Nom : Pan. Comme l'oiseau multicolore, le Paon. Comme le bruit d'un coup de feu impardonable. Pan. Oh my God Lily, your future name, Pan, that's not really beautiful for you...Shut up Kate.
Prénom : Peter. La pierre qui vous est lancée à la figure. La roche qui vous brise le crâne pour vous punir de quitter l'Enfance. Peter ! Stop it ! You would going broken the window !
Surnom(s) : Pourquoi s'en ecombrer puisque Peter est un si joli prénom ? Cependant s'il vous en vient un à l'esprit, faites le savoir. Hi, I'm Juliette, your French cousine ! Can I give you a nickname ? No.
Âge : 17ans. Quoi de plus beau que l'âge de la vivacité enfantine ? De l'insouciance puérile ? De la démence de mômes ? How old are you my Dear friend ? How you give me ? And I'm not your friend ...
Date de naissance : Le jour et le mois ? C'est beaucoup demander. Happy birthday to you .... Happy birthday to you ... Happy birthday to you Peter! Happy birthday to you! But ... what day are you born? February 12 Mom ... Oh ... Yes, it's true.
Emploi : Point d'emploi. Chef des adorables enfants perdus, dirrigeant de Neverland...Dératisateur de la vermine aussi connue plus couramment sous le nom " Adulte ". You want to broken my world of free children ? Stop this stupid Idea if You would live. Tss, poor little boy. If you repeat this sentence, I kill you.
Ville natale : Neverland. What a beautiful land ! Yes...
Orientation sexuelle : Lorsque l'on est un grand enfant, on ne distingue pas le chocolat de la vanille, on aime les deux. Why did you kiss that boy ? Cause It's my new toy. And this girl ? Cause I wanted to laugh a little.
Don surnaturel : Son ombre est sa plus grande amie, le saviez-vous ? Celle-ci peut se mouvoir, se déformer et s'étendre sur plusieurs mètres. Pour peu qu'elle rencontre une autre ombre, la votre, vous êtes cuits ! Une fois pris au piège de l'ombre pernicieuse de Peter, celui-ci peut vous faire faire tout ce qu'il désire: qu'il cligne d'un œil ou se donne une baffe, vous l'imiterez bien malgré vous. Toutefois," l'étreinte de l'ombre" ne dure pas plus de quelques minutes... Tant mieux pour vous. Jolie explication qui répond parfaitement à la question. Peter, please, please, stop, I beg your pardon, but please, stop this torture. Mh...Never.
Taille : Voyons voir, il n’est pas grand ce cher Peter. Même pas grand du tout dirais-je. Bon j’exagère, il n’est pas minuscule non plus rassurez-vous. Bref, je m’égare du sujet. Disons qu’il est dans une variante de 1m70 à 1m78. Taille plus ou moins respectable mais pas très imposante, avouez-le. Je vous le jure que de loin il paraît vraiment petit. Un tout petit gamin…inoffensif ou pas.
Traits du visage : Son visage est indubitablement charmeur. Vous ne pouvez le contester. J’ai déjà pu le dire au par avant, il a une beauté insolente. Une beauté qui vous laisse de marbre ou de glace. Cela ne revient-il pas au même de toute façon ? Une peau presque de couleur pêche ressort de l’arrondie de ses joues rosées. Pan a un visage arrondi, les pommettes hautes et le front court. Son petit bout de nez ressort entre ses deux yeux aux pupilles turquoises et pétillantes de malices. Harmonieux, ses traits se fondent dans ses expressions qui virent de la joie candide à la froideur bestiale. Se rajoutent sa tignasse capillaire de couleur carmin. Jamais coiffés, toujours emmêlés et parsemés de brindilles, ses cheveux lui donnent un air taquin qui lui va à ravir. Son cou fin et tiré supporte cette ensemble d’accords coloré et moite. C'est qu'il est beau le sauvage...
Silhouette : Elancée, fine et musclée sont trois mots qui résumeraient parfaitement la silhouette de Pan-Pan. En effet le jeune garnement est aussi léger et fin qu’une brindille. Il ne pèse pas plus de 58kg. Bien qu’il soit d’aspect très frêle, il n’en dissimule pas moins une force respectable. De là à dire qu’il peut tenir tête physiquement à un homme bien bâti, peut être pas, non. Son torse est creux et aussi large que celui d’une donzelle. Si Peter se maquillait et installait une perruque au sommet de son crâne, il passerait facilement pour une fille. Exact, il est quelque peu androgyne. Cela ne le gêne pas, il trouve cela plutôt amusant et se fait parfois passer pour une fille lorsque cela lui chante. Ses épaules ne sont pas larges et charnues, ses jambes ne sont pas fortes et imposantes. Il n’a rien d’un danger à première vue. Un Boxeur le mettrai facilement K.O s’il se bat en corps à corps avec lui. Les atouts de Peter sont donc les coups de surprises et les attaques distantes. De toute manière se battre ne l’anime pas plus que cela. Il aime jouer, oui, mais se battre pour se battre, non.
Expressions et habitudes gestuelles : Pete-Pete a de drôles d’expressions ! Il peut vous faire rire avec de simples grimaces grossières. C’est un véritable fanfaron ! Evidement cela serait exceptionnel de le voir faire cela avec un inconnu. Il ne réserve ses doux sourires et ses éclats de joie qu’aux Enfants perdus et aux autres rares personnes qu’il apprécie. Habituellement il aborde donc plus souvent un sourire fourbe et froid. Son regard copie d’ailleurs ce sourire non amical. Pan n’a pas d’habitudes gestuelles. Peut être de se passer régulièrement une main dans les cheveux pour les remettre en désordre, sinon, rien. Il aime imiter le bruit du coq lorsqu’il est de bonne humeur et adore encore plus chanter et danser comme les indiens dans la rue ! En fait, en gros, il adore attirer l’attention.
Style vestimentaire : Ah voilà un sujet passionnant ! Son style vestimentaire. Croyez-vous encore au fameux costume vert avec les collants assorti et la plume rouge sur le chapeau ? Détrompez-vous, ce n’est qu’un vulgaire blasphème inventer par de piètres conteurs ! Pan-Pan est une fashion victim ! Il aime tout ce qui est nouveau, tout ce qui est branché et de marques. Les jeans troués, délavés ou sobres ; les T-shirts à motifs spéciaux, les chemises en lin, les marcel décolletés de toutes les couleurs ; les chaussures vernis pointues, les baskets converses ( je ne fais pas de pub non, non ) et j’en passe. Bref il amie associer toutes sortes de nouvelles trouvailles vestimentaires. Ses matières préférées restent le coton, le lin et le cachemire. Il ne s’embête pas le gamin ! Les couleurs ils les aiment pétillantes et douces. Le rouge, le bleu, le vert, le gris, il les aime toutes du moment qu’elles ne sont pas ternes. Il s’habille bien en résumé.
Particularités : Il adore porter des piercings aux oreilles et à l’arcade sourcilière. Il ne les met pas toujours non plus. Sinon rien de particulier à signaler.
Premières impressions concernant le forum : Very amazing, beautiful ! I do like this forum ! He's very intersting and funny ! Really !
Eventuelles idées pour l'améliorer : No, sorry. I think, He's just good like that.
Comment nous avez-vous découverts : Sorry, I don't remember. Maybe a top ?
Depuis combien de temps faites-vous du Rp ': Oh my god...since a fex years...3-4 years.
Évaluation de votre activité sur le forum : In the Holidays, for sure, 90%. But after, when I have school, 5-6/10.
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Dernière édition par Peter Pan le Sam 22 Aoû - 13:15, édité 3 fois
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Sujet: Re: Le | | sommeil | | de { l'Enfance } s'arrête t-il au -néant- ? (100%) Mer 19 Aoû - 16:14
Tu peux me conter une histoire Peter ? Oui, laquelle ? La tienne ! ! ! ...
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Situation Familiale : Peter Pan n’a plus de famille depuis bien longtemps. Déjà par ce que depuis le temps elle est morte et aussi par ce qu’il a fui son chez lui très jeune. Il ne voulait pas grandir, il ne voulait pas travailler, il voulait seulement s’amuser à tout jamais comme le lui avait demandé sa mère avant de mourir. Son père n’a jamais été tendre avec lui, tout au contraire, il était violent et abusif. Lily, sa très jeune maman était une gamine. Une enfant pour s’occuper d’un bébé, cela n’a jamais été bon ni bien vu. C’est ainsi que Peter grandit dans l’immaturité maternelle. Il a toujours aimé sa mère bien que parfois il ne la comprit pas. Il l'avait tant aimé. Jamais il ne connut de plus grand amour que sa mère qui n'avait que pour seul enfant Peter. Non, il n'avait pas de frère ou de soeur. Pas de cousins-cousines non plus, pas de grand-mère ou de grand-père, pas d’oncle ou de tante…Non. Il jouait avec ses poupées, ses peluches, ses cubes. Imitant les indiens, faisant des parties de cache-cache dans les broussailles avec Lily. Son père, Andrew, un mercenaire du ciel à la retraite lui donnait quantité de gifles lorsqu’il voyait son enfant jouer et agir ainsi. Pan le haïssait. Aujourd’hui, il n’a que faire de son passé et se moque éperdument si on l’insulte par le bisais de son paternel. Il reste tout de même très ,très susceptible en ce qui concerne sa mère. Quiconque mentionne son nom plonge dans le Néant ou se voit pourfendre par les foudres de Zeus.
Origine et passé : Peter est né à Neverland durant une nuit froide et pluvieuse sur le dirigeable en fer de son père. Sa mère, tout juste âgée de 16ans faillit mourir lors de l’accouchement. Le petit enfant n’a pas eu un passé très joyeux. Etant né au sein d’une famille très aisée et parfaitement carré il a toujours eut ce qu’il voulait. Un vrai pourri gâté. Il lui fallait bien cela pour tenir le coup. L’argent sal de son père servait donc à quelque chose au final. Il reçut une maigre éducation de la part d'un ami de son géniteur, lui aussi ancien mercenaire des airs. Mais Pan, bien trop jeune et bien trop immature pour comprendre quoi que se soit, l'adit ami laissa tomber l'éducation du gamin. Il en vint à abuser de lui à la place de lui faire ses leçons de langue, d'histoire de la magie et de grammaire. Il avait beau être petit, le chérubin savait que ce n'était pas quelque chose de normal qu'il subissait chaque semaine... Son père, homme froid et détestable profitait également de lui affligeait des corrections autant qu’il le pouvait. Il avait honte de ce gamin, honte de son immaturité, honte de sa mère et de ses jeux. Stupide homme. Il est normal qu'à 10ans l'on ne veuille que jouer...et non faire "ti-tille" avec son chère et tendre père...C’était vraiment un homme passable et peu qui n’aimait que l’argent et la gloire. Il faisait du tord à sa famille, tant et si bien que Peter cessa de lui adresser la parole. A l’époque, le Sauvageon était déjà taquin et manipulateur. Les autres enfants l’admirait et le suivait dans toutes ses combines et plans foireux. De vrais amis, il n’en avait pourtant pas. Il n’en voulait pas. Cela l’aurait trop encombré selon lui. Il restait quand même le Grand Aventurier, le Maître des Jeux, le Joyeux Luron. Oubliant ainsi les orages de la maison, il s’échappait dans son monde de rêves, d’imagination coloré et libre. Il y voyait des pays remplit d’Indiens dangereux, de pirates voleurs, de sirènes et de fleur tropicales. Il souhaitait de tout son cœur partir un jour vivre la grande aventure, loin du monde gris des adultes, du touché froid des terres asséchées. Il confiait tout ses secrets à ses peluches et à Lily. Son mal intérieur qui grandissait. Sa tristesse fourbe qui le frappait les jours de pluie. Et vint alors la fameuse nuit où il imagina Neverland sans aucuns adultes. Car oui, Neverland comportait des Pirates, car oui Neverland était l'imagination même, car oui Neverland animait les jungles d'Indiens. Peter n’avait jamais vu à quel point Neverland était féérique, il ne l’avait jamais vu car on ne le lui avait jamais fait voir. La rudesse adulte le lui a toujours caché… Le seul point qui détruisait tout ces beaux projets était les grandes personnes en question. Murît dans son crâne la prochaine joie qu'un beau et merveilleux jour, Pan prendrait les commandes de ce pays fantastique et en interdirait l'entrée aux vermines anti-enfance. Chaque heure cette fabuleuse et fantastique idée lui brûlait les veines et le cœur. Il ne pensait plus qu'à cela. Mais il grandit, ses rêves n'étaient pas assez fort pour stopper ce fait. SOn esprit resta le même, ses convictions aussi. 17ans, qu'importe. Il serait toujours le même enfant, toujours. Le poids de ses projets devint trop lourd à porter. Excité, il confia alors ce rêve d’enfant à ses compagnons d’aventures. Tous plus gamin les uns que les autres ils se laissèrent charmer et embobiner par cette sinueuse idée et accordèrent leur dévotion totale à leur Acolyte favoris. Celui ci se risqua même à se confier à sa mère qui trouva tout ce projet fabuleux. Mais comme le dit un certain proverbe, les murs ont des oreilles. Andrew, dissimulé derrière une grande armoire avait eut ouïe de ces récits futuristes. D'une part il n'en revenait pas qu'à 17ans l'on puisse imaginer virer tous les adultes du pays. D'autre part l'envie de faire taire et de mutiler ce petit rebelle s'accrut subitement en lui. Voilà ce qui s'était donc passé après que le méchant homme soit sorti de sa planque.
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- Alors comme ça on veut jouer au sauveur ? Alors comme ça on veut virer de Neverland tous les adultes dont je fais parti ? Dis moi Peter, aimerait –tu savoir ce que j’en pense ? Hein ? Aimerais-tu le savoir ? - Même pas en rêve que j’veux, vieux débris pourri !list]
Bouillonnant, l’homme leva la main et le coup parti. Peter baissa son regard plein de haine et cracha aux pieds de son bourreau, ravala sa peur si grande. Esquissant un sourire mesquin il releva la tête et le fixa droit dans les yeux, remplit de défit. Du haut de ses 17 pommes il avait tout de même un air inquiétant, digne des fils de démons. Cet affront eut pour résultat une nouvelle frappe. Bien plus violente que toutes les précédentes car elle venait d’être faite à l’aide d’un martinet. C’était la première fois qu’Andrew l’utilisait contre son fils. Tout d’abord il y’eût un cri tonitruant puis un autre rageur. Pan démarra au quart de tour. Toujours aussi énervé et apeuré à la fois, il frappa son père au visage de toutes ses forces malingres, le poussant contre la commode, faisant tomber les cadres photos et un vase en porcelaine qui se brisa en mille morceaux. Il n’avait eu que de la chance. Son père n’avait fait que perdre l’équilibre. Mais il en faut peu pour donner du courage à un être pareil…cette simple vue de voir un adulte tomber sous ses petites frappes lui fit couler un nouveau sang dans les veines.
- PETIT MORVEUX ! TUN’ES BON QU’A ETRE BAISE ! - Dis pas ça ! J’veux pas, j’veux pas entend’ ça ! J’veux pas, t’es méchant ! Méchant ! Je ne veux pas ! Tu n’es qu’un Adulte, tu es MECHANT !
Tandis que les mots puérils et les coups partaient dans tout les sens, Lily arriva. La peau pâle, les yeux bouffis de peur et les lèvres tremblantes. Elle aussi en avait assez de ne pas intervenir lorsque son fils se faisait ainsi malmener. Andrew ne l’avait pas remarqué immédiatement. Le gamin si. On aurait dit un Schtroumpf. Il était couvert de bleus et ne tenait pas le coup contre un homme si bien bâti que son père était. Timidement elle s’approcha et finit par s’égosiller en suppliant son mari de cesser.
- Arrête, je t’en prie, Andrew, tu vas le tuer si ça continue ! Je t’en supplie laisse le il e…
Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase que le cruel homme l’envoya se fracasser contre le mur de droite. Un bruit de côtes brisées retentit dans la pièce. Si mal, Lily avait si mal. Ses larmes ne se comptaient plus. Ses cris étouffés par ses sanglots s’atténuèrent dangereusement. Regardant malgré les coups cette scène horrifiante, Peter versa des filets d’eau tout droit sortit de ses yeux sans s’en apercevoir. Son stade limite était dépassé. Déchaîné, libérant toute cette haine qu’il avait cultivée depuis tout môme, depuis tout petit, depuis le jour où il comprit que la vie n’est bonne qu’à l’Enfance, il couru à pleines jambes jusqu’au bureau de son père. Il s’y enferma à clé juste avant que la bête ne lui tombe dessus. Toujours aussi haineux et effrayé, il fouina dans les tiroirs du bureau en sapin et y dénicha la raison de sa venue. Un vieux pistolet de l’époque ou son père pillait encore les aviateurs à bord de son Dirigeable en fer. Déverrouillant la porte, il tira immédiatement sur l’assaillant qui tomba en un vacarme fulgurant à ses pieds. Une auréole rouge apparut petit à petit autour de son crâne troué. Ses yeux laiteux et grands ouverts exprimaient de la stupeur. Les beaux habits blancs du meurtrier de bas âge avaient soudainement prient des motifs tachetés. Tremblant, déboussolé par son acte, Pan jeta l’arme si brutalement loin de lui qu’on eu dit qu’elle lui avait scié la paume. Sans plus réfléchir, il reprit la direction de la Salle de Séjour et se jeta sur sa maman, adossée contre le mur qui lui avait brisé les os un instant plus tôt.
- Maman…maman,…ma maman que j’aime…maman, ma maman chérie…maman…je suis là ma maman, maman…ma maman chérie…ma douce maman…pardon maman…pardon…j’ai…papa…maman, papa est…oh ma maman… - Mon petit chéri…mon doux aventurier courageux, celui qui a vaincu les pirates et les indiens, ne t’excuse pas…C’est moi qui demande pardon…mon petit chéri, mon petit Peter Pan.
Sa voix si câline devenait faible, masquée par un voile noire. Pan ne cessait de se morfondre dans son chagrin, de s’en vouloir de n’avoir pu la protéger. Mais il était si petit, oh oui, si petit…Sa maman, sa tendre maman qu’il aimait tant.
- Peter, ne pleure pas, maman vas bien…Pars mon Peter, pars vivre nos belles aventures pour nous deux. Ne reviens jamais dans cette maison, pars vivre l’enfance dont tu as toujours rêvé, dont j’ai toujours rêvé. Laisse maman ici...pars mon chéri, va t’en loin, va rendre à Neverland sa liberté. Chasse tout ceux qui t’on fait tant de tord. Promets-le à Maman… - Je ne peux pas partir sans toi maman, non…ma maman, je ne veux pas te laisser…non…non. - Peter, le monde des grands n’est pas pour toi mon chéri. Il t’a causé trop de mal, pars vite changer ce monde, pars vite leur montrer qui est Peter Pan, Maman ira mieux et pensera tous les jours à toi de la où elle sera.
Sur ces paroles pleines de sens et d’émotions, Lily, de ses maigres forces poussa son fils, ne posant plus son regard sur lui mais sur le vase brisé au bas de la commode de bois. Y voyant un piètre reflet flou et malingre, elle versa ses dernières larmes et esquissa son dernier souffle. Sans détourner ses pupilles du visage humide de sa mère, Peter se releva et partit, le pas lourd, la mine triste et les joues blêmes. Franchissant la porte comme un éclair lassé de briller. Il ne se retourna pas. Dès l’instant où il eut franchi cette porte, tout ce qui venait de se passer quelques secondes plus tôt appartenait déjà au passé.
Dernière édition par Peter Pan le Sam 22 Aoû - 17:17, édité 1 fois
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Sujet: Re: Le | | sommeil | | de { l'Enfance } s'arrête t-il au -néant- ? (100%) Mer 19 Aoû - 16:22
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Après cet incident qui marqua un tournant dans sa vie, Peter vagabonda longtemps dans le cœur de Neverland. Volant à droite et à gauche pour survivre. Sa gentillesse envers les autres enfants le poussa à recueillir tous les orphelins qu’il croisait. Tous les enfants mal en point qu’ils voyaient. Il devint leur Chef, leur père, leur famille. Se résoudre à les abandonner un jour lui était impossible. Il y’eut le Conteur, Sifflet, La Guigne, Bonzig, Le Frisé, La Plume et tant d’autres encore. Mais il y’eu une rencontre que jamais Pan ne put se résoudre à oublier. Tinker Bell. La fée Clochette. Son ami. Son véritable ami.
- Peter où allez-vous ? - T’occupes la Plume, ça ne te regarde pas ! répondit le mentionné.
Partant aux côtés de Tinky, Pan avait en tête d’encore enquiquiner les pirates. Voir la Capitaine Crochet rugir et désespérer de le voir mort un jour lui a toujours mit le moral au plus haut. Aujourd’hui il avait tout particulièrement envi de rire sur ce sujet. Bell marchait près de lui, le visage calme et serein. Durant toute la marche Pan ne lui parla pas, exprimant son bonheur de l’avoir à ses côtés par de simples sourires enfantins qu’il savait si bien donner. Imaginer sa vie et son quotidien sans la fée était inenvisageable. Et plus il se rendait compte à quel point il avait besoin de la présence de Tinky à ses côtés et plus il se posait de question sur la véritable nature de ses émotions. Une fois arrivée à l’endroit voulut. Les deux compères s’infiltrèrent sur le bateau du Capitaine. Elle ne semblait pas être là au grand damne de son ennemi. Cependant rentrer à l’Arbre aux Pendu sans butin et belles nouvelles aventures à conter ne pouvait avoir lieu d’être. Tinky partant de son côté pour taquiner la bleusaille pirate et Pan faisant de même avec N’a Qu’un Œil, tout semblait se déroulait comme à l’ordinaire. Habile et rusé comme un renard, Pan évitait chaque coup qu’on lançait contre lui. Les mugissements exaspéré et énervés des pirates embellissaient son visage toujours plus moqueur et rayonnant. De temps à autre, de ses pupilles azur, il distinguait Tinker Bell se jouer du Danseur dans la mêlée. Cependant, lorsque le regard se désintéresse trop de ce qui se passe au plus près de lui, il provoque la vulnérabilité du reste du corps. Pan, distrait et trop confiant en lui, ne fit pas attention à la personne qui venait de remplacer son adversaire précédent. Lorsqu’il retourna enfin ses yeux lumineux sur l’adite personne, il ne put s’empêcher de sursauter et de lancer après coup un rire amer. Crochet. Enfin.
- Tu t’es enfin décidé à venir me voir Pan ? Cela me touche, vraiment… - Vielle morue pourrie, cesses tes bavardages inutiles !
Riant et esquivant la lame tranchante du Capitaine, Peter fit pourtant une erreur. Il négligea la fourberie trop présente des pirates. Pourtant il avait eu à faire à elle tant de fois…mais non de cette manière là. Généralement, Pan luttait toujours en Duo contre Crochet. Ce jour précis, s’en fut autrement. Un pirate le prit en traître par derrière et lui lacéra la cuisse, le poussant à vaciller maladroitement. D’un sourire satisfait et cruel, Crochet leva son sabre et fendit l’air. Pan hurla du fond de ses tripes et continua un instant de tituber pour s’écrouler, gardant les yeux ouverts sur les cheveux sombre de la femme au sabre. Il n’entendait plus rien, pas même les cris de joie des pirates, pas même les vagues se fracassant contre les rochers au loin. Il voyait à présent le ciel devenu étrangement sombre et orageux, il voyait Tinky. Sa bouche s’ouvrit, le son qui en sortit fut presque inaudible…presque.
- Mourir, ça doit être une sacrément belle aventure…pas vrai Tink…
Ses yeux se fermèrent, sa bouche aussi. Il se sentit flotter dans un nouveau monde. Alors comme ça, il avait perdu ? C’était trop bête…trop bête oui, de perdre. Crochette l'avait eut. Finalement elle avait réussit à se venger. La fois ou Peter lui avait coupé la main restera à jamais gravé dans sa mémoire. Crocodile et son fameux tic tac n'en ont tout de même pas fini d'hanter la jeune Capitaine...Voilà déjà un lot de consolation...Des images se logèrent au creux de son esprit L’image de Gepetto qui trouverait l’Arbre aux Pendus et par la même occasion tous ses protégés. Une autre image, celle de Crochet mettant à feu et à sang la forêt avec les Epouvanteurs. Puis une autre, celle de Tinky étendu au sol dans une marre de sang, le regard éteint. Quel Diable était-ce ? Quel Diable s’était logé dans son voile noir pour lui faire vivre ainsi de pareille vision d’horreur. De pareilles choses…Et l’oubli. L’oubli le dévora comme le Néant dévorait l’univers. Plus rien, plus d’images, plus de pensées. Seulement le Rien et ses regrets. La mort n’avait tout de même pas voulut de lui car il rouvrit les yeux sur des visages soulagés et à la fois désolés. Il demanda des explications. Il demanda pourquoi Tinky n’était pas là. Il demanda…il demanda toujours et demande encore. Pourquoi, pourquoi il n’est plus là…Sa vie, Tinky lui avait sauvé sa vie. A quel prix ? A quel prix l’avait-il payé ? Quel coût lui avait demandé ce sorcier de malheur…quel coût pour que Pan ne puisse plus revoir le seul de la bande qui n’est jamais autant compté pour lui ? Savait-il, Bell, que pour Pan, vivre sans lui est encore bien plus douloureux que l’idée de mourir ? Non, sans doute car dès l’instant ou le grand et impitoyable Peter Pan eût apprit le départ de la fée, il aurait souhaitai sombrer dans les griffes de la Faucheuse …
- Où est-il ? répétait-il dans son accès de rage triste. - Nous ne savons pas Peter, répondaient les enfants perdus à bout de force, à bout de peine. - Où est-il ? répétait-il encore…encore. - Nous ne savons pas Peter…nous ne savons pas. - OU EST-IL ???? - Ailleurs et loin de toi, trancha le Conteur avec une once de froideur. - Loin…loin de moi ? Loin ? De….moi ?
Peter semblait répéter ces dernières paroles dans le vide, ne pouvant y croire, même après tant de jours. S’y résoudre ? Jamais. Son cœur en porterait la marque à l’éternité. Une fissure s’y était creusée. Elle était si profonde, si grande que rien au monde ne pourrait la combler. Comme pour le souvenir et le nom de sa mère, Pan interdit aux Enfants de mentionner la fée disparue. Il leur interdit même de penser à elle. Sans quoi sa rage s’abattrait sur eux. Le temps cicatrisa la partie visible de l’iceberg, de la blessure mais ne put terminer les kilomètres de glace se trouvant sous l’eau… Très vite Pan recueilli d'autres enfants plus jeunes encore qui comme lui avaient fuient ou avaient été abandonnés. Ils les trouvaient dans un coin de rue, dans des soutes, dans des cages... Et plus il en trouvait plus il devenait terne et sombre. La folie des hommes le rendait lui-même fou. Il ne pouvait imaginer tant de violence contre les siens, contre les mômes… Les Enfants Perdus le respectaient plus que quiconque sur Terre et donneraient leurs vies pour le protéger. Pan leur menait cependant la vie dure mais il ne s’en rendait pas compte. Tinky, lui, trônait toujours dans ses pensées. L’image de la fée tournant le dos à l’Arbre, à lui, Peter, le rendit si déséquilibré mentalement, si fou que parfois, sans rien dire, les Garçons Perdus l’évitait. Le seul à rester toujours à ses côtés était Wendy. Son Second. Toujours il le suivait, toujours il l’écoutait. Pan le voyait, à quel point il fascinait le garçon. Il l’avait recueilli très jeune et avait toujours prit soin de lui, était-ce alors de la reconnaissance cette étrange fascination ? Pour se distraire des douloureux souvenirs passés, Peter en vint à un nouveau jeu. Charmer et enquiquiner Wendy. Mais un cœur brisé qui s’amuse ainsi ne peut il jamais…en oublier que parfois, le jeu mène à de tout autre sentiments ?
Projets d’avenir : Son plus grand projet est celui de débarrasser le monde féérique tout entier des adultes. Il y travaille dur et veut étendre ses idées par de là les océans. Un génocide contre les Adultes, son plus grand rêve, son plus grand souhait . Mais n'y a t-il pas aussi celui d'un jour comprendre les sentiments ? D'un jour revoir Tinker Bell....
Qualités : Comme les quelques mots du dessus, ce cher Enfant sauvage a tout de même de belles qualités. En effet, Peter est tout d’abord loyal. La loyauté signifie beaucoup de choses à la fois pour lui. En premier, toujours être là lorsqu'un ami est dans le besoin et la peine. Deuxièmement, pouvoir compter sur de la franchise, de l'aide et de la reconnaissance venant d'un compagnon que l'on a aidé par le passé. Troisièmement, ne jamais trahir une personne qui vous a toujours soutenue. La trahison, chez cet énergumène, c'est équivalant à un meurtre. La peine encourue est une descente aux Enfers. Jamais, je vous le conjure, jamais ne trahissez Peter Pan. Passant la loyauté, il y’a le courage du lion. L’adit farfadet volant a du sang froid dans les veines. Il ne recule devant rien et sait faire preuve de courage là ou les autres n’en font plus. Brandissant l’épée de la liberté, chassant les démons de l’âge intolérant, rabaissant les vermines adultes. Sa force psychique, plus que mentale, tiens face aux mécréants envahisseurs de Neverland. Toujours tenir le coup, toujours obtenir ce que l’on désir et ne jamais flancher. Une devise taillée dans la chaire de Peter. Aguicheur en plus, il est d’une beauté insolente et se sert de celle-ci pour lier de premiers contacts amicaux avec des personnes qu’il juge digne d’êtres « amies » avec lui. Un petit lot de qualités en définitive. Bien qu’il ne les montre pas souvent, elles sont bien là. La première fois, on ne les voit pas. Puis lorsque l’on regarde de plus près, on les voit. Il y'a tout aussi un point important à mentioner. Son attachement fou aux Enfants Perdus. Il déteste ni plus ni moins ceux qui veulent leur faire du mal. Les Enfants sont sa famille, quiconque y touche n'amasse pas mouche ! Il donnerait sa vie pour eux...et plus particulièrement pour deux d'entres eux...
Défauts : Que serez un jeune homme parfait sans imperfections ? Des kilos de défauts s'accumulent sur le crâne chevelu de Peter. Gamin sans pitié, sans foi, sans lois avec les grandes personnes. La pitié il ne l’a connaît pas. Ce n’est pas son amie. Véritable tyran né, il élimine de sa route toutes personnes gênantes à ses projets et à sa vision du monde. Pour cela, il n’hésite pas à faire preuve de violence et de fourberies. Car manipulateur il est, manipulateur il reste. Jouer avec les gens comme s’il s’agissait de pantins lui plaît. EN parlant de pantin, il eut tout de même une désagréable expérience avec un Marionnettiste...à qui il fit regretter d'avoir des attirances pédophiles...Quand bien même, c'est un jeu amusant dont il ne se lasse jamais. Sur ce point ci il est pareillement puéril à un gosse de 5ans. La vie des gens équivaut à un dessin qu’il est possible de gommer, de modifier et de brûler. Il griffonne des ordres à un pion, le raye, puis l’oubli. Toujours est-il qu’il y’a le revers de la médaille. Peter est autodestructeur. Pour quelles raisons ? S’acharner à faire souffrir les gens le fait souffrir lui-même. Car quand on nourrit continuellement une haine noire au creux de ses entrailles, on ne peut s’empêcher de s’y piquer aussi. A force de haïr tout ce qui lui déplaît, Pan va finir par se brûler les ailes et tomber dans une solitude malsaine qui le rendra vulnérable et qui lui sera fatale. Il ne l’a pas encore comprit, bien trop enfantin pour cela. Il est capable de le comprendre pourtant mais il s’y refuse. En manipulant les autres, il manipule et taillade son âme déjà salie. Au fil des années, sans s’en être rendu compte, le jeune Peter devint mélancolique à ses heures perdues. La mélancolie est bien plus fourbe qu’il ne l’est lui. Elle lui ronge le cœur, lui brise l’esprit. Son rire parfois chaleureux, parfois mesquin se déchire plus en une lamentation déconcertante. Il ne veut pas de l’aide. Il ne veut pas de compassion, ne veut pas d’amour. C’est un gamin qui même s’il conteste ce fait, a déjà grandi trop vite.
Goûts : Pan a des goûts particuliers il en vas de soi. Il aime voir pleurer un adulte. Il aime lorsque le coq chante trop tôt le matin. Il aime être un hors la loi recherché et primé. C’est un incompréhensible môme. Il voue une passion folle à la musique classique ce qui est réellement un point étonnant chez lui. Ses jeux favoris sont de construire des cabanes dans les arbres, de s’y planquer et de jouer aux indiens…avec de vraies flèches et contre de vraies cibles. Il aime écouter les histoires du Conteur, il aime charmer Wendy, il adore provoquer la Capitaine Crochet et ses subordonnés... Excepté tous ces jeux, ces drôleries, il n’y a rien de plus conséquent. Peut être de temps à autre mangé des pâtisseries devant un dessin animé.
Manies : Peter a la folle manie de toujours avoir une sucrerie dans sa poche et de la manger avant d’entreprendre une action contre une personne. Fâcheuse manie certes. Il ne dort presque jamais et lorsque c’est le cas, toujours sur le sol, jamais dans un lit. Il ne mange de même jamais de tarte aux pommes, ne boit pas l’eau dans un verre mais dans ses mains et adore utiliser des bâtons et des pierres comme armes ou projectiles. Qualifieriez-vous cela comme des manies ? Je ne sais pas…
Phobies : Le joyeux luron n’a pas peur de grand-chose, en fait, il n’a presque peur de rien. Il ne craint pas de mourir, pour lui, la mort est simplement une nouvelle aventure. Sa seule et unique véritable peur est celle de grandir et de devenir ceux contre qui il lutte chaque jour. Un autre de ses points faibles sont les sentiments. Ils les répugnent, ne veux pas en entendre parler. Il est déjà arrivé qu’une personne soit amoureuse de lui. Peter en fut si choquée, si déconcertée, qu’il brisa le cœur de cette personne et ne voulu plus jamais apercevoir ni même ressentir de l’amour. Il lui fait peur, ce sentiment mielleux et rouge. Mais l'attirance ne peut être repoussé, il fut un temps ou Tinky lui sembla plus qu'un simple ami...et aujourd’hui il se demande encore ce qui a bien put provoquer cette attirance inexplicable. Et Wendy...est ce juste un jeu de le charmer pour le rendre fou, oui, juste un jeu ? Ou un peu plus...
Particularités : Ce cher Pan, comme j’ai pu le préciser dans ses manies, a toujours une sucrerie dans sa poche. A cela se rajoute ici le fait qu’il ai l’œil droit bandé suite à une mauvaise fortune contre une Vermine. Il dort de même avec des tonnes de gri-gri, de peluches et de poupées. Après, voyez de vous-même si vous trouvez une tout autre particularité spéciale chez lui.
Dernière édition par Peter Pan le Sam 22 Aoû - 17:22, édité 4 fois
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Sujet: Re: Le | | sommeil | | de { l'Enfance } s'arrête t-il au -néant- ? (100%) Jeu 20 Aoû - 9:57
Welcome \ô/
Quelques petites confusions. Déjà, ta ville natale ne peut être Londres, puisque le contexte prend entièrement pieds à Malkins, monde des contes. Je pencherais donc plutôt pour Neverland, comme ville natale. Il faut donc modifier le contexte de ton histoire en corrigeant ce détail.
Ce n'est pas le seul problème. Ton histoire est entièrement à revoir, dans la forme. Je te conseille d'aller lire la fiche de Tinker Bel, qui joue le rôle de la fée clochette et qui se trouve en fait être "un petit fé". A l'inverse, Captain Hook se trouve être une demoiselle. Je pense que tu n'as pas lu la description du PP de Crocodile également (se trouve dans les Traqueurs & consultants), j'avais pensé interessant de relater quelques anecdotes à ce sujet, celui de Crochet tout du moins. (Ou, plus précisément, Crochette du coup 8D).
Hormis quelques fautes de frappe par ci par là, tout est okay de ce point de vue là. J'ai remarqué que tu n'avais pas fait intervenir Wendy (garçon futur lui aussi), cela ne pose pas de problème. Nous verrons ensemble lorsque l'équipe se sera occupée de son PP, si tu es d'accord avec ou non.
Bon courage pour la refonte de l'histoire _o/
Walrus
team steak haché
HUMEUR : Bweh. CITATION : « L'objet possédé est heureux tant que son propriétaire l'a à l'oeil... »
Sujet: Re: Le | | sommeil | | de { l'Enfance } s'arrête t-il au -néant- ? (100%) Sam 22 Aoû - 17:24
Oulalala c'est que je suis chiante dans l'genre j'fais pas correctement ma fiche ^^"
Je suis vraiment déoslé, j'aurais dû y penser à tout ces détails cuisants ! J'ai modifié et rajouté assez de lignes et de détails. Je suppose qu'il en manque au sujet de Captain Hook mais je peux encore en rajouter =)
Voilà, maintenant pour Wendy, j'aime le perso, il me plaît et la relation que je suis censé entretenir avec aussi
Bon, alors, qu'en est-il du jugement Walrus ? :S
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Sujet: Re: Le | | sommeil | | de { l'Enfance } s'arrête t-il au -néant- ? (100%) Sam 22 Aoû - 18:28
Je te valide, Pan-pan èwé mais fait attention aux fautes d'inattention /ô/
Je fixe ta prime à 18 000 Yubas \o/ Je donnerai l'image de base de l'avatar à Alice pour qu'elle s'occupe de créer ton avis de recherche o^_^o
Amuse toi bien !
Walrus
team steak haché
HUMEUR : Bweh. CITATION : « L'objet possédé est heureux tant que son propriétaire l'a à l'oeil... »
