leur fils, ces braves parents arrivaient tant bien que mal à limiter les dégâts, essayant de rassasier ses pulsions avec uniquement des oiseaux ou des animaux blessés qui étaient déjà destinés à une mort certaine, même si celle-ci aurait sûrement été moins douloureuse si Edward ne s'occupait pas si bien d'eux. Ses pauvres parents qui étaient obligés de sacrifier des animaux pour que leur fils puisse vivre un semblant de vie normale, cela leur fendait le coeur que de devoir livrer en pâture ces petites bêtes sans défense, mais ils n'avaient pas le choix. Enfin si, le choix il l'avait, ils auraient dû envoyer leur fils dans une maison de redressement, dans une maison d'arrêt pour jeunes où il serait resté la moitié de sa vie tout en voyant un psychiatre tous les jours, mais dans un but purement égoïste, ils avaient décidé de garder leur enfant auprès d'eux ayant bien compris de toute manière que rien ni personne ne pourrait améliorer "l'état mentale" de leur fils. Depuis ce fameux cinquième anniversaire, ses parents avaient compris que la petite lueur si particulière qu'il avait dans ses petits yeux amandes depuis sa naissance n'était autre que de la folie et ce brin de folie, il n'avait fait qu'augmenter de jours en jours et elle allait continuer d'augmenter jusqu'à la mort d'Edward Walsh. Ses parents ne pouvaient se résigner à cela, ils ne pouvaient imaginer que la chose qu'ils devaient sûrement faire c'était de tuer leur fils, pour le bien de tous car ils avaient compris, plus la folie augmentait, plus il commettait des tortures horribles sur ces animaux et plus ses victimes devaient être "grosses"...

C'était l'hiver et un fin et délicat voile de neige semblable à de la soie recouvrait le jardin lui donnant ainsi des allures de paradis nordique. Dehors il faisait froid, un froid glaciale qui dissuadait toute personne de sortir de son petit nid douillet et bien chauffé par le feu de cheminée. La soirée était déjà bien avancée et les Walsh avaient fini de manger leur petit repas d'hiver. L'heure du repas était d'ailleurs le seul moment de la journée et même de la nuit où Edward avait le droit de toucher un couteau, une fourchette et tout autre objet contondant susceptible d'être une éventuelle arme. Après chaque repas, je jeune garçon est minutieusement fouillé par son père qui s'assurait qu'il n'avait pas gardé sur lui un quelconque objet interdit. Edward se laissait faire et ne semblait pas gêné ou énervé par cette fouille corporelle digne de celle d'un policier, non, pour lui c'était normal, il n'avait pas encore pas conscience qu'il était le seul à enfant de son quartier à avoir le droit à une telle fouille. De toute façon il s'en moquait, il ne voyait jamais les autres enfants, d'une part parce que ses parents ne le voulaient pas vraiment craignant un incident et d'autre part parce qu'Edward lui-même n'avait aucune envie de "jouer" avec eux. Il se sentait différent et il l'était, plus mâture que les enfants de son âge et aussi beaucoup plus fou que n'importe qui. Hormis ses pulsions, Edward était un enfant tout à fait charmant, poli, intelligent, cultivé, soigné, ses parents étaient fiers de lui pour cela même si la folie venait noircir le tableau. Comme chaque soir d'hiver, le père ce mettait dans son fauteuil et lisait le journal, la mère elle lisait un livre ou bien feuilletait un livre de cuisine. Edward lui aussi lisait dans le salon devant la cheminée, la petite famille était au complet et les seuls bruits audibles étaient celui du bois du feu qui craquait ou bien une page de livre qui tournait. C'était dans cette ambiance plus que calme qu'allait commettre le tout premier meurtre d'Edward pour voir la danseuse de flamme. Lire une histoire au coin du feu et commettre un meurtre au coin du feu, c'était le résumé de la soirée d'Edward qui se rappelait encore de la discussion qu'il avait eu avec son père il y a cinq ans, mais se rappelant surtout de sa dernière phrase :
« Tu crois que maman voudra bien faire la danseuse de flamme la prochaine fois »

Il ne devait pas être loin de vingt-deux heures son père alla se coucher. C'était toujours lui qui partait se coucher le premier parce qu'il travaillait tôt et surtout, il faisait tous les matins une ronde dans les sous-bois à la recherche d'animaux blessés qui rassasieront les pulsions meurtrières d'Edward jusqu'au lendemain. Il ne restait donc plus que sa mère et lui dans le petit salon, le feu était toujours vifs, car avant d'aller se coucher, le père l'avait ravivé à l'aide d'un peu d'alcool et de bois et cette fois, il n'avait pas rangé l'alcool dans le placard, il s'était contenté de le déposer à côté de la cheminée et cela n'avait pas échappé au regard observateur et à la vue perçante du jeune garçon. Celui-s attendit patiemment que son père aille se coucher puis il se leva tranquillement, sans faire de bruit, voyant que sa mère commençait à s'assoupir, il s'approcha d'elle part derrière sur la pointe des pieds et l'assomma à l'aide de son livre qui n'était rien d'autre qu'une encyclopédie autant dire qu'elle fut assommée directement et qu'elle ne sentit que mal de tête avant de sombrer dans un sommeil forcé. Edward passa devant elle, toujours aussi lentement il regarda un instant sa mère avant d'aller chercher la fameuse bouteille. Tout comme il y a maintenant environ six ans, Edward ouvris la bouteille tranquillement, mais cette fois sans mal, il avait gagné en force depuis. Comme avant, d'un geste lent et élégant, il déversa le liquide incolore, d'une odeur forte et légèrement gluant sur sa mère. En commençant par la tête et en suivant par le cou puis la poitrine en passant par le ventre et le bassin pour finir par les cuisses, les mollets et les pieds. Edward fit demi-tour pour se retrouver face à la cheminée dont il extirpa une petite bûche à moitié consumée qui brûlait à l'extrémité. Tout comme avec le chien, Edward enflamma la partie qui semblait la mieux prendre le feu. Edward posa donc son dévolu sur la belle chevelure digne de toutes les princesses de contes. En un instant sa mère ressemblait à la ballerine de feu qu'il avait vu sur la bougie il y a six ans, la seule différence résidait dans le fait que la ballerine était assise et non en train de danser, mais le spectacle en était tout aussi beau. Edward admira le spectacle jusqu'au moment où il entendit son père dévaler les escaliers, il avait eu comme un mauvais pressentiment et avait surtout sentit l'odeur que dégageait le corps en train de brûler de sa compagne. Lorsqu'il vit son fils debout en train de regarder sa mère brûlée sans se soucier du feu qui prenait peu à peu possession du reste de la maison. Le père devint fou de peur, il tomba à terre et ne pouvait plus bouger. C'était impossible, c'était horrible, ce qu'il avait toujours craint se déroulait actuellement sous ses yeux, c'était insoutenable, mais il ne pouvait pas bouger et encore moins émettre le moindre son, il était tétanisé.

Les minutes passèrent, minutes qui semblèrent éternité pour monsieur Walsh et qui semblèrent au contraire bien trop courtes pour le jeune Edward Walsh. Ce dernier fini d'ailleurs parremarquer son père qui était affalé contre la porte menant dans le couloir. Edward lui adressa un regarde rempli de folie et un sourire des plus macabre ce qui terrorisa encore plus son père. Sans rien dire, le jeune garçon attrapa une bûche assez grosse et s'approcha de son père, celui-ci ne mitpas longtemps à comprendre malgré la terreur qui l'habitait qu'il n'en avait plus pour très longtemps. Il ferma les yeux attendant les coups qu'allait lui administrer son fils ce qui ne tarda pas. Edward lui assena un coup violent dans le ventre. Puis il fit à nouveau demi tour et alla chercher plusieurs livres assez gros pour s'en servir pour surélever les jambes de son pères. Une fois les pieds posés sur les deux piles de livres Edward donna un grand coup de pied dans chacun des deux genoux en faisant bien attention de taper sur la rotule de sorte à déboîter les jambes. Le résultat fut immédiat et les premiers cris de douleur se firent entendre sans se faire prier. Alors que la maison commençait lentement à ne ressembler qu'à un gigantesque brasier, Edward s'amusait avec son père, lui brisant une à une toutes ses articulations, lui faisant les pires tortures, parsemant les écorchures causées par la bûche avec du citron ou du se, se délectant à chaque seconde de ce joyeux massacre. Pour finir, Edward approcha son visage de la gorge de son père, ouvrant la bouche lentement et approchant ses belles petites dents blanches carnassières de la chair de son père puis il referma violemment la bouche en arrachant le plus possible de "nourriture". Se retrouvant éclaboussé par le sang au niveau du visage, mais aussi sur son T-shirt. Il festoya ainsi un instant puis se releva en regardant le corps sans vie de son père encore parcouru par des spasmes de douleur. Il se tourna ensuite vers mère qui était complètement carbonisée, la maison commençait elle aussi à être totalement léchée et rongée par le feu, mais Edward ne se précipita pas pour autant, il marcha d'un pas décidé vers la porte d'entrée, éclata la porte en feu d'un coup de pied et sortit dans le jardin. Une fois sur le trottoir il se retourna pour se délecter du spectacle. Dans ce petit quartier calme où la neige tombait encore, on pouvait voir les traces de pas et des gouttes de sangs dans la neige qui était avant immaculée. Dans la nuit noire où la foule n'allait pas tarder à se rassembler autour de cette maison en feu ne se doutant aucunement de ce qu'il s'était passé à l'intérieur. Edward était encore seul dehors et tout en regardant le brasier intense devant lui, il commençait à susurrer une chanson.
« Who's afraid of Big Bad Wolf; Big Bad Wolf; Big Bad Wolf ? »


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MessageSujet: Re: Who's afraid of big bad wolf ? big bad wolf, big bad wolf ! Who's afraid of big bad wolf ? big bad wolf, big bad wolf ! EmptySam 4 Juil - 12:08

III. __Big Bad Wolf

Vous avez demandé un loup ? Le Grand Méchant Loup est là pour vous servir où plutôt pour vous dévorer. Tout le monde le sait maintenant, tout le monde a entendu parler de Big Bad Wolf le pire des criminels jamais connu dans le monde des contes. Viols, meurtre, vols, une liste de crimes qui rivaliseraient avec la liste de cadeau du Père Noël. Jamais on avait connu criminel si violent et intelligent tout en étant complètement fou, des crimes plus abominables les uns que les autres faisant preuve d'une perversité et d'un sadisme incroyable à vous en faire vomir vos tripes. Le spectacle n'était jamais beau à voir, la plupart du temps les victimes après avoir été séquestrées, torturées, violées aussi bien physiquement que psychologiquement finissaient en amuse bouche. Des actes cannibales à chaque meurtre, c'était une sorte de signature, dévorant principalement la langue et le coeur de ses victimes toujours vivante au moment des faits et avant que ces dernières meurent, Big Bad Wolf s'assurait toujours de les regarder dans les yeux pour voir la lueur de leurs yeux s'éteindre et ne laisser que deux globes vitreux reflétant la dernière image qu'ils avaient vu : Les yeux sombres et le sourire malsain du Grand Méchant Loup. Malgré ses nombreux crimes sanglants, personne n'avait jamais réussi à savoir qu'il était, il faisait toujours preuve d'une grande discrétion des rumeurs disaient même qu'une jeune fille très jolie lui servait la plupart du temps d'appât pour attirer ses victimes choisies au hasard. Tout le monde était donc une cible potentiel, d'autant qu'apparemment, si l'on croisait cet être sans coeur et avide de meurtre et de sang, il était sûr qu'on allait être sa prochaine victime, personne ne réchappait jamais à un affrontement avec Bog Bad Wolf. Les rumeurs allaient de bon train sur cet être affreux, toutes les rumeurs étaient possibles, aussi bien sûr son physique encore inconnu, ou bien son histoire, pourquoi était-il devenu ce criminel le plus craint de tous, qui faisait trembler tout le monde, même le plus brave rien qu'en ayant son nom de prononcé. C'était une sorte de légende, certes pas dans le bon sens du terme, mais quand même, c'était impressionnant autant de violence, de perversion et de sadisme en un seul être. Durant des siècles Big Bad Wolf sévi sans que personne ne sache jamais qu'il était et surtout pourquoi il faisait de telles atrocités. Tuant et torturant tout le monde sans faire attention, riche pauvre, femme, enfant, tout le monde y passait. Même les êtres du monde des Humains n'y réchappaient pas, la nuit lorsque les petits dormaient la lumière éteinte et que les parents inconscients du danger avaient enlevé veilleuse et tout autre objet pouvant faire de la lumière, on ne voyait plus qu'une chose dans l'obscurité de la chambre et c'était les deux yeux bleus du Loup caché sous le lit près à bondir pour effrayer jusqu'aux larmes le plus gentil et innocent des enfants. Les mangeant à l'occasion et se délectant des cris de panique des parents pensant à la fugue ou au kidnapping, oui oui criez, vous ne les retrouverez jamais. Ainsi, le Loup fut également connu dans le monde des Humains sous le nom de Croque-mitaine, être qui selon les régions changeaient de forme, mais dont le rôle était toujours le même, manger les enfants qui n'étaient pas sage. Si les gens savaient que cela était bel et bien vrai, ils ne rigoleraient plus avec ce qu'ils pensaient être des légendes et des histoires fictives, rien n'était fiction, mais tout était folie lorsque le Loup agissait.

Toutes ces années, toutes ces décennies, tous ces siècles passés à tuer, torturer et violer, Edward en avait vraiment profité, avec son fidèle petit appât prénommé Alice, il aura vraiment terrorisé le monde des Contes bien comme il faut, mais toute bonne chose à une fin et Big Bad Wolf, le pire des criminels, la graine de la graine des sociopathes et des psychopathes, un vrai fou furieux. Personne n'aurait imaginé d'un jour il puisse être enfermé, personne n'aurait surtout imaginé qu'on pourrait un jour l'arrêter, le débusquer, le démasquer, car malgré son niveau de folie assez élevé, il n'en restait pas moins très minutieux sur la "discrétion", jamais un indice ne traînait sur les lieux de ses boucheries. Les histoires finissent toujours bien et Edward Walsh le dit Big Bad Wolf se fit arrêter un jour qui pourtant s'annonçait tout à fait ordinaire. Tout avait basculé en un après-midi d'automne, une journée si calme où l'on pouvait voir voler les feuilles mortes des arbres, journées aux couleurs orangées et à la beauté mélancolique. Sur un lit de feuille morte, le cadavre du jeune femme gisait, la gorge moitié arrachée et la langue dévorée. C'était sans nul doute l'oeuvre du Loup, ayant cédé une nouvelle fois à ses pulsions meurtrières et en dévorant sans remords et sans aucun état d'âme cette pauvre jeune femme. Laissant se liquide rouge prendre peu à peu possession du sol et recouvrant les feuilles mortes de sa fine pellicule qui ne tarderait pas à coaguler. Ce meurtre c'était sûrement celui de trop, le mal fait, pressé par le temps le Loup n'avait pas eu le temps de s'occuper de tout, un meurtre sans Alice c'était toujours moins pratique, plus risqué et surtout moins bon. Le jeune homme aimait avoir la compagnie de son amie, de sa confidente lorsqu'il commettait un crime, certes il n'aimait pas la voir trop près lorsqu'il était à l'oeuvre, mais il aimait la savoir pas loin et de toute façon elle ne pouvait s'approcher, sinon elle allait encore tâcher sa robe. Cette fois donc, pas d'Alice, pas non plus le temps, la précipitation c'était excitent, mais dangereux, Edward aurait dû le savoir et attendre le moment opportun pour s'occuper du cas de cette jeune femme, mais voilà, un fou reste un fou et Edward avait beau être un fou réfléchit, la folie ne s'explique pas et sa folie à lui dans tous les sens du terme, c'était de tuer. Ce qu'il fit sans prendre conscience du danger. Vite, très vite la police remonta jusqu'à lui, en fait il ne fit que cent mètres avant d'être interpellé et arrêté, cet idiot n'avait même pas pris la peine de s'essuyer la bouche en sortant de table ni de se laver les mains, un vrai petit cochon, sans parler des petites gouttes de sang qui dégoulinaient le long de ses doigts et qui s'écrasaient lourdement sur le sol, faisant ainsi comme le Petit Poucet avec ses cailloux, sauf que là, le Loup aurait préféré ne pas semer de "cailloux ensanglanter" derrière lui. Cette erreur toute bête allait lui valoir bien des ennuis même si pour lui cela allait plus être un jeu qu'autre chose.


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MessageSujet: Re: Who's afraid of big bad wolf ? big bad wolf, big bad wolf ! Who's afraid of big bad wolf ? big bad wolf, big bad wolf ! EmptySam 4 Juil - 14:38

IV. __Interrogatoire, Procès, Condamnation

Dans cette pièce carrée il n'y avait rien, une salle d'interrogatoire comme une autre, mais dans cette salle, il y avait le fameux Big Bad Wolf. Assis sur une chaise et menotté à cette dernière, le Loup ne pouvait pas bouger, il était prisonnier et devait attendre l'arrivée du farfadet sans doute le plus connu. Prunius Pumpkins, le procureur qui était réputé pour gagner tous ses procès. Enfin là, il semblait simple de gagner avec les charges qu'il y avaient contre Edward, difficile de ne pas convaincre le jury de sa culpabilité. Quoi qu'il en soit Pumkins avait tenu à faire l'interrogatoire, il avait sans doute une envie de suicide qui sait, affronter le Loup était dangereux et puéril surtout lorsqu'on se jetait tête baisser dans sa gueule, c'était de la pure provocation et le Loup serait ravi d'y répondre en festoyant avec les abats du cher farfadet. Les deux hommes se regardaient dans les yeux et aucun ne bronchaient, chez l'un, on pouvait voir de l'amusement et le la folie, chez l'autre, un grand sérieux et un peu de peur, un peu ? Beaucoup oui, regarder le Loup dans les yeux étaient très dangereux et Pumpkins le savait, aussi il s'était entraîné à regarder les sourcils de ses interlocuteurs, comme cela il pouvait voir leurs yeux sans pour autant les regarder directement, toute une technique. Le silence commençait à se faire pesant, mais aucun d'eux ne voulaient le briser, d'une part Big Bad Wolf n'avait rien à dire, c'était lui qui s'était fait arrêter et il n'avait pas l'intention de parler sinon cela briserait le jeu et d'autre part, le farfadet redoutait un peu de prendre la parole. Le calme c'était installé définitivement, plusieurs heures passèrent sans que le procureur décide enfin à parler, Edward lui était amusé et n'avait toujours pas relâché son regard, il dévisageait toujours son interlocuteur muet qui semblait en souffrir de plus en plus. Enfin, pour se libérer de ce silence pesant qui aurait sans doute fini par le rendre fou lui aussi, Pumkins commença à parler, relatant depuis le début les crimes connus d'Edward Walsh. A chaque meurtre dont parlait Pumkins, le Loup ne pouvait s'empêcher de sourire, il se souvenait de tout et c'était plutôt amusant d'y repenser, les progrès qu'il avaient fait avec le temps, sa cruauté et sa perversion qui n'avaient fait qu'augmenter pour son plus grand plaisir, il s'était vraiment amusé durant toutes ses années et il avait bien l'intention de continuer ainsi. Tout le monde l'avait bien compris, Big Bad Wolf n'avait pas l'intention de rester enfermé très longtemps, même si la sentence n'était pas encore tombée, si le procès n'avait même pas commencé, il savait très bien qu'il allait y passer. Y passer oui mais combien de temps ? Pas longtemps, il savait qu'Alice était dehors et qu'elle serait très rapide pour le sortir de là, il le savait et il en était sûr. L'interrogatoire virait plus au monologue de la part du procureur, cet interrogatoire n'avait même pas lieu d'être puisqu'ils avaient toutes les preuves pour plus de deux cents crimes en tout genre, autant passer directement à la case prison sans toucher les vingt mille Yubas de la case départ. Le monologue du procureur continua donc pendant plusieurs heures, il faut dire qu'il lisait la liste des crimes de Wolf. Ce dernier c'était presque endormi, il commençait à se faire tard et il ne comprenait pas pourquoi tout le monde disait que Pumpkins était le meilleur, il était certes un très bon procureur, mais pas un bon orateur, Edward commençait sérieusement à s'ennuyer, peut être devrait-il changer de livre ? Le casier Judiciaire d'Alice devrait sûrement être plus amusant et plus intéressant. Et justement d'Alice, le procureur allait en parler, non qu'il savait qui était son bras droit où son appât, mais c'était plus de l'appât que Pumpkins voulait parler. Vous suivez ? Il voulait savoir si les rumeurs sur le fait que Wolf utilisait un "appât" étaient vraies, mais il allait mal si prendre, très mal même. Il parla d'Alice comme d'un vulgaire bout de viande que le Loup mettait sur sa ligne et ferrait lorsqu'un idiot mordait à l'hameçon, comment osait-il parler ainsi d'Alice ? Sans même réfléchir, Edward fit un bon en avant et essaya d'attraper la gorge du procureur avec ses dents. Il le manqua de peu, mais le résultat était quand même plutôt satisfaisant, le procureur avait fait un bon en arrière impressionnant et il avait dû être à un poil de soulager sa vessie. Seul problème, c'était les policiers qui ne tardèrent pas à calmer les ardeurs d'Edward avec plus ou moins de délicatesse. Après son petit passage à tabac, le loup fut enfermé dans une cage qui ne devait pas faire plus de trois mètres sur quatre. Il n'avait plus qu'à attendre dans la pénombre de sa cellule le jour du procès. Et en attendant, il fredonnait d'une voix à peine audible une petite chanson :
« Who's afraid of Big Bad Wolf; Big Bad Wolf; Big Bad Wolf ? »

Le procès arriva et la sentence tomba, perpétuité, perpétuité pour une personne qui pouvait vivre plusieurs siècles ça faisait long, même s'il savait qu'il n'allait pas rester, c'était quand même plutôt long comme sentence. A la fin du procès, le Loup se leva et s'adressa au porte-parole du jury, Luciole Lightner. Il lui disait qu'ils allaient se revoir dans un avenir proche, très proche, il ne la ferait pas attendre, il se dépêcherait de venir la saluer comme il se devait, tout le monde le savait, lui-même le disait, on ne sortait jamais indemne d'une confrontation avec le Grand Méchant Loup. Elle était prévenue et elle en tremblait déjà. Dans la seconde d'après, Big Bad Wolf fut conduit à ses quartiers, c'était lugubre, sale et étroit.... Alice avait intérêt à faire vite, car ici il ne pourrait pas jouer comme il aimait le faire ici. Le Loup était craint et il l'était partout, même s'il était en isolement dans la prison, les rumeurs étaient allées de bon train lorsque les prisonniers avaient su que le grand Big Bad Wolf allait "habiter" avec eux et tout le monde savait qu'il n'aimait pas le bruit, aussi, lorsqu'ils savaient que le Loup pouvait les entendre, le calme se faisait immédiatement, car on craignait les représailles, même enfermé le Loup restait le loup, celui craint de tous. Une semaine à peine passa avant que le Loup ne s'évade, pour lui cela avait semblé faire une éternité, il n'a rien pu faire car tout lui était interdit, les gardes avaient bien trop peur de laisser un quelconque objet à BBW, même le plus inoffensif. Cette prison qui était censée être la plus sûre du monde des Contes, le Loup venait de s'en évader pour le plus grand malheur de Luciole Lightner, qui n'allait pas tarder à passer à la casserole, enfin c'était une façon de parler puisque Big Bad Wolf les préférait cru, encore vivant et saignant à souhait. Maintenant qu'il s'était échappé les habitants du monde des Contes allaient pouvoir de nouveau trembler, d'autant qu'il ne revenait pas seul, les Epouvanteurs étaient là eux aussi, près à faire leur travail sanguinaire et macabre. Le spectacle allait pouvoir recommencer après une courte entracte, c'était repartit pour encore plusieurs siècles, plusieurs siècles de meurtres, de viols, de vols et de tout autres crimes tout aussi amusant en fonction des goûts de chacun.
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MessageSujet: Re: Who's afraid of big bad wolf ? big bad wolf, big bad wolf ! Who's afraid of big bad wolf ? big bad wolf, big bad wolf ! EmptyLun 6 Juil - 9:51

Quelques petites fautes, quelques répétitions aussi et surtout, peut être quelques virgules ou autre forme de ponctuation à ajouter de ci de là. Hormis ces petits détails, je trouve que tu as su cerner le personnage. Je reste donc plutôt favorable à ta validation, j'attends cependant l'opinion du reste du staff avant de trancher, dans le doute. o^_^o

Mes excuses pour l'attente et le suspens. >o<

Edit: alors, Little Alice est du même avis que moi. Niveau correcte malgré les petites fautes et autres, et surtout, personnage cerné.

Avec deux oui, je te valide donc. Princess n'étant pas présente, je pense toutefois qu'elle sera également favorable.

Tu devrais donc normalement avoir accès au forum VIP des Epouvanteurs ainsi qu'à leur QG dans la partie Rp'.

Tu peux dés à présent créer ton Notebook, je m'occupe de changer ton pseudonyme en BBW ^_^
Walrus
Walrus
team steak haché
team steak haché
HUMEUR : Bweh.
CITATION : « L'objet possédé est heureux tant que son propriétaire l'a à l'oeil... »

BOITE A JETONS : 0000

FICHE : La Cabane à Huîtres.
NOTEBOOK : Le moule à muffins
VIE SOCIALE : La pêche à la crevette
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