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Oublier le temps d'une nuit [PV : Captain James Hook]

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MessageSujet: Oublier le temps d'une nuit [PV : Captain James Hook] Oublier le temps d'une nuit [PV : Captain James Hook] EmptyMer 6 Oct - 18:23

L’obscurité commençait à régner à Malkin. Les couleurs des paysages devinrent grises, puis noires. Les gens rentraient chez eux, bien au chaud, à l’abri des petits voleurs et de cette noirceur qui grossissait encore plus. Quelques fenêtres se fermaient. Le vent soufflait. Plus un bruit. Un petit miaulement de temps en temps… Entendez-vous ? Un bruit ? Un bruit de pas. Tic-tic-tic… Et une douce mélodie fit écho pendant quelques temps dans les rues de Neverland. Une voix exquise se propagea dans le souffle de la nuit. La chanson fit place à un rire enfantin, un rire suave et doux comme un bonbon. La frêle silhouette s’en allait au bord de la crique aux pirates.

Elle était belle. Une enfant dans l’innocence la plus totale. Ses cheveux flottaient telles des vagues sur l’océan. Sa robe de coton blanc n’était qu’une parure… quelque chose que l’on mettait juste par procuration. Par-dessus, une cape noire. Elle avait enlevé sa capuche car il n’y avait personne aux alentours. Pas de garçons perdus qui iraient l’espionner et puis rapporter ce qu’elle faisait. Tranquille pour l’instant. Ses grands yeux noisette se posèrent quelques instants sur la large étendue d’eau qui se trouvait devant elle. L’océan. C’était par là qu’elle avait aperçut pour la première fois la contrée de Neverland. Elle s’assit sur le sable blanc, en prit une poignée dans sa main et laissa le sable couler entre ses doigts. Elle ferma les yeux et respira longuement.

La nuit était calme. Le bruit de la respiration de la fillette se mêlait au doux bruit des vagues. Une larme coula sur la joue de porcelaine de la gamine. Et… soudain, il se mit à pleuvoir. Un signe de Dieu ? Devait-elle être punie pour ce qu’elle avait fait ? Ce qu’elle avait fait… Quoi ? Qu’avait-elle fait ? Elle ne savait plus… Un trou noir… Alors pourquoi se sentait-elle triste aujourd’hui ? Pourquoi pleurait-elle ? Elle était heureuse pourtant non ?

La fillette ramena ses genoux sous son menton. Et elle commença à se balancer d’avant en arrière. Une jolie mélodie sortit de ses lèvres rosées. Une mélodie qu’elle connaissait par cœur… Mais elle ne savait pas où elle l’avait apprise. Le trou noir… Mais avant ses quinze ans elle avait bien une vie non ? Elle ne trouvait pas de réconfort. Que quelqu’un me sauve de ces pensées destructrices ! pensa-t-elle. Mais personne n’était là. Personne n’irait la sauver. Seule. Toute seule face à la mer et avec ses pensées malsaines pour seule compagnie. Que rêver de mieux ?

Elle recommença à chanter. Je connais la brumes claire la neige blanche et les matins d'hivers… Des gouttes de pluie se mêlèrent aux larmes claires, se mélangeant pour ne former que de l’eau coulant sur visage de la petite Isaure. Le tonner apparut alors. Un bruit assourdissant fit place au silence. Isaure n’entendait rien… des sifflements dans son oreille. Rien d’autre… Elle n’entendit pas le cri qui résonna. Son cri. Un cri de détresse, un cri d’une personne qui n’attendait plus rien de la vie. Un cri… qui soulagea sa propriétaire.

Isaure avait froid. Isaure avait faim. Mais elle s’en fichait. Elle s’en fichait ! Oublier. Oublier. Oublier cette souffrance qui lui déchirait les entrailles. Oublier cette douleur qui lui broyait le cœur. Il fallait que quelque vienne. Qu’elle oublie pendant une nuit…
Little Thumb
Little Thumb
super-vilaine
super-vilaine
HUMEUR : Mélancolique par certains moments
CITATION : Les adultes ne servent à rien... juste à vous faire souffrir inutilement

BOITE A JETONS : 0000

FICHE : Isaure Indya, une enfant perdue
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http://un-monde-a-part.forumactif.org/
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MessageSujet: Re: Oublier le temps d'une nuit [PV : Captain James Hook] Oublier le temps d'une nuit [PV : Captain James Hook] EmptyJeu 7 Oct - 23:51


Playlist : Des marées d'écume - Saez


La nuit était étrange ce soir-là. Les nuages, épais et mélancoliques, venaient se serrer contre la lune, étouffant les étoiles. Le ciel était d'encre, sombre, profond, torturé. Les pans nuageux venaient se mêler, se tordre en une danse malsaine et oppressante, comme si, à travers leur triste chorégraphie, ils tentaient d'avaler l'étendue impassible. L'air, nerveux et humide, était teinté de cette odeur si particulière, propre à la pluie, qui venait s'imprégner dans les narines, nous mouillant presque de l'intérieur. Le temps était à l'orage, et tout semblait prêt à exploser, d'une manière si terrible, qu'elle en devenait sublime. Les éléments, tendus, à l'affût, étaient au bord du déchaînement. L'océan deviendrait sûrement fou ce soir, et les vagues hystériques et violentes, viendraient inviter le bateau à une danse dangereusement délicieuse. Le vent commençait à siffler, claquant dans les voiles immaculées mais baignées par l'obscurité. La nature entière semblait hurler à la folie, à la démence.

Seul dans sa cabine, James Hook, silencieux, les yeux fermés, écoutait l'hypnotique mélodie de mère nature, qui, toujours aussi calme, faisait, doucement mais sûrement, gonfler son implacable courroux. Il adorait ce temps, ce vacillement dangereux entre quiétude et apocalypse. Cela lui rappelait son propre caractère, et il avait la sensation merveilleuse d'être en symbiose totale avec son environnement. Comme si lui, la mer, le ciel, n'étaient soudain plus qu'un, qu'ils se fondaient pour ne devenir qu'une entité unique et aussi belle que menaçante.

Sa main alla chercher la bouteille ambrée remplie de rhum, l'effleura, comme hésitant, joua avec le goulot un instant, puis la délaissa. Ce soir, il n'avait pas envie de boire. Cela détruirait la poésie dantesque de l'instant. Et puis, enfermé dans sa cabine, il ne pourrait jamais profiter du spectacle terrible que la nature allait lui offrir. Cette représentation affreuse, pièce aux allures de fin du monde, méritait bien qu'il soit aux premières loges. Il se releva, simplement vêtu de son ample chemise de toile blanche et d'un pantalon, ses cheveux détachés. Les boucles d'encre roulaient sur son dos, glissaient le long de ses épaules, et semblaient pareilles à l'océan qui bientôt se révolterait contre les hommes qui la profanent avec leurs lourds navires. Ses bottes claquèrent contre le parquet vieux et rongé, passant vivement sur le pont, ignorant les immondes porcs à son service, qui profitaient de la nuit pour boire et jouer aux cartes. Il quitta son bateau, amarré au bord de la plage, et ses pieds s'enfoncèrent lentement dans le sable lorsqu'il toucha terre.

Il fit quelques mètres, humant l'air hypocritement doux, mais s'imbibant de plus en plus de l'humide menace de la tempête. Une première goutte vint s'écraser contre son visage, et il ferma les yeux. Glacée, elle resta un instant figée sur sa joue, puis coula lentement, caressant sa peau avec une délicatesse presque féminine. Elle vint effleurer son cou, découpa la forme de sa clavicule, et alla se perdre sous la chemise. Elle fut vite rejointe par d'autres, qui se collaient à sa peau brune. La pluie battait contre son corps, le trempant jusqu'aux os.

Peu de temps après, alors que le ciel pleurait à s'en déchirer, une mélodie douce s'éleva, se faufilant entre le bruit sourd et répétitif des gouttes s'écrasant contre les récifs. James s'arrêta. La mélopée semblait magique, féerique. Elle coulait, évidente, aux allures de comptine. La voix était sucrée, douce. Elle avait l'arrière goût des bonbons interdits, qu'il chipait aux cuisines, et savourait avec le délice du crime, alors que la sucrerie lui collait aux dents et au palais. Elle avait l'odeur de l'enfance. L'enfance, cette immonde tumeur qui continuait de gangréner son cœur fatigué et aigri, comme un parasite toujours accroché, mais qui, s'affadissant jour après jour, refusait de disparaître totalement ou un tatouage terni par les années et le sel, mais brûlant la peau comme au premier jour. James Hook, et je ne le dirais jamais assez, haïssait cette odieuse peste, qu'était l'enfance. La période délicieuse de tous les droits, de tous les rêves. Et cette voix... Cette voix... Elle donnait envie de pleurer, de hurler sous la lune, sous la pluie, sous les ténbèbres. Il voulu soudain faire le chemin inverse, retourner en arrière pour oublier l'âge adulte, et la vieillesse, qui, même lente et sournoise, avait fait son oeuvre. Il voulu arracher cette peau marquée par les ans, ce corps, premier traître, premier ennemi. Mais il se contenta de rester immobile, comme figé par une stupeur douloureuse. Il y eut une pause, et la chanson reprit. James Hook ferma les yeux, partagé entre la colère et la nostalgie. Un gamin maigrichon, aux boucles noires et au grand sourire béat, avait semblé lui sourire, au loin. Et puis, la pluie avait balayé l'affreux mirage. Alors, doucement, les myosotis s'étaient refermées, comme pour effacer cette image rémanente.

Le tonerre éclata, impétueux et impérial. La voix fut écrasée par le bruit retentissant, et les yeux du pirate s'ouvrirent d'un coup. Puis, plus rien. Juste le bruissement de la pluie, et le silence de la nuit. Il avait l'impression de sortir hors de l'eau, ses poumons se remplissaient d'air, comme soulagés.
Ses cheveux n'étaient plus que des fils ondulants, trempés et collés le long de son visage, et l'eau glaciale le purifiait presque. Il se sentait aussi mal que bien. Cette nuit était si étrange.

Un cri retentit. Un hurlement terrible. Une fois de plus, un cri d'enfant. Celui de l'enfant seul, perdu, terrorrisé. Celui qu'il avait poussé tant de fois, la nuit, recroquevillé sous ses draps, terrifié par l'avenir, par son adulte de père. Son poing se serra. James Hook détestait que l'on ravive un peu plus la douleur de cette ignoble tumeur. Et, en même temps, mêlée à la colère, une jalousie nostalgique, empreinte d'amertume et de douleur. Les enfants, eux, étaient encore enfants. Ils avaient le temps, surtout ici. A Neverland, les enfants étaient libres. Et celle-ci osait hurler ?
La colère était froide, terrible, et en même temps, son visage n'affichait qu'une tristesse sans nom. Il se dirigea lentement vers la source du cri. Sous la pluie, la silhouette recroquevillée et impregnée d'eau, semblable à un petit animal mouillé, sembla aussi fragile qu'un vase finement ciselé. Le genre de vase superbe, mais qu'il est si facile de faire tomber. Et si tentant.
James Hook la détesta autant qu'il l'envia. C'était une adolescente. Il la jaugea un instant, silencieux, et les myosotis tristes.

-Qu'elle souffrance est si insoutenable, que tu ne peux retenir tes hurlements ? Demanda-t-il, assez fort pour qu'elle l'entendit.

Sa voix n'était ni en colère, ni triste, ni jalouse. Elle était fatiguée. Si fatiguée. Et la question était sincère. Lui, qui retenait ses hurlements, préférant les bras tendres et chaud, ou les carnages violents et délicieux, aux pleurs inutiles et acides, voulait comprendre. Pour mieux haïr, ou mieux s'effondrer.
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MessageSujet: Re: Oublier le temps d'une nuit [PV : Captain James Hook] Oublier le temps d'une nuit [PV : Captain James Hook] EmptyLun 11 Oct - 18:16

    Isaure ouvrit les yeux. Où était-elle ? Que faisait-elle ? Elle regarda autour d’elle. Du sable blanc, l’obscurité, et la mer… La pluie était présente également. Qu’avait-elle fait à l’instant ? Elle était allée dans son monde de building, de voitures et de gens croyant qu’elle pourrait oublier ses problèmes comme ça. Peine perdu. Cela ne l’avait mise dans une situation encore plus périlleuse. Ô ! Tristesse ! Que t’ai-je fais ?

    La pluie tombait encore… Tu ne t’arrêteras que quand je partirais d’ici n’est-ce pas ? Sale pluie ! Elle avait envie de crier ! Crier, crier… Crier jusqu’à ne plus entendre sa voix. Crier jusqu’à en perdre la mémoire. Crier pour que quelqu’un vienne la sauver. Crier pour oublier ! Oh ! La pluie pouvait battre son plein, elle s’en fichait. D’ailleurs, l’eau lui faisait du bien dans son malheur. Le tonnerre grondait au loin et Isaure ferma les yeux, se recroquevillant sur elle-même pour se protéger un peu du torrent qui tombait sur elle. La pluie lui frappait le dos. Mais Isaure s’en fichait. Isaure n’avait plus goût à rien.

    Isaure voulait disparaitre entièrement. Car elle se sentait coupable. Quelque chose lui déchirait le cœur en ce moment même. Elle en avait mal au ventre. Et elle cria encore. Elle cria encore voulant que cette tumeur au cœur arrête de la détruire. Mais cela ne marchait pas. Cela ne faisait qu’empirer. Et personne pour l’aider. Je suis seule et je resterai seule car c’est ma punition. Et les larmes recommencèrent et l’envie d’en finir devint plus forte encore.

    Soudain, la jeune fille leva la tête. Elle avait entendu quelque chose. Une bribe de voix. Elle n’était plus seule.

    -« Qu'elle souffrance est si insoutenable, que tu ne peux retenir tes hurlements ? »

    C’était une voix grave, une voix d’homme viril. Une voix vaguement familière. La fillette de frotta les yeux avec un bout de sa cape comme lors d’un réveil. Un geste enfantin et innocent digne fillette d’une pureté sans égal. Puis, elle remit sa tête dans ses genoux comme honteuse d’avoir hurlé et de s’être confiée à la nature. Elle tremblait. Des spasmes de sanglots la prenaient car elle ne voulait plus crier. Etant maintenant en présence de quelqu’un, elle voulait être seule. Elle ne voulait pas être jugée mais comprise. Qu’on comprenne sa douleur !

    Cependant la question l’avait prise de court. Elle ne s’était même pas entendue crier au début. Et pourquoi pleurait-elle d’ailleurs ? Elle ne savait pas. Elle avait oublié son passé. Elle avait oublié une partie d’elle-même. Et ça… c’était pire que tout. Alors est-ce que c’était ça cette douleur, cette souffrance qui lui meurtrissait le cœur ? Une douleur physique et psychologique. Comme si elle était enfermée dans sa tête et qu’elle ne pouvait plus en sortir. Elle était dans une prison et ne pouvait en sortir. Alors peut-être que c’était normal après tout. Peut-être qu’elle méritait cette douleur. Elle voulait sortir de sa tête. C’est comme si elle ne contrôlait plus rien. Qu’elle était impuissante au plus au point.

    Et les pleurs recommencèrent de plus bel. Elle ne voyait plus rien. La mer n’était plus, à la place du noir. Que du vide. Juste un trou noir. Et une tache rouge apparut alors. Elle en perdit sa respiration. Isaure ne pouvait plus respirer. Une peur panique la submergeait. Une peur qui lui prenait les entrailles et ne voulait plus la lâcher. Puis elle se souvint qu’elle n’était pas seule. Elle souleva la tête timidement. Les spasmes ne la délaissant pas. Et elle distingua un homme à travers la pluie battante. Un cadeau du ciel.

    Ses boucles brunes qui formait une cascade sur son dos, enfin le devinait-elle, lui donnaient un air d’homme viril. Ses muscles et sa carrure le rendait encore plus fort. Elle avait un vrai homme en face d’elle. Et bizarrement cet homme lui était familier. Mais elle ne savait pas où elle l’avait déjà entrevu. L’homme était simplement vêtu d’une simple chemise blanche et d’un pantalon noir. Cette tenue renforçait encore l’air terrible qu’il avait. La petite ne savait pas s’il fallait se méfier ou pas. Si cet homme était dangereux ou non. Elle ne savait plus rien… Et cette pensée renforça sa peur un peu plus. Elle avait besoin qu’on lui tende une bouée de sauvetage. Alors, doucement, elle plongea son regard noisette dans ceux bleus et triste de l’homme.

    Elle se releva prestement et courra vers lui. Vers sa bouée de sauvetage. Vers celui qui allait l’aider à oublier… Elle ne demandait que d’oublier… Elle courrait à en perdre haleine, la pluie lui frappant le visage. Elle était si fatiguée, si faible, si fragile. Telle une petite poupée de porcelaine.

    Elle arriva vers l’homme. Et le serra dans ses petits bras frêle. Elle pleura, pleura longuement, enfouissant sa petite tête mouillée dans la chemise de l’homme. Elle serra ses petites mains rongées par l’inquiétude mais avec la force des bébés. Elle n’était plus qu’une fillette qui avait besoin d’un peu d’aide. Elle étouffa ses cris dans la chemise du brun. Et elle eu la force de parler.

    -« S’il vous plais… Ne m’abandonnez pas… Pas cette nuit… J’ai besoin d’aide. »

    C’était une voix faible, une voix de petite fille innocente qui ne demandait qu’à être aider. Qu’à oublier. Et elle n’avait pas l’intention de se défaire de sa bouée de sauvetage. Isaure respira un bon coup, se détendant un tout petit peu. La petite voix de fée de l’innocente petite fille reprit.

    -« S’il vous plais… Emmenez moi avec vous. Juste pour cette nuit… Mais s’il vous plaît, je vous en supplie… Ne me laissez pas seule… »

    Et la petite voix fluette s’éteignit. La fatigue et le froid s’était emparés d’elle.

    Elle s’était endormit dans les bras de l’homme.
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