Don surnaturel: Un don, un talent, que sais-je ? Je suis capable de modifier la mémoire de quiconque se trouve à proximité de ma superbe personne. Autant y ajouter des choses intéressantes, non ? Lors des missions d’infiltrations, j’étais un élément plus qu’utile, vous savez ? Mirror n’aurait pas du l’oublier…


Se sentir beau, se délecter de sa propre vie et aussi savoir aimer, un peu, juste certaines personnes. Bien trop abrupt pour être normal, bien trop extravagant pour être pris au sérieux. Si peu se soucier du bien être des autres et ne penser qu’à soi. Laissez-le être ce qu’il n’est pas. Laissez le ne plus croire en vous, ne plus être déçu, ne pas sentir la rancœur lui étreindre la poitrine, et surtout laissez lui l’exquis plaisir d’être honoré à sa juste valeur. Avoir confiance, trop facilement, trop profondément. De la naïveté sans doute. Avoir confiance en soi, trop facilement, trop profondément. De la survie surtout.


First Stage: Beautiful Me


Un maniaque de la beauté, voici ce qu'il est. Mais que sur lui, les autres on s'en fiche n'est-ce pas? Alors il s'entretient, surtout qu'il a une sainte horreur de tout ce qui est sucré. Une sorte de diabète psychologique surement, mais ses aventures de cannibalisme aux saveurs douces et affriolantes, l'ont vacciné à vie. Outre, ses tics alimentaires; Le jeune homme a le contact facile, blagueur et doté d'un chaleureux sourire, il en charme plus d'uns. Cependant, à trop se lier, il en a fini blesser et après quelques années de relations ou sa candeur fut mise à rude épreuve. Il finit par éprouver des difficultés à nouer des contacts autre que superficiels. L'on pourrait dire qu'Il fait partie de ce genre d’être qui se suffisent à eux-mêmes, qui font tinter leurs rires en toute circonstance et qui vont toujours de l’avant. « Sans jamais regarder en arrière, aurait dit sa mère. » Cela peut être un défaut, il n’est pas assez prévoyant et beaucoup trop négligeant. Certains auraient dit « un piètre manipulateur » d’autres aurait ajouté « beaucoup trop rêveur ». Il n'a pas les pieds sur terre, sauf quand il est en mission. Et légèrement immature, il choisira toujours la voie de la facilité. Stratège, sûrement si l'on creuse un peu, mais cependant son bordélisme se reflète également dans son caractère. Ainsi il a tendance à négliger les détails qui lui semblent sans importance. Et ça le conduit souvent droit dans le mur.

Egocentrique, certes, et peu altruiste, j'en conviens. Il en reste joueur et possède une certaine notion de la justice. " Tant que je vais bien, tout va bien. " A chacun son crédo, donc. Cependant son narcissisme entraine souvent des réactions diverses et variées, allant tout aussi bien vers l'adoration que vers un mépris total. Toutefois, il est assez centré sur lui même pour s'en tamponner totalement.


Second Stage: Give me Money


Il n'a jamais manqué d'argent, tout du moins durant son enfance, alors pourquoi sa radinerie est -elle aussi légendaire? Business is Business, dirait l'autre. Et il aurait raison. Markis a un rapport troublant avec l'argent. plus il en amasse et mieux il se sent. Et hors de question de le dépenser, il s'arrange toujours pour se faire inviter. Que ce soit par un sourire charmeur, ou un pari débile, le grand brun arrive toujours à ses fins. Sauf quand il a trop bu. La, sa radinerie se transforme en son opposé, et complètement ivre, il offrira des tournées générales. Qu'il regrettera amèrement, une fois qu'il aura retrouvé ses esprits.

De plus, étant donné son casier judiciaire, et en contrepartie de l'effacer entièrement, le QG des traqueurs ne le rémunèrent pas pendant un an. Il s'est donc dégoté un emploi au sein de la communauté, et travaille comme Barman dans un bar assez peuplé. N'oublions pas qu'il fera tout pour amasser la monnaie, alors ne lésinant pas sur son ex appeal, oeillade incendiaire et autre, il obtient régulièrement des pourboires avantageux.


Third Stage: Damn, Damn You

Sa vision des autres est simpliste, tout du moins selon lui. Il classe les gens dans diverses catégories, elles mêmes divisées en sous parties. Premièrement, les gens biens. Arrêtez vous tous de suite, ceci n'a pas forcément la signification à laquelle on s'entendrait. En fait, pour Markis les gens biens équivalent aux personnes susceptibles de lui rapporter quelque chose, que ce soit de l'affection, de l'argent ou encore de l'admiration. Du moment que ca le satisfait. Il mettra les personnes agissant de manière plaisante envers lui dans cette catégorie.



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Morphologie

Une ligne, des courbes, des angles. Comme tout un chacun certes. Des jambes éffilées, mais pas trop fines puisque legèrement musclées. Un torse avantageux certes, et aucune once de graisse. Il me semble avoir déjà parler de son aversion pour tous les produits sucrés. Alors cet adepte du self control, se dépense continuellement. Et ca se voit.

Son torse fin et musclé est recouvert par une couche de peau pale et ornée de deux petites pointes roses, vulguairement appelés tétons. Ses épaules, larges mais pas trop, lui confère ce qu'il faut de virilité de par la teneur pale et fine de son visage. Le meilleur dirait il, ce sont ses mains. Des mains qui inspirent le respect, froides et dures. Elles ne trahiront jamais son état d'esprit.

Taille, traits du visage, silhouette, expressions et habitudes gestuelles, style vestimentaire, particularité...


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Hors Rp'


Premières impressions concernant le forum:
Éventuelles idées pour l'améliorer:
Comment nous avez-vous découverts:
Depuis combien de temps faites-vous du Rp':
Évaluation de votre activité sur le forum:
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________________________Première____Partie_____________________________________________________ .
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Oh, il est beau mon chaton, de grands yeux noirs et l’un de ces fameux regards qui nous ensorcellent. Il vient juste de naître, enfant peu braillard dans une grenouillère écarlate, il détonne par son calme et son absence de vie. Il ne bouge pas, c’est tout juste s’il respire et ses parents, l’une blonde, l’autre brun, craignent qu’il ne finisse par mourir. Mais c’est impossible, le petit Markis ne mourra pas. Ils ont trop de besoin de lui, il le sent déjà.

Naître désiré, c’est un beau cadeau n’est-ce pas? S’endormir dans les bras maternels et charmer le père, par un sourire gentiment offert. Sa chambre était prête depuis si longtemps. Les murs aux couleurs pastels et joyeuses semblaient scander le nom de l’enfant. Son berceau oscille tout seul au rythme d’une musique imaginaire et le mobile qui le surplombe, tourne, tourne, agitant les animaux décorés qui y sont accrochés. Tout son mobilier à l’air de lui souhaiter la bienvenue. Alors, enfin, Markis se sent chez lui. Non pas contre la poitrine de sa maman, non pas lorsque son père pose un regard bienveillant sur lui, mais tout simplement parce qu’il vient de se créer son premier souvenir. Et qu’il l’oubliera, tout aussi vite.



Son père a un bras atrophié, mais ça n’est pas grave, ça ne l’empêche pas de travailler. Sa mère, blonde chantante et rassurante, s’amuse à l’exhiber à tout un chacun. C’est qu’il est beau l’enfant. Avec son visage d’ange, sa petite bouche rouge et sa peau laiteuse. Il a six ans, et il est l’enfant préféré des vieilles dames de son quartier. Tous les jours, à seize heures piles, elles l’invitent une à une pour le goûter.
« Mais attention, chaton! Tu ne dois surtout pas aller dans la maison du bout de la rue. Même si l’odeur qui en émane est alléchante, même si la musique est entraînante, en aucun cas tu ne dois être vu. , lui rappellent -elles quotidiennement. »

Le lundi, il va chez Hilda, la jolie vieille dame qui fut célèbre en son temps allez savoir pourquoi. Au gouter, elle lui donne, un gâteau à la fraise et un verre de lait.
Le mardi, il va chez Greta, la rondouillette vieille femme qui lui sert, toujours un gâteau au chocolat et un verre de lait.
Le mercredi, il va chez Magda, la vieille dame noire qui lui offre comme à chaque fois, des desserts bien sucrés et un verre de lait.
Le jeudi, il va chez Giselda, la grande vieille dame aux robes fleuris, qui lui prépare chaque soir, un bout de quatre quart et un verre de lait.
Le vendredi, Il va chez Ogla, la grande dame à l’accent nordique qui lui apporte des cookies et un verre de lait.
Le samedi, Il va chez Bathilda, la vieille dame à la choucroute qui le pouponne en le gavant de tarte aux pomme. Et son verre de lait.
Mais le dimanche, il se doit de rester à la maison. De lire tranquillement dans sa chambre, et rester un bien sage chaton.


Jour après jour, mois après mois, le petit respecte la mise en garde. Mais comment pourrait-il être un enfant s’il n’était pas un minimum, désobéissant? C’est pourquoi un dimanche très ensoleillé, le garçonnet se met en quête d’un nouveau jeu dans le fond de son jardin. Ses parents sont sortis, et sans y prendre garde, Markis s’est enfermé dehors. Les heures passent, et son estomac gargouille, alors, il va sonner chez Hilda. Peut-être aura-t-elle encore un bout de fraisier pour lui? Il toque à la porte, une fois, deux fois. Mais personne ne répond.
Le garçon à de plus en plus faim. Ses petites bottes bleus parcourent les quelques mètres jusque la porte de Greta, et à nouveau, il toque. Une fois, deux fois. Toujours pas de réponse. La faim l’emporte à nouveau, et le voila qui toque chez Magda. En tapant contre la porte, il sent une charmante odeur émaner de la maison au bout de la rue. Mais il a promis, alors voyant que Magda ne réponds pas, Markis décide d’aller essayer chez Griselda. Encore aucun signe de vie. Pas de quatre quart pour lui. Mais il reste toujours la maison d’Olga, toquant plusieurs fois, sonnant même, il obtient le même résultat que dans les maisons précédentes. Lassé et la faim le tenaillant, il se retrouve devant la maison de Bathilda. Il toque, il sonne, tant et si bien qu’il finit par être épuisé. C’est alors qu’il entends de la musique provenir de la maison du bout de la rue.

Alors, intrigué, il se dirige vers la maison. Et ses scrupules disparaissent bientôt lorsqu’il se rends compte qu’un goûter d’anniversaire à lieu à l’intérieur. Des voix semblent l’appeler, et n’en pouvant plus, Markis s’approche et sonne à la porte.


Une jolie jeune femme lui ouvre, blonde comme les blés, des yeux verts et une bouche pulpeuse, le garçon a envie qu’elle le prenne dans ses bras. Celle-ci le fait entrer, et referme la porte dans un grincement derrière lui. Sa robe élégante est du même vert que ses iris, et alors que des bruits proviennent de la salle à manger, elle le fait s’installer dans un fauteuil du vestibule.
« je vais prévenir les autres enfants que nous avons un invité, lui dit-elle. Mais en attendant mange donc un bout de ce gâteau. »

Markis, dévore la part de flan que la jolie demoiselle lui a offert, et ayant encore faim, il quitte sa place pour lui en redemander une part. Il suit le long couloir au papier peint coloré et aperçoit à travers la porte de la cuisine, la jeune femme blonde en train de s’affairer. Curieux, il approche son visage de l’interstice afin de voir ce qu’elle fait, et constate avec effroi qu’elle sort du congélateur, une tête de petite fille. Le garçon pousse un cri de surprise, et la jeune femme tourne son visage vers lui.

Paniqué, l’enfant part en catastrophe, et il l’entends la jeune fille qui chantonne son nom derrière lui. Il avise un grand escalier et monte les marches aussi vite que sa petite taille lui permet. Enfin il déboule au premier étage et se rend dans la première pièce qu’il voit.

Il s’agit d’une vaste chambre à coucher, un lit à baldaquin gigantesque occupe les trois quarts de la pièce, et une grande armoire se trouve à l’opposé. En entendant la jeune femme arriver en haut de l’escalier, c’est le cœur battant la chamade qu’il s’engouffre dans le placard et essaye de refermer le battant sans faire de bruit.

« Markis, j’arrive… Tu feras un bon gâteau tu sais? »

Markis ne comprends pas et ne veut pas comprendre. Ses genoux repliés contre son torse, les larmes au yeux, le nez humide et la tête dans ses petites mains blanches, il prie pour qu’elle ne le trouve pas. La porte de la chambre s’ouvre avec fracas, et le garçon dans son placard supplie intérieurement pour qu’elle ne regarde pas dans l’armoire. Des pas résonnent dans la pièce et il manque de faire une crise cardiaque en entendant un énorme fracas.

« … Hm tu dois être dans le placard… »

Et l’enfant qui l’apostrophe mentalement.

«  Mais non, je ne suis pas dans le placard! »

Il sent les ongles de la blonde érafler la porte, et le voici qui hurle sans savoir pourquoi :
«  Oublie, oublie, oublie, oublie! »

Les pas s ‘éloignent et Markis entends la jeune femme marmonner.

«  Suis-je bête, j’ai déjà regardé dans le placard. »

Le petit garçon ouvre de grands yeux, et laissant son souffle s’apaiser un peu , il finit par entrebâiller le battant de l’armoire quelques minutes plus tard. La chambre est dévasté et le lit est totalement retourné. C’est alors qu’il entends la porte d’entrée claquer violemment. Apeuré, il sort sa petite tête brune du placard, et après quelques secondes, émerge a quatre pattes de l’endroit. Mais la porte claque à nouveau, et sursautant brusquement, il se heurte la tête contre l’embrasure de l’armoire.

«  Markis! Mon chéri, descend, la méchante femme est partie! C’est Hilda, ta chère Hilda, mon chaton! »

L’enfant pousse un cri de joie en reconnaissant la voix de la vieille dame pour laquelle il a tant d’affection. Alors il se relève.

«  Markis, mon cœur! C’est Greta, ta douce Greta! Descend mon chaton, tu n’as plus rien à craindre! »

Le petit garçon ouvre largement la porte et se dévale les escaliers pour se jeter dans les bras de ses deux vieilles dames. Mais il n’y en a qu’une qui l’enlace et le sert tendrement. Un peu trop fort tout de même.
«  Dis mon Markis, tu as aimé mon fraisier à la Julie? , lui demande la voix d’Hilda. »
« Alors mon Markis, que pense tu de mon fondant au petit Lucas?, l’interroge la voix de Greta. »
«  Et bien mon Markis, désire tu des desserts à la Mélanie?, lui susurre la voix de Magda. »
«  Mais mon Markis, n’aime tu pas mon quatre quart à la Caroline? , s’inquiète la voix de Griselda. »
«  Enfin mon Markis, n’apprécie tu pas mes cookies au Martin? , s’étonne la voix d’Olga. »
«  Voyons mon Markis, ma tarte aux pommes et au Corentin, tu l’adore hein? , questionne la voix de Bathilda. »
«  De toute façon, Mon flanc au Markis sera bien meilleur! »

Et levant le visage avec horreur, le petit garçon constate qu’il est pris au piège dans les bras de la jeune femme blonde. Il pousse un hurlement et la porte d’entrée explose en mille morceau. La brigade magique sépare la jeune femme blonde de l’enfant en larmes et l’appréhende en quelques secondes.



La maman de Markis le sers dans ses bras et lui chantonne à l’oreille pour qu’il s’endorme. Les maisons de la rue étaient toutes sous le nom de Lacrima Ferrostra, plus connue sous le nom de la Belle Ogresse. La jeune femme possédait le don de métamorphose et s’en servait pour charmer les enfants dont elle voulait faire son dîner. Les enquêteurs retrouvèrent divers gâteaux a noms propres et il fut avéré qu’ils contenaient tous de la chair humaine. Ainsi chaque jour de la semaine, sauf le dimanche, le petit markis mangeait un bout de ses camarades. L’ogresse s’est défendu lors de son procès en mettant en avant le fait qu’elle ne mangeait que ceux qui désobéissaient à sa consigne, cependant , ce fut jugé irrecevable. Et tandis qu’elle était enfermée à Samarcande, le petit garçon grandissait.


Markis avait utilisé sa capacité magique pour la première fois afin de se sauver la vie, et devenant un adolescent plutôt tumultueux, il fit tout pour être engagé chez les traqueurs et grimper les échelons. Peu importait les moyens utilisés cela dit, et c’est ce qui finit par le mener à son tour en prison. Il y resta quelques mois, et lorsqu’on lui proposa de travailler comme consultant afin de traquer The Big Bad Wolf, Markis sauta sur l’occasion.

Ah, autre chose. Lorsqu’il réintégra l’equipe de traqueur, Goldilocks lui demanda s’il avait revu la Belle Ogresse, le voyant acquiescer , elle s’enquit donc de sa réaction. Markis répondit simplement, fidèle à lui-même:

- «  Oh je lui ai juste dit qu’elle m’avait préservé de l’obésité. »