Identité
Nom : Feather
Prénom : Loreley
Surnom : Whatever, et ne l’abrégez pas en « Ever », même si elle vous répond que oui vous pouvez.
Age : 25
Date de naissance : 29 Février
Emploi : Aucun pour le moment, mais en recherche un.
Ville natale : Wonderland
Orientation sexuelle : Bisexuelle. A force de ne rien refuser à personne elle s’est retrouvé dans le lit d’un peu n’importe qui, pas toujours avec le souvenir d’y être entré et sans trop savoir ce qui s’était passé. Les années passant, elle s’est faîte à tous les types de partenaires…
Don : Whatever répondra souvent qu'elle n’a pas de don mais une malédiction. Au début elle ne fut dotée par son maître le conteur que d’une mémoire absolue, parfaite, capable de retenir instantanément et pour toujours la moindre phrase, le moindre mot, la moindre image portée à ses yeux ou ses oreilles. Mais elle brisa son serment de mettre ce don et sa personne toute entière au service du conteur. Alors le conteur la maudit, brisant sa fierté et sa volonté. On peut résumer ainsi le résultat :
- Whatever retient instantanément tout ce qu’elle voit, lit ou entend et ne l’oubli jamais. Néanmoins, si elle entend le mot ou simplement le son « pas », elle oublis ce qui vient de se passer. La période oubliée varie selon les situations, pouvant aller de deux minutes à une heure. Prononcer le son plusieurs fois de suite multiplie d’autant l’effet.
- Whatever ne peut pas exprimer un refus. Si elle essaye d’exprimer son désaccord, sa bouche prononce des mots d’approbation. Plus les paroles de refus qu’elle veut prononcer son fortes, plus elle montrera un enthousiasme incontrôlé dans son acceptation.
- Si on ponctue une demande de « s’il te plaît » ou « s’il vous plaît », Whatever ne peut faire autrement que s’exécuter.
Néanmoins elle est née avec un "don" initial comme tout le monde, qui reste plutôt anecdotique: quand elle pose la main sur la poignée d'une porte, elle en inverse le sens d'ouverture. S'il fallait tirer pour ouvrir il faudra désormais pousser et inversement. Chose surement tout à fait utile même si elle même ne saurait dire à quoi...
Personnalité :
Whatever n’a construit sa personnalité qu’en stricte opposition à sa malédiction. Elle ne supporte pas l’autorité, et se montre toujours des plus désagréables envers la plupart des gens, pour surcompenser le fait qu’elle ne puisse jamais rien refuser clairement. Enchaînée à la servitude involontaire par son don elle a non seulement l’envie de se montrer rebelle et détestable, mais surtout elle en a le besoin, pour tuer chez ses interlocuteurs tout velléité de politesse qui pourrait les rendre enclin à user d’un « s’il vous plaît ». Il va de sois qu’elle ne précise à personne que ces mots la forcent à exécuter sans pouvoir s’y soustraire ce qu’on lui demande.
Whatever se caractérise en fait par sa grande colère et sa solitude. Elle sait qu’elle ne peut pas construire de façon fiable et sincère une relation, du fait qu’elle ne peut être franche faute d’être capable d’exprimer un refus et qu’elle peut encore moins se sentir libre en la présence d’un autre être humain de peur qu’il profite d’elle. Et elle sait bien que sa malédiction est irréversible, ne rien pouvoir y faire la rend amère et frustrée.
Enfin, Whatever conçoit une grande fierté de la facette positive de son don : sa mémoire absolue. Elle y a recours à la moindre occasion et ne perd que peu d’occasion d’en faire étalage. Elle a toujours sur elle un carnet dans lequel elle note ponctuellement les choses importantes qu’elle vit sur l’instant, afin de retrouver le fil des évènements si quelqu’un venait à prononcer la syllabe maudite qui lui efface la mémoire. Bien qu’admettre que le simple son « pas » suffi à effacer de sa mémoire les derniers instants vécus soit risqué, elle ne fait pas mystère de ce talon d’Achille, ayant constaté par le passé qu’il était plus dangereux encore de le dissimuler que de l’avouer, étant donné la fréquence de la syllabe dans les conversations courantes.
Morphologie
Il est des jeunes femmes dont la beauté et plus éblouissante encore que le reflet volé du soleil sur une lame affutée, lame bien risible en comparaison du pouvoir de leur charme.
Whatever n’en fait pas partie, elle est simplement belle, se distinguant nettement du commun des femmes, sans pour autant être une incarnation vivante de la perfection esthétique féminine. Ses cheveux sont d’un noir d’ébène et semblent absorber toute la lumière qu’ils ne reflètent pas ; lisses et longs, ils viennent caresser ses épaules par de longues mèches très ordonnées. Son teint est pâle sans pourtant confiner au blanc, lui donnant une apparente délicatesse sans la faire passer pour une vampire. Ses yeux sont d’un bleu glacé mais pas délavés : ils captivent les premiers le regard des gens, certains sont fascinés par leur profondeur mais d’autres frissonnent en y décelant le froid intense qui règne dans le cœur de Whatever. Leur intensité, quelle qu’elle soit perçue, a trop souvent tendance à éclipser son petit nez mutin. Sa silhouette est très fine, peu musclée, mais non pas frêle, témoignant que la demoiselle ne croise pas souvent le fer sans pour autant se briser comme une brindille.
Elle aime à se vêtir de façons parfaitement aléatoires, comme si elle n’arrivait pas à apprécier la moindre de ses tenues. Plus exactement, elle se change chaque fois qu’elle en a l’occasion, passant aussi bien d’une robe longue et élaborée à un minishort pour revêtir ensuite un jean des plus classiques. Ce « lunatisme » vestimentaire semble indépendant des conditions météorologiques, puisqu’avec un peu de chance vous la verrez confiner aux extrême en s’affublant d’une minijupe en plein cœur de l’hiver, ou un épais pull au beau milieu de la pire des canicules.
Récit :
Il était une fois un conteur qui rencontra une jeune fille abandonnée. La fillette vint à l’homme et en ces mots s’imposa :
- Je veux venir avec toi.
Le conteur étonné, lui répondit d’un ton fier et suffisant.
- Petite créature, je suis vois-tu, un conteur. Ma plume et ma voix donnent naissance à tous les mondes, et font les lois des univers. Il en va ainsi partout et de tous temps : nulle volonté n’est libre, et conter c’est ordonner. Car en tout monde, je règne et décide pour chacun. Mais un monde un seul est affranchi, car nul n’en tiens la plume, et c’est celui où tu te tiens. Le conteur ne peut écrire les lignes de son monde et n’y est qu’un simple personnage. Pas plus ici que dans les mondes que je crée, chère enfant, tu ne peux m’imposer ta volonté. Car tu n’es pas conteuse ici…
La bien étrange fillette s’inclina alors et, prononça de ses frêles lèvres la supplique bien étrange que voilà :
- Alors de ce monde changeons les règles. Laisse moi cette fois écrire de ma plume sur ta vie, et faire de mon choix le tiens. Laisse-moi-t’ordonner de m’adopter, sans protester, sans rien dire. Et le reste de ma vie laisse moi être de tes histoires le grimoire. Qu’a tout jamais je ne sois que ta plume, que pour l’éternité je retienne ta voix, et sois pour toujours une page vierge et soumise. En ce monde je serai la seule page, le seul personnage dont la volonté est tienne.
Le conteur, par une telle offre étonné, hésita un instant, mais accepta la proposition de la jeune fille. Il l’emmena avec lui, la recueilli en son foyer et jura qu’il pourvoirait a ses moindre besoins.
Alors, ce fut à la jeune fille de remplir sa part du marché, et elle se mit au service du conteur, exécutant ses moindres désirs. L’homme, parce qu’il en avait le pouvoir, la dota d’une mémoire parfaite, une mémoire absolue pour que la jeune fille recueille sans jamais les oublier chacun de ses contes. Qu’elle lise ses écrits, ou qu’elle écoute sa voix puissante, nul mot ne pouvait plus jamais s’envoler de sa mémoire. Et le conteur put brûler ses grimoires, soulager sa mémoire et ne plus se soucier que d’inventer et de conter, car la jeune fille était sa mémoire autant que sa servante.
Mais alors qu’elle grandissait, la jeune fille oublia pourtant son pacte. Elle faisait de sa mémoire parfaite sa plus grande fierté, et son orgueil fut l’égal de son âge. Elle grandit un peu, et se mit à retenir autre chose que les histoires du conteur. L’homme, qui l’appréciait, lui en accorda la liberté. Elle grandit encore, et refusa les corvées que son maître lui confiait. L’homme, qui l’affectionnait, ne lui en tint pas rigueur. Elle grandit toujours plus, et un jour ne retint plus que les histoires qu’elle voulait. Mais l’homme, qui l’aimait, ne s’en offusqua pas.
Elle grandit tout à fait, et alors désirable, elle se refusa au conteur. Alors l’homme, qu’elle obsédait, ne toléra pas d’avoir tant attendu pour ne pouvoir l’étreindre, et lui rappela son pacte. Comme la jeune femme se refusait encore, le conteur, qui en avait le pouvoir, fit naître de ce parjure une malédiction.
Pour qu’elle revienne à son devoir, la mémoire de la jeune femme se fit absolue et sans contrôle : elle était désormais forcée de retenir tout ce qu’elle voyait et entendait, sans jamais l’oublier.
Pour que sa fierté soit atteinte une première fois, le conteur donna à sa mémoire une faiblesse : parce qu’elle lui avait trop dit « je ne veux pas », et s’était enorgueillit de son don, le simple fait désormais d’entendre le son « pas » qu’il soit mot ou syllabe, prononcé par elle ou par un autre, effacerait les derniers instants vécus de sa mémoire.
Pour enfin l’humilier et l’obliger à respecter son serment de servitude, il ne lui serait plus possible d’exprimer un refus. Toute protestation de sa bouche se changeait désormais en une approbation d’intensité équivalente. Et pour donner à ce collier une laisse, non contente de ne plus pouvoir exprimer une contradiction, il lui fallait désormais exaucer sans pouvoir s’y soustraire tout ordre se terminant par « s’il te plaît ».
Et la jeune femme alors, du s’offrir au conteur et, respecter son serment.
Les semaines passèrent, mais sa fierté était trop grande pour supporter une telle malédiction. Comme rien ne l’en empêchait, elle finit par tuer le conteur dans son sommeil. Mais loin de disparaître, la malédiction perdura, et se fit éternelle.
Et la jeune femme alors, du payer son parjure pour toujours.
HRP :
Premières impressions concernant le forum: Mon Dieu... OO" j'serai jamais au niveau...
Éventuelles idées pour l'améliorer: Je vais déjà essayer d'y survivre avant de vouloir optimiser... xD
Comment nous avez-vous découverts: The Charming Prince a eu pitié de moi et m'a invité quand j'ai dis que j'étais en manque de RP...
Depuis combien de temps faites-vous du Rp': Ben à mon niveau j'en ai fais... trois-quatre années, mais de façon aussi soignée qu'ici, encore jamais.
Évaluation de votre activité sur le forum: Je me paume dedans pour l'instant... -_-"
Code: Poulpe baveux! Euh... bave des neige! Nan... gnome poulpeux? * reconnecte ses deux neurones* Bon, Bave de gnome ou Poulpe des Neiges, me semble!
