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Don surnaturel: {Unique, original, "modeste"}



Hansel, mélange de tout ce qu’il y a de plus immoral, n’est-ce pas paradoxal ? Être un traqueur au service de la justice et être narcissique ?
Car oui, Hansel est narcissique, et pas qu’un peu, il est du genre à ce vanter de ses mérites. Peut-être pas égotisme, mais assurément amoureux de lui-même. Il ne supporte pas que l’on mette en doute ses idéaux, ses projets d’avenir, car IL les a inventé, alors ils sont parfait, Hansel s’aime. Il aime tellement son image qu’il pourrait passer des heures et des heures devant son miroir. Mais, il sait se montrer raisonnable et cache particulièrement bien se défaut.
« Hum… Je suis parfait … ? »
Égoïste?! Oui il l’est, vivre comme un enfant pauvre l’a rendu assez avare, lui a donné la peur de redevenir pauvre. Et il n’est pas du genre à partager, à part avec sa chère sœur qu’il aime tant… Ah Gretel … Il est aussi égoïste du fait qu’il veut imposer sa vision des choses à Gretel, lui ordonner ce qu’elle devrait faire, son comportement, même si au fond, dans les tréfonds de son âme, il l’aime comme elle est… Elle est sa sœur, son unique famille, sa confidente… Ou était. Hansel n’est que peu généreux, oui très peu même…
« Monsieur… Vous n’auriez pas un bout de pain pour me nourrir ? Je souffre tellement… »
Et il répondait, sans scrupule et froidement.
« Mon cher monsieur, que faites-vous là, là alors que vous pourriez vous chercher un travaille pour vous acheter autant de pain que vous le voudriez… ? Oui que faites vous là, je me le demande bien. »
Hautain, est un des traits principales chez Hansel. Il n’est jamais très respectueux du bas monde, alors qu’il en a fait parti. Il les prend de haut, les ridiculises. Les seules personnes avec qui il ne l’est pas, sont certainement les traqueurs, après tout, les traqueurs sont la source de son admiration. Mais, en faite, il n’est froid avec les autres que par peur… Peur de devenir à nouveau comme eux, alors il les repousse, il a peur de l’anonymat.
Ah, le dédain… Et oui, Hansel n’est décidément pas un ange, il a la fâcheuse habitude de mépriser les gens, de leur parler froidement, méchamment, et cela sans aucun scrupule.
La manipulation, c’est une chose dont Hansel s’accommode, il ne reculerait devant rien ou presque pour faire cracher le morceau à quelqu’un, obtenir des preuves, ou un objet. Mais bien sur, il ne manipule jamais pour des raisons personnelles, ou presque. Car il est au service de la justice, la seule vérité sur ce monde.
Mais, et si je vous disais que tous ces défauts n’étaient qu’une façade ? Qu’ils cachaient au fond un petit garçon apeuré non pas malintentionné, cela vous étonnes, vous n’y croyiez guère ? Et pourtant …

Hansel est intelligent, peut être un peu moins que sa sœur chéri, mais il l’est. Méticuleux, il dénoue scrupuleusement les mystères de ses premières affaires au sain des traqueurs, presque surdoué, mais pas tout à fait, car lui son fort n’est pas non plus l’intelligence…
L’intuition, quelque chose de très hasardeux, voire trop. Mais Hansel l’est, et cela lui a servi plus d’une fois, beaucoup plus. Car il se fit plus à son instinct qu’a la logique qui est trop souvent du domaine de l’hypothèse…
« Si je fais ça, j’éviterais son coup … Si… » Au contraire « Allons ! Que diable, sur la gauche c’est le bon moment pour s’y jeter ! »
La ruse, Hansel le malicieux, oui. Très futé il se sert souvent de sa ruse pour étourdir ses ennemies, les surprendre. D’instinct très intelligent, quand il allie sa ruse à cette intelligence, il n’est pas rare qu’il se joue d’un criminel.
La gentillesse… ?! Oui au final il l’est, car il a beau être radin, avare. Il ne dira au mendiant que la phrase méchante, pour aux yeux des autres passer pour ce qu’il veut être, un traqueur froid, impénétrable et introverti. Car au mendiant, discrètement il passera une grosse tranche de pain.

Mais, Hansel ? Qu’aimes-tu … ? Parle-nous de tes gouts !

Hum, miam, quelle délice, oh oui, vous ne trouverez jamais Hansel sans son éternel petite brique de jus de fruit, il affectionne d’ailleurs tout particulièrement le jus de raisin. D’où sa tendance fâcheuse à avoir constamment une paille à mâchouiller. Vous ne le trouverez jamais sans sa panoplie de jus… Oh juteux, doux ou amère, il les aime tous…
Sa sœur, l’unique chose qu’il aime plus que tout, il ne peut la changer, lui imposer ses idéaux, et pourtant même sans lui parler, même sans la voir, même s’ils ne partagent pas les mêmes idéaux, il éprouve une grande affection pour sa sœur.
Les traqueurs, ces personnages mythiques pour Hansel, pour lui ce sont des chevaliers… Il éprouve une admiration presque obsessionnelle envers eux, ils sont ses héros.

Et si je vous parlais de ce qu’il n’aime pas, de ce qu’il n’aime pas du tout...

La rôtisseuse, il l’a hait presque autant que le chemin que Gretel suit. Cette chose qui a essayé de l’engraisser puis de le rôtir, était surement sa peur la plus intime, mais il bouillait pourtant d’en découdre avec elle, un sentiment de peur et de haine assez paradoxal.
Le « chemin », cette voie que sa sœur qu’il aime tant et veut protéger suit, une voie qui le répugne presque, une voie de débauche… Il ne supporte pas de la voir s’éloigner de plus en plus dans cette voie.





Les vêtements ? Primordial voyons, viens là qu’on t’habille correctement ! Hansel veut plaire, il veut plaire aux autres, se forger une bonne image. Car, dans notre société, n’est-il pas important d’être bien vêtu ? Si. Et Hansel aime s’habiller avec classe.

Un jeune homme se baladait dans la rue. Des chaussures de cuir, rectangulaires et noir, mais malgré le cuir, elle ne brille guère. Un pantalon moulant noir, avec des poches rectangulaires de couleur noir usé. Au rebord d’un de ses poches, et accroché un baladeur CD. De couleur noir aussi, s’il vous plaît. Les coutures du pantalon sont faites en noir vacillant presque avec le gris. S’en suit un T-shirt tout aussi noir, avec en son centre la plupart du temps un dessin de couleur représentant une brique de jus de fruit -un jour ce sera la brique de jus d’orange, faite de plusieurs nuance de orange et de blanc, un autre celle au litchi faite de rose et de blanc mais épargnez moi, je ne puis décrire tous ses T-shirt - . Ce jeune homme portait une veste, recouvrant les bords de son T-Shirt jus d’orange. Cette veste était dans les tons noirs, elle était en coton et avait des bords plutôt arrondi. Attaché à cette veste, une fourrure blanche en parfait contraste avec tout ce noir, mais pourtant tout cela se mélangeait bien. Autour du cou de cette énergumène étaient placées des ficelles en plastique, relié à un écouteur qu’il portait sous un chapeau, et à son baladeur, le fil qui allait vers le baladeur passait bien sur sous ses habits. Il portait un chapeau qui recouvrait le haut de son crâne ainsi que le derrière, ce chapeau assez ample était penché vers l’arrière et avait une broche attachée sur le coté, cette broche représentait une petite tête de mort, miniaturisée et embellie bien sur – A noté, très cher ami, que cette proche peut changer en fonction de son humeur et représenté un fruit-. Sous se chapeau se trouvait un écouteur assez particulier, car au lieu des extrémités habituellement rondes, se trouvait des extrèmités en forme de pomme d’un coté et de raisin de l’autre, mais l’écouteur restait blanc ne prenant pas la couleur du fruit.

Et lui, imaginé le nu… Oui nu, comment serait-il ?

Le jeune homme sortait de la douche, il était nu. Il se sécha les cheveux et commença à se sécher le corps. Les pieds du garçon étaient plutôt petit, il ne tallait pas grand, sa pointure ne devait pas dépasser les quarante, ses ongles étaient bien coupés, court. Ses jambes beige pratiquement blanche, car il avait un teint pâle, était bien ciselé, musclé mais très fine, ni trop en chaire, ni pas assez. Son entrejambe, un endroit secret, où se cachait ses parties génitales bien en chair était caché par la serviette on apercevait cependant le peu de poil qu’il possédait, je ne pus le décrire plus …Heureusement d’ailleurs me direz-vous ? Son ventre semblait assez peu musclé, voir très fin, presque squelettique, une impression de fragilité se dégageait de lui. Si fragile est naïf … Ses bras fins donnaient cette même impression de douceur, et de fragilité que son ventre… Et son buste, au contraire du ventre, était déjà moins squelettique, on ne voyait presque pas les cottes. Son cou était tout comme le reste fin, ce n’était pas un cou de taureau. Et son visage… Son visage était beau, des traits assez fins, très peu rondelets mais pas creux non plus, ce visage était encadré par des cheveux qui vacillait entre le blanc et le blond, même si le blond dominait de loin. Et ses yeux… Un profond océan, dans lequel plus d’un de ces dames auraient aimé se perdre.




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