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Ce qui est bon pour l'un, est poison pour l'autre

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MessageSujet: Ce qui est bon pour l'un, est poison pour l'autre Ce qui est bon pour l'un, est poison pour l'autre EmptyJeu 28 Juil - 20:57

Ce qui est bon pour l'un, est poison pour l'autre


Malefique
Emerahl Lovegood
Ce qui est bon pour l'un, est poison pour l'autre Mini_110728085002134498
Âge ;
En apparence elle doit avoir un peu plus de trente ans. Enfin ça c'est juste les apparences.
Date de naissance ;
5 Août
Nationalité & Ville natale ;
Blue Blue Sea
Lieu de résidence ;
wonderland
Métier ;
Sous-lieutenant de la Septième escouade / sorcière
Préférences amoureuses ;
Bisexuel
Super-pouvoir ;
Emerahl a le pouvoir de contrôler le brouillard et la fumée. Cependant ce pouvoir possède certaines limites. Premièrement, pour qu'Emeralh puisse créer un brouillard, il faut que le conditions climatiques soient un minimum favorables ((humidité...). Emeralh peut contrôler l'épaisseur du brouillard, mais s elle veut faire un brouillard très épais il ne peux pas être très long. Mais son pouvoir ne lui permet pas que de créer ou contrôler le brouillard, elle peux aussi contrôler la fumer (d'une cheminée, d'une cigarette, d'un feu..) Mais elle ne peut pas créer de la fumée, il faut qu'elle soit déjà existante. Emeralh à tendance à se battre dans un brouillard épais avec des griffes situées sur toute sa main gauche, ressembleant à ça) . .


A calamar tapageur, Passions inavouables.

Il y avait dans une pièce sombre, entouré de barreaux métalliques une femme et trois hommes. La pièce était petite et carrée. Il y avait tout juste assez de place pour une table et deux chaises. Deux hommes en uniforme de police, portant des armes, étaient postés près de la porte. Ils devaient avoir une quarantaine d'années (en tout cas en avait l'air). Quant à l'autre homme et la femme, ils étaient assis l'un en face de l'autre. L'homme portait un costume taillé sur mesure pour lui, blanc et noir. Il avait l'apparence d'un gamin de vingt ans. Quant à la femme elle portait l'uniforme des prisonniers. Elle donnait l'air d'avoir dans les vingt-huit ans. Pour l'occasion la prisonnière avait eu le droit de se laver, mais ses cheveux étaient en pagaille, ce qui lui donnait un air de fille de rue. Cependant elle dégageait toujours cette aura impressionnante. L'homme n'avait pas l'air impressionné par la femme devant elle malgré leurs années d'écart et la différence de leur travail. L'homme sortit de sa valise un classeur avec plusieurs papiers. Il les éparpilla sur la petite table devant lui et commença à parler.

« Prisonnier numéro 666, Emerahl Lovegood, nom de code Maleficent. C'est bien vous ? » Dit-il d'un ton calme et posé. L'homme n'eut pas de réponse en retour, juste un regard demi amusé, demi effrayant. Il compris très vite qu'il n'aurait pas de réponse à sa question, son interlocutrice l'ayant trouvé complètement inutile. Il reprit donc la parole.

« Bien. Vous êtes en prison depuis maintenant plus de trois ans. La cause de cet emprisonnement est d'avoir tenté de tuer la Belle au Bois Dormant , plus d'autres infractions à la loi : Comme rejoindre des gangs, vol à main armer, agression et j'en passe. C'est bien ça ?» Cette fois l'homme reçut un « hum » en guise de réponse. Son interlocutrice jugea encore une fois cette question inutile, elle commençait vraiment à s'ennuyer. Son sourire était parti et elle regardait toute la pièce sauf l'homme qui lui posait des questions. Celui-ci nota quelque chose dans un carnet qui se situait devant lui, en plein milieu qu'un tas de feuille.

« Enchanté mademoiselle Lovegood, je m'appelle Emeric Jordan, je suis psychologue. » Cette fois si l'homme réussit à obtenir l'attention d'Emerahl. A l'entente de la profession de l'homme qui était assis devant elle tournée la tête vers lui, le fixant et, elle affichait maintenant un sourire telle une gamine venant de trouver un nouveau joué. L'homme remarqua qu'il avait enfin l'attention de sa patiente et en profita.

« Je suis ici, parce que le chef de votre secteur m'a appelé. Cela fait plus de trois ans que vous êtes ici et vous n'avez montré aucun signe d'une personne dangereuse. Certain se demande même pourquoi vous êtes ici. » Emerahl lui coupa alors la parole.
« Et vous avez pour ordre de faire un bilan de mon cas pour voir si je suis aussi dangereuse que je le prétend c'est bien ça, Emeric ? » La voix d'Emerahl n'avait pas perdu de sa douceur ici et, résonnait toujours comme une douce mélodie. Elle souriait toujours, finalement sa journée allait être plus amusante qu'elle le pensait. L'homme ne lui répondit pas à vive voix, mais se contenta de faire un hochement de tête. Il craignait la réaction de la prisonnière. D'ailleurs il n'était pas le seul, car les gardes commencèrent à s'avancer. Emerahl sourit de plus belle. « Et bien posez vos questions, je serais sincère. » Emerahl a toujours été sincère, elle ne mentira pas, même si ça permettrait de sortir. L'homme fit de gros yeux, quand il comprit que sa patiente n'allait pas mal réagir. Puis il avait l'air assez satisfait de lui, nota quelque chose dans son carnet et commença son interrogatoire.

« Premièrement, question toute bête. Pourquoi avoir tenté de tuer la Mademoiselle Lullaby? » Un nouveau sourire éclaira le visage de la demoiselle. Le souvenir de ce meurtre la faisait toujours sourire. De nature sadique, Emerahl n'aime pas s'ennuyer. Il faut toujours que quelque chose de nouveau arrive sinon elle ne le supporte pas. Tuer est un moyen comme un autre de s'amuser pour elle. D'ailleurs c'est même le moyen le plus marrent qu'elle est trouvé. Du genre sadique la demoiselle ne tue jamais d'un coup, mais préfère savourer la descente aux enfers de ses victimes. Bien sûr la police n'était au courent que de peu de ses meurtre. Pour le princesse Emerahl avait tout donné utilisant même son don bien pratique. Et maintenant elle devait expliquer pourquoi elle avait fait ça ? Mais c'était logique non ?
« Et bien c'est simple non? Lullaby a osé ne pas m'inviter au baptême de sa fille. Vous savez pour une fée, c'est très humilient. Tout le monde était invité, mais pas moi. Alors j'ai voulu me venger sur sa fille. Vous voyez j'avais une bonne raison. » Et oui il en faut peu à Emerahl pour qu'elle veuille vous tuer. Elle est assez impulsive comme fille. Son but dans la vie reste de s'amuser, de vivre comme elle le veut. Si elle a envie de vous tuer parce que vous l'avez énervé elle le fera. Mais elle n'est pas bête, elle prévoit ses coups. Emerahl, elle fait attention à ne pas se faire prendre quand elle tue. D'ailleurs le seul de ses meurtres connus est celui de sa belle-soeur. En même temps elle l'avait tellement énervé qu'elle n'a pas réfléchît sur le coup. L'homme frissonna en comprenant qu'elle pouvait tuer sans problème. Mais quelque chose le tracassait.

« Pourquoi ne pas m'avoir mentie ? Vous savez, en répondant comme ça, vous ne risquez pas de sortir d'ici ». Emerahl soupira, cet homme ne la comprenait vraiment pas. Pourtant, ce n'était pas difficile de comprendre Emerahl. Ce qui pouvait lui arriver, lui était bien égal. Quelques années de plus ici n'allaient pas la changer, elle sera toujours cette femme complètement folle. Pourquoi ? C'est simple parce que ça l'amuse. Elle se plait à être ce qu'elle ait, elle ne veut pas changer. Et puis une des caractéristiques de la femme c'est qu'elle est toujours sincère. Elle ne ment presque jamais. Si elle veut vous tuer, elle vous le dira, si elle ne vous aime pas elle vous le dira. Si elle aime tuer elle vous le dira. Quelle est l'utilité de mentir sur ce qu'elle ait, elle n'en a pas honte. Et puis elle ne supporte pas les menteurs, ceux qui mentent pour se cacher. Cet homme l'ennuyait vraiment, à ne rien comprendre.

« Et qui vous dit que je ne vous aie pas menti ? Si ça se trouve je n'aie pas fait exprès de la tuer. Si ça se trouve c'était involontaire. Après tout j'aurais bien pu inventer cette histoire non ? Comment connaître la vérité ? ». L'homme avait l'air perdu, il ne comprenait plus rien. Il ne savait pas comment agir avec Emerahl. D'un coup elle parlait comme au moyen-âge, puis elle parlait comme les gens de la rue. D'un coup elle était simple à déchiffrer, de l'autre elle était une énigme. Comment savoir qui est la vraie Emerahl derrière tout ce qu'elle dit. Les gens se pose trop de questions et elle en joue. Elle aime voir comment on la dévisage quand on ne la comprend pas. Elle aime voir les personnes chercher pour savoir si ce qu'elle dit est vrai ou faux. Elle aime voir les gens chercher ce qui se cache derrière son masque. Mais la vérité, c'est qu'elle ne se donne pas de genre, c'est qu'elle n'a pas de masque. Emerahl fait partie de ses filles qui ont une confiance absolue en elle. Qui dégage quelque chose de particulier, d'effrayant. Emerahl ne se cache jamais derrière un masque, alors pas la peine de lui en chercher un. Elle dit toujours la vérité, elle ne ment pas. Mais c'est tellement rare de trouver quelqu'un comme ça, que la plupart du temps on ne la croit pas. C'est ironique non ? Elle aime semer le trouble dans la tête des autres, c'est si amusant. Après un moment l'homme reprit ses esprits. Il essayait de ne pas se laisser contrôler, de ne pas perdre contre la femme devant lui. Ce qu'il ne savait pas, c'est qu'il avait déjà perdu. Il s'éclaircit la voix et reprit.

« Hum hum. Bien je vais croire ce que j'ai envie de croire. Bien donc je note que tuer ne vous fait rien. Et pour les voles ? Pourquoi voler, vous n'êtes pas dans une mauvaise situation si je ne me trompe pas ? » Dans toute la pièce, on pouvait entendre le rire d'Emerahl. Quel homme, toujours à vouloir avoir le dernier mot, à ce croire fort. Mais il n'avait pas compris, qu'il ne croira que ce qu'Emerahl avait envie, qu'il croit. Il n'avait donc rien compris à sa vie, le pauvre.
« Dit donc, je me demande si vous m'écoutez Emeric. Je vous l'ai dit non, je suis une sorcière. Vous savez combien ça coute les ingrédients pour m'entraîner ? Et puis une sorcière ne gagne pas super bien sa vie. Et si vous parlez de la fortune familiale, je n'y touche pas. C'est mon frère qui en a hérité. » Emerahl est aussi une personne qui possède sa fierté. Elle ne supporte pas l'idée de dépendre de ses parents, de sa famille. Elle veut réussir d'elle-même. Et puis de toute façon dès qu'ils apprendront qu'elle est une sorcière elle sera déshéritée alors pourquoi utiliser leur argent. Elle pouvait s'en sortir sans leur aide. Et puis voler c'était assez amusant, quand elle s'ennuyait c'était ce qu'elle faisait. L'homme nota encore une fois quelque chose dans son carnet. Allait-il la croire cette fois ? Surement après tout c'était logique qu'elle réagisse comme ça, si on la connaissait un peu. L'atmosphère n'était plus aussi tendue qu'avant. Emerahl en profita donc pour se rapprocher de la table et poser sa tête entre ses bras. Les gardes commencèrent à approcher, mais Emeric les arrêta d'un geste de mains. Il regarda les mains d'Emerahl attachées par des menottes. Chercha quelque chose dans tous ses papiers et l'interrogatoire reprt pour le plus grand bonheur de Miss Lovegood.

« Je lis ici, que vous tuez généralement grâce à des griffes que vont refusez d'enlever et que personne n'a réussi, à vous l'enlever et, comme elle est en or on ne peut pas la casser. J'en déduis que vous l'avez sur vous là, avec les gants je ne peux pas voir.On me dis aussi qu'il y a toujours des traces de fumée après votre départ, et que vous apparaissez derrière un brouillard. » Nouvelle réaction de la part de l'homme. Maintenant il s'intéressait à la façon de tuer d'Emerahl. Voilà un sujet que la dame aimait aborder. De toute façon ce n'était un secret pour personne, comment elle tuait. Emerahl leva la tête et, doucement pour ne pas faire peur tendit ses mains à Emeric. Cette fois il ne lui avait pas posé de question, il venait de relevé des constatations. Mais il attendait quand même une réponse de la part de la femme devant lui. Comme ce sujet l'intéressait, elle n'hésita pas à lui répondre.
« Exactement je tue grâce à des griffes que j'appelle« Yamaneko ». C'est ma seule arme en plus de ce brouillard épais qui m'entour tout le temps. Il est impossible de me l'enlever ou de la caser tout simplement parce que personne sais comment faire. Et pour ce brouillard... Vous voyez comme la plupart des gens ici, je possède un « talent ». Et bien je vous présente mon talent à moi, je peux contrôler et créer le brouillard et la fumée. ». Emerahl, on la trouve quelquefois folle parce qu'elle a donné un nom à ses armes. Parce qu'elle parle à sa griffe comme son animal. Et puis sont talent la rend complètement mystérieuse. Emerahl elle fait ça pour semer la confusion, elle fait ça pour faire peur à sa victime. C'est très amusant. Contre toute attente, Emeric, se leva et partit en adressant, un sourire à Emerahl. Voilà un homme qui a su attirer sa curiosité, même si ce ne fus qu'à la fin. Pourquoi est-il parti d'un coup ? L'interrogatoire était enfin terminé, Emerahl se mit contre le dossier de sa chaise, croisa ses jambes et sourit. Personne ne pouvait savoir à quoi elle pensait. Mais elle avait l'air heureuse, amuser. Vous l'auriez compris Emerahl, elle ne pense qu'à s'amuser, elle tue pour un rien, elle vole pour un rien. C'est une femme qui ne ment jamais pourtant on a du mal à la croire. C'est une femme qui a énormément confiance en elle. Elle laisse paraître aucune peur, aucun sentiment. On peut croire qu'elle n'a pas de coeur. Elle est folle et sadique. Elle n'est pas bête, mais impulsive. Et elle aime avoir le contrôle, et ne supporte pas être contrarié.


Miroir, mon beau miroir...

Comment es-tu ? Comment te vois-tu, dans ce corps qui t'appartient ? Tu es, ce que tu décides d'être, tu te montres comme tu veux que les autres te vois. Emerahl, que tu es belle, je dirais même magnifique, impressionnante. Je me souviens de la première fois où tu es apparue devant mes yeux. Je m'en souviens comme si c'était hier, mais toi t'en souviens-tu ? Je ne pense pas, laisse-moi te rafraîchir la mémoire ma princesse.

C'était au printemps de tes dix-neuf ans, au mois de mai, au moment où les cerisiers nous laissent voir leurs pétales roses. Tu étais si belle dans ta robe violette, tu étais si belle sur tes talons, qui te grandissaient de cinq centimètres. Tu étais si belle avec tes cheveux noirs corbeaux volant sur ton visage. Tu étais si belle avec ce masque qui cachait ton oeil droit. Je n'aie jamais compris la raison qui fait que tu caches ton oeil, tu ne me l'as jamais dit et, je ne te l'ai jamais demandé. Je me souviens, dès que tu es entrée dans la pièce je t'aie remarqué, d'ailleurs je n'étais le seul. Je ne sais pas si c'est l'effet de ta magie, où si c'est simplement l'effet que ta beauté procure sur les êtres humains. Mais à ce que je sais, c'est qu'à ce moment je volais bien mourir si c'était par ta main. A peine avais-tu mis un pied dans la pièce que tous les regards étaient braqués sur toi. Au loin, j'ai même pu entendre des femmes chuchoter, certaines t'admiraient. « Regardez comme elle est belle », « Vous avez vu, elle ressemble à une princesse.». D'autres (qui devaient être jalouses) n'hésitaient pas à parler « Vous avez vu ? Je suis sûr que c'est un vampire, une telle beauté n'est pas humaine. », « Il ne faut pas s'approcher d'elle, je suis sûr qu'elle est prête à nous tuer, cette beauté fait froid dans le dos ». Le pire c'est qu'elles avaient raison, il ne valait mieux pas t'approcher de trop près. C'est pour te dire Emerahl, je me souviens, des moindres détails. Je me souviens du fait que tu t'es arrêté le temps que l'agitation, dû à ton arriver se calme, puis tu as continué ta traversée. Tes pas raisonnés comme un chant de musique dans toute la pièce, on ne pouvait entendre que ça sous ce silence. Tu n'avais pas encore posé ton regard, tu te contentais te fixer le fond de la salle, là où le joyau se situait. On aurait dit qu'il t'appelait, on aurait dit qu'il t'hypnotisait. Tu n'avais pas encore remarqué que tout le monde avait les yeux fixés sur toi. Je pense même que ça t'était égale. Toi ce que tu voulais c'était ce joyau, si précieux à tes yeux. Avec tes talons, tu devais faire 1m75, tu battais le rythme de la musique, tes longs cheveux suivaient ton rythme. Tu ne leur avais rien fait de particulier, ils sont si beaux sans rien. Ils étaient bouclés, comme d'habitude, noir corbeau et, une fleur rouge y était accrochée. Tu y tenais à ta fleur, elle te symbolise, d'ailleurs tu en as toujours une sur toi.

Et puis il y avait ta robe. De la même couleur que ce masque qui cachait ton identité, te donnant un côté mystérieuse, il était lavande. Cette robe commençait par ta poitrine, elle était faite en tissus et, te couvrait les pieds. Ces pieds qui étaient eux habillés de ballerine violette à talon. Ta robe laissait voir ta peau blanche semblable à de la porcelaine. Tes mains étaient recouvertes de longs gants, montant jusqu'au pli de ton coude. Tu portes toujours ce genre de robe, elles te vont si bien.

Tu t'étais arrêté en plein milieu de la salle le temps que tout le monde te décrivent comme je viens de le faire. Puis doucement, une fois que les voix commencèrent à reprendre et, que le silence fut rompu, tu avais repris ta marche. Je me souviens que la première chose que j'ai remarqué chez toi, quand tu m'as frôlé, se fut ton odeur. La pièce où nous étions, était maintenant imprégnée de ton odeur. Un parfum de lavande. Cela devait faire dix minutes que tu étais apparu dans la pièce, que tous les regards étaient braqués sur toi, mais tu n'avais pas beaucoup bougé. Tu étais toujours là au milieu de la pièce, seule. Puis un homme c'est avancé vers toi. Tu lui as tendu ta main, qu'il s'est empressé de baiser. Tu ressemblais à ses princesses de compte de fée, mais en réalité du t'en ai pas une. Je pensais que tu étais là en tant que riche jeune fille, mais je me trompais bien. Ce qui me rassure c'est que je n'étais pas le seul à penser cela. Emerahl, quand je t'aie vu fixer ce joyau comme s'il était ce dont tu avais besoin, j'aurais dû me rendre compte, que ce que tu voulais c'était ce trésor. Plusieurs fois durant la présentation de l'oeuvre, j'ai essayé de te parler. Combien de fois l'idée d'entendre ta voix m'a effleuré l'esprit, comme un rêve impossible à réaliser. Emerahl, ce pourquoi je ne pouvais pas te parler c'était que tu m'impressionnais. Je ne sais pas si tu en as conscience, mais tu dégages une telle aura. Dès que tu entres quelque part, on est obligé de te regarder, par ta simple présence, où ne se sent plus en sécurité. Par un simple regard de ta part, on a l'impression que tu devines tout de nous, que tu es capable de nous tuer à tout moment. Cette aura que tu dégages, qui tourne autour de toi et, qui a le pouvoir de nous couper le souffle est simplement ta confiance en toi. Tu as tellement confiance en toi que ça fait peur. Tu sais, ce dont tu es capable, tu sais que tu peux nous tuer à tout moment.

Tu sais Emerahl, du jour où je t'aie rencontré à maintenant, tu n'as pas du tout changé. Tu es restée la même. Toujours aussi belle, toujours aussi impressionnante, toujours aussi effrayante, toujours aussi hypnotisant. Tu es au courent de ce que tu représentes, de ce que tu dégages et, tu n'hésites pas à jouer de tes charmes.



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Dernière édition par Maleficent le Ven 5 Aoû - 12:45, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: Ce qui est bon pour l'un, est poison pour l'autre Ce qui est bon pour l'un, est poison pour l'autre EmptyLun 1 Aoû - 13:19

Il était une fois. Et rien qu'une seule !

Loin de la ville, dans une cellule de la prison la mieux gardée du Royaume il y avait une femme. Cette femme avait l'air âgé d'environ une trentaine d'années. Sur la montre il était midi, l'heure de dîner. À cette heure-ci, un gardien allait venir apporter son déjeuné à la femme, qui refusait de sortir de sa cellule pour manger avec les autres. C'était une habitude qu'elle avait, depuis maintenant quatre ans. Cependant, aujourd'hui quelque chose vint troublé le trin trin habituel d'Emeralh. Aujourd'hui l'homme qui venait lui apporter son déjeuné, entra dans sa cellule, s'assit près d'elle, puis la regarda. La sorcière ne comprenait pas, mais cette situation n'était pas pour lui déplaire, elle qui en avait marre de vivre toujours la même chose chaque jour. Elle prit donc l'assiette en face d'elle, la regarda longuement avant de parler.

« J'espère que mon assiette n'est pas empoisonnée au moins ? ». L'homme eut l'air étonné de la question d'Emeralh, puis sourit de plus belle. Tout devenait de plus en plus bizarre.

« Non, ne vous en faites pas pour ça, je ne l'ai pas empoisonné ». Son ton de voix était calme et posé. Emeralh en conclu vite qu'il disait la vérité et, qu'il devait avoir de l'expérience avec les criminels, il n'avait pas l'air d'avoir peur d'elle. La seule pensée qui lui traversa l'esprit fut « Enfin un peu de changement. ». Elle n'hésita donc pas à sourire à son tour.

« Si vous n'êtes pas là pour me regarder mourir, pourquoi êtes-vous là ? Ne me dites pas qu'on a encore demandé à un psychologue de venir m'examiner ? Ils ont que ça à faire ici, franchement. » Emeralh avait maintenant l'air blasé. Que lui voulait cet homme ? Et puis s'il était un psychologue sa journée n'allait pas être très palpitante. Comme à son habitude, un sourire se dessina sur ses lèvres quand elle regarda l'homme en face d'elle. D'habitude ce sourire, qui montrait à quel point elle était sur d'elle faisait froid dans le dos. Mais l'homme n'avait pas l'air effrayé, c'était même le contraire il se mit à sourire, lui aussi. De mieux en mieux.

« Pfff, moi un psy ? Et puis quoi encore ? Vous avez de l'imagination ma p'tite dame. Enfin, je suis là parce que je m'ennuie, c'est aussi simple que ça. Et puis une nouvelle politique a été mise en place, un policier par détenue. Et comme on va devoir se coltiner longtemps je me suis dit pourquoi ne pas faire connaissance. Vous en dites quoi m'dame. ? » Cet homme était plutôt fascinant du point de vue d'Emeralh. Cela faisait longtemps qu'on ne lui avait pas parlé aussi facilement. Même si d'habitude elle n'aimais pas qu'on l'appelle « ma p'tit dame » ou « madame », cette fois-ci elle ne fit rien.

« Si j'ai bien compris je vais devoir me coltiner un policier tout le temps maintenant ? Comme vous dites autant faire connaissance après tout. Enfin, moi je m'en fous de votre vie, si vous voulez papoter et, parler de vous je vous conseille de partir. » Cette fois la miss aborda un ton froid et distant. C'était impossible de savoir si sa journée allée être ennuyeuse ou amusante, tout dépendait de cet homme en face d'elle.

« Pour être honnête, Madame Lovegood, c'est plutôt de vous dont je voulais entendre parler. On s'en fiche de ma vie à moi, elle n'est pas très passionnante. Mais, pour que vous soyez ici, vous avez dû causer des problèmes. Et si vous n'étiez pas dangereuse, on m'aurait assigné à quelqu'un d'autre. Et puis j'aimerais savoir ce qui fait qu'une si jolie femme comme vous soit ici, dans cette prison. » Un sourire se dessina à nouveau sur le visage des deux personnes présentent dans cette cellule. Si une chose était sûre, c'est qu'Emeralh aime parler d'elle. Et d'ailleurs elle est plutôt fière de tout ce qu'elle a fait jusqu'à maintenant, même de ses meurtres. Cependant, elle sera vraiment fière d'elle, quand la belle au bois dormant, sera morte, par ses propres mains.

« On me prend encore pour quelqu'un de dangereux ? Je devrais peut-être me sentir flattée alors. Enfin, donc à ce que j'ai compris vous voulez connaître mon passé ? Je vais vous le raconter, de toute façon je n'aie rien à cacher et ça passera le temps. Alors, par où commencer. » Emeralh se mit à réfléchir. Tout ce qu'elle avait vécus, tout ce qu'elle avait fait pour atterrie à l'âge de trente-six ans en prison. Disons que sa vie de délinquante a commencé assez tôt. L'homme attendit patiemment le récit de la femme. Celle-ci prit une grande respiration, se laissa aller sur sa chaise, regarda en l'air et commença son récit.

« Bon je pense que je vais commencer par le commencement. Mon vrai nom est Emeralh Lovegood, à une époque j'ai été une fée. Vous savez les fées qui apparaissent pour formuler des voeux lors d'un baptême. Oui, à une époque j'étais gentille. Enfin ça n'a pas duré longtemps vous savez. Je n'étais pas apprécié dans le Royaume et, surtout pas par la famille Lullaby. Même mes Parents se sont mis très tôt à me mépriser et, mon frère ne me faisait pas confiance. Dès toute petite, j'avais tendance à enfreindre les lois. J'avais beau être une fée, je ne comprenais pas pourquoi il était si important d'être gentille avec tout le monde. Moi je ne pensais qu'à m'amuser. Et puis j'étais différente des autres fées, je n'avais pas le pouvoir de bénir les enfants. Mais parents me rejetaient pour mon incapacité à être comme eux, à être une bonne fée. Quand j'ai compris que je n'aurais jamais leur amour, j'ai décidé de tout faire pour qu'ils me haïssent le plus possible. À une époque je faisais tout pour être à leur hauteur, pour qu'ils m'acceptent. Jusqu'à mes 18 ans je faisais en sorte qu'ils m'apprécient. Et puis quand j'ai pris conscience qu'un autre pouvoir se cachait en moi. Que j'étais capable de bien plus, j'ai abandonné l'idée de leur plaire et j'ai commencé à m'amuser. C'est à partir de ce moment-là qu'on a commencé à m'appeler Maleficent, la mauvaise fée. » Emerahl avait fait une pause dans son récit. Elle ferma les yeux un instant. L'époque où elle a été une bonne petite fille sage lui donnait un sentiment de peine, de tristesse et de dégout. Comment avait-elle pu être si naïve ? Il n'y a pas à dire elle avait changé. Alors qu'elle s'apprêtait à continuer son récit le garde l'interrompit

« Tss, la vie peut-être cruelle. Vous qui étiez censée être une bonne fée, Vous êtes née avec un talent démoniaque. C'était peut-être votre destin de devenir une méchante vous ne croyez pas ? De toute façon à vous voir, être gentil ne vous aurait pas plu, vous vous seriez ennuyée. » Emeralh ne comprenait pas. Maintenant elle le fixait elle ne pouvait détacher son regard de lui. Ce policier, cet homme qui défendait la justice la comprenait. Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Si elle n'était pas elle, la femme n'aurait sans doute pas hésité à poser des questions. Mais voilà, Emeralh ne perd pas la face, Emeralh reste calme, Emeralh ne doit pas paraître surprise par quoique ce soit. Alors, comme à son habitude elle leva la tête pour regarder le plafond, comme si elle pouvait voir à travers et, apercevoir le ciel.

« Mon destin ? Qui sait. Une vie de gentille m'aurait bien ennuyée c'est vrai. Enfin, continuons le récit. C'est à partir de mes dix-huit ans que Maleficent est née. Cette mauvaise fée, celle qui ne peut pas bénir, celle qui enfreint les règles. Au début je ne faisais que de petits délies, comme quelques voles, où juste des menaces, qui ne voyaient jamais le jour. Mais très vite je suis devenue une sorcière. Attendez, je me souviens plus comment je suis devenus sorcière. Euh... » Emeralh fit mine de réfléchir. Elle s'en souvenait, comment oublier la façon dont elle était devenue ce qu'elle ait maintenant ? Comment oublié comment elle a renié sa propre Race, sa propre existence pour devenir quelqu'un d'autre ? Comment pourrait-elle ne serait-ce qu'un instant oubliait ce jour, cette femme ? Oui, Emerahl s'en rappelait comme si c'était hier. Un bruit se fit entendre, l'homme attendait bien sagement que la femme lui raconte la fin de l'histoire. Celle-ci sourit, s'il était si impatient que ça.

« Oui, je m'en souviens maintenant. C'était le lendemain de mon premier meurtre, oui ça doit être ça. C'est pour vous dire, je me sentais si forte. Je ne sais plus, qui j'ai tué, ça devait être un homme qui 'arrêtait pas de se moquer de moi. Enfin, après avoir effectué mon premier meurtre, j'étais soulagé. J'avais eu peur de ressentir quelque chose de me sentir fautive. C'est vrai qu'au début je me suis senti mal, je voulais retourner en arrière, mais ça n'avait pas de répercutions. Personne ne savait que c'était moi et, personne ne se doutait que c'était moi. Même après avoir tué j'étais libre, j'étais si soulager. Un jour pendant que je me baladais dans Blue Blue Sea, une dame m'interpella. Elle m'emmena dans sa boutique de magie. J'étais encore jeune vous savez alors je ne connaissais pas vraiment les sorcières. En début elle m'a demandé si elle pouvait m'examiner. Et comme je ne voulais pas elle me menaça de me dénoncer auprès de la police pour le meurtre de l'homme. Je n'avais donc pas le choix, je lui aie laissé m'examiner, si je me souviens bien elle l'a fait pendant un moment. Puis elle m'a appris que je possédais un pouvoir incroyable et m'a même demandé de devenir sa disciple. Je me souviens encore de ses mots. « Ma petite tu possèdes un talent destructeur, il faut que tu apprennes à t'en servir. Acceptes-t d'être mon disciple ? » Vous savez, ce n'est vraiment pas mon genre de faire confiance, mais à ce moment je n'aie pas pu refuser. J'avais cette impression qu'elle pouvait m'offrir tout ce dont j'avais besoin pour être plus forte, pour ne jamais m'ennuyer. Maudite sorcière, je suis sûre qu'elle m'a jeté un sort à ce moment-là. Enfin c'est comme ça que je suis devenue sorcière. » L'homme eut alors la mauvaise idée de couper Emeralh dans son récit.

« Mais ce talent, ne parlait-elle pas de votre pouvoir de contrôler le brouillard et la fumée. ? » Maintenant il avait l'air plus qu'intéressé par le passé de la femme. Elle en était ravie, au moins cela prouvait qu'elle n'avait pas une histoire ennuyante. Si Emeralh n'aime pas s'ennuyer, elle n'aime pas ennuyer les autres non plus. Cependant, la couper pendant son récit n'était pas vraiment une bonne idée. Elle se rapprocha donc de son garde pour arriver à quelques centimètres de lui. Puis elle le regarda méchamment.

« J'y venais, pas la peine de me couper monsieur le garde. Franchement, donc comme je disais, avant que vous me coupiez la parole. C'est grâce à cette dame que je suis devenue une sorcière. Elle était plus âgée de moi, alors elle connaissait tout de la vie. Au début de mon entraînement, elle m'a appris quelques tours de magie, à faire des potions, c'était bien marrent d'ailleurs. Et puis j'ai appris à faire du balai volant et même du Witsh Board. Enfin les premiers mois étaient vraiment amusants. Elle m'a dit qu'elle avait besoin de temps pour comprendre mon talent. Au bout de quelques mois, elle réussit à comprendre comment mon pouvoir marche et m'appris à l'utiliser, ainsi qu'à me battre. C'est à ce moment qu'elle m'a donné ses griffes qui me servent d'armes. À partir de ce moment-là tout devenait de plus en plus dur. Je devais être calme quand il s'agissait d'apprendre les tours de sorcelleries et, vive, rapide quand c'était pour combattre. C'est pour dire que je passais la plupart de mon temps à m'entraîner avec elle. Cette dame m'avait recueilli sur son toit et je vivais avec elle. Les gens du cartiers pensaient même que j'étais sa fille voilà pourquoi je n'avais pas le pouvoir des fées. Ils ont beaucoup d'imagination. Mais vous savez, même si je ne faisais que m'entraîner avec elle, cette femme ne connaissait pas l'étendue de mes pouvoirs. Je me suis entraînée et, j'ai vécu avec elle pendant un peu plus de trois ans. Au bout de ce temps, je suis devenue forte et, bien plus belle que je ne l'étais avant. Et puis un jour tout bascula... » Pour la première fois, on pouvait lire un sentiment de tristesse sur le visage de la femme. L'homme ne dit rien, il se contenta de fermer les yeux, comme pour lui dire qu'il n'avait pas vu cet instant de faiblesse de la part de la détenue. Intérieurement elle le remercia, puis après une légère pose reprit le récit là où elle l'avait laissé.

« Un jour mon mentor, la femme qui m'a tout appris devint folle. Cela devait faire plus de trois ans que j'étais avec elle. Et depuis quelques mois elle n'était plus la même. Un jour, elle décida de me tester, dans un combat. Il nous arrivait souvent de nous battre et, à vrai dire je n'arrivais jamais à gagner son talent était de manipuler la pierre. Cependant, ce jour-là, mon mentor décida de faire un combat à mort. Durant ce combat j'ai était gravement blessé et j'y aie perdu mon oeil droit. Ce fut après une lutte acharnée que j'ai réussi à gagner. Ses derniers mots raisonnent toujours dans ma tête. Ils sont là pour le rappeler la dure réalité de la vie, ils sont là pour me remonter quand je coule. « Ne te contente pas de vivre, mais survis dans ce monde. Survis comme tu le veux, fait ce que tu veux et n'oublie pas ce que tu es désormais. ». Franchement cette vielle peau m'en a fait bavé jusqu'à la fin. Mais grâce à elle je suis plus forte maintenant, grâce à elle je peux enfin m'amuser comme je veux. » Emeralh souriait encore et encore. Certains pensent que ce sourire agit comme un masque, qu'elle cache sa tristesse derrière. Mais c'est faux, tous ces gens se trompent, tous ces gens sont con. Emeralh ne s'abaissera pas à se cacher, elle est toujours sincère. Quand elle est triste et qu'elle montre un sourire, c'est simplement parce que sa tristesse la fait sourire, parce que si elle peut ressentir ce sentiment, c'est qu'elle est encore humaine, derrière sa cruauté, son inhumanité.

« Et après ses trois ans, vous avez fait quoi ? » L'homme était toujours assis, il ne laissait pas paraitre ses sentiments, il voulait seulement savoir la suite. Pas part curiosité, simplement parce qu'il ne pouvait pas se contenter d'une fin pareille.

« Et bien après ces trois ans, j'ai commencé à m'amuser. Maintenant je savais me battre, je savais jouer de mes charmes, je savais utiliser mon talent, j'étais une sorcière. Alors, pourquoi je me serais privé de m'amuser. J'ai commencé à voler, j'ai continué de tuer. Et rapidement je fus connu sous le nom de Maleficent « la fée maléfique » ; « la sorcière noire ». On commençait même à avoir peur de moi, de mon pouvoir, de ce que je représentais. Les rumeurs sur moi, s'arrêtèrent quand l'héritière des Lullaby est née. Et puis vint le jour de son baptême, tout le monde était invité, tout le monde même les pires méchant du coin. Toute ma famille y était. Mais pas moi. ». L'homme lui coupa une nouvelle fois la parole

« Est-ce parce que vous n'avez pas été invité, que vous avez décidé d'empoisonner l'héritière? Vous, vous êtes facilement introduit dans le palais, grâce aux tours de sorcelleries que vous avez enseigné votre mentor. Puis vous avez commencé à semer le chaos lors de la petite fête et, c'est à ce moment que vous avez jette un sort à cette princesse, maintenant appelle « la belle au bois dormant ». Après lui avoir jeté ce sort, vous avez essayé de la tuer, mais vous, vous êtes retrouvé ici. Tout simplement parce que vous, vous êtes attaqué à plus fort que vous, c'est bien ça Maleficent ? » L'aura que l'homme dégageait avait changé. Il n'était plus le même, il en était presque effrayant. Mais comme à son habitude Emeralh garda son calme. Le fait que l'homme l'appelle par son surnom l'intrigua. Personne ne le faisait, cela serait reconnaître qu'elle était dangereuse. Mais lui, n'hésita pas. Qui était-il ?

« C'est bien ça. Mais je serais heureuse seulement quand j'aurais tué de mes propres mains la belle au bois dormant, Mirabella Lullaby. Je regagnerais mon honneur. » De la détermination, de l'envie, de la colère. Tous ses sentiments pouvaient se lire dans les yeux d'Emeralh. Quant à l'homme il sourit, il sourit de plus belle.

« Et si je vous aidais à sortir d'ici. Et si je vous donnais une occasion de la tuer. Me suivrez-vous Maleficent ? Votre caractère et votre pouvoir nous intéressent beaucoup. En fait, je ne me suis pas présenté. Je m'appelle Cheshire Cat, je suis le lieutenant de la septième escouade des épouvanteurs. Et je suis aux ordres de Big Bad Wolf. Ca vous dit de devenir mon second Maleficent ? »

C'est ainsi que la vie de Maleficent en tant que sous-lieutenant de Cheshire commença. Son but, était de retrouver les Lullaby et de leur faire payer. Et pour cela, elle servait Big Bad Wolf et Chesire, dans lesquels elle a une confiance absolue.
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MessageSujet: Re: Ce qui est bon pour l'un, est poison pour l'autre Ce qui est bon pour l'un, est poison pour l'autre EmptyVen 5 Aoû - 10:28

Bonjour :D petites excuses en chocolat - fondu ♥ - pour le retard. C'est d'une longueur honteuse, vraiment, mais je ne pouvais pas faire autrement ! (Au passage, ton avatar est super-cool *__*)

Il reste encore une jolie brochette de fautes qui bloque quant à la validation : quelques soucis d’inattention, on en a tous, mais là, il y en a de trop et des gros. Qui plus est, c’est une remarque qui t’a déjà été faite dans ta première fiche, la prolifération prouve que tu ne t’es pas relue (bonpatron.com aurait été un ami précieux aussi :°). Alors voilà, on a quelques exigences quand au soin apporté à la rédaction ici, et se relire c’est une obligation pour tous les messages (rp ou non). Cela demande quelques secondes ou minutes par post, ce n’est pas grand-chose, et si tu as des problèmes avec le français, nous t’avons déjà conseillé un site qui pourrait presque tout régler en quelques clicks. N’y vois pas d’animosité, c’est juste qu’après une première tentative, une première remarque, le fait que tu nous amènes cette seconde fiche toute autant bourrée de fautes – en ayant rien fait pour y remédier - ça ne fait pas très bonne impression… éè

Histoire de t’aider un peu, voici quelques erreurs qui reviennent souvent ;

Spoiler:

+ Quelques petites phrases qui sont à revoir. Entre autres ;

Spoiler:

Petite problème également avec ton don, comme tu le disais au début, il faut que les conditions environnementales soient réunies (à savoir, par exemple, que tu ne pourrais pas faire apparaitre de brouillard dans un désert) : du coup, le "je peux modifier la température pour que les conditions soient optimales", on oublie, naturellement. De même pour la formation de tornade parce que ça n'a aucun rapport avec le brouillard.

Concernant ta description physique, je reste un peu inquiet quand à tes futurs rp. Tu décris la demoiselle comme - pour faire simple - une femme super-méga-trop-canon-de-la-mort-qui-tue : veille simplement à ne pas rentrer dans "l'auto-complimentation" à outrance (nos personnages ne sont pas non plus des monstres de beauté qui envoûtent par un regard n'importe qui n'importe où) - bien sur, je ne te demande pas de faire d'Emerahl une demoiselle moche, juste de modérer ton amour pour ton personnage quand tu feras face aux autres joueurs - qui ne seront pas nécessairement séduits à en crever - c'est tout ♥.

Je ne comprends pas vraiment le passage "dès qu'ils apprendront qu'elle est une sorcière elle sera déshéritée". (Je rappelle que contrairement aux contes réels, dans l'univers de Crazy Tale, les sorcières ne sont point mal-vues, bien au contraire, elles restent dans l'esprit du premier pecnot venu des femmes généralement séduisantes, talentueuses quoi que secrètes et potentiellement riches - même si en réalité c'est loin d'être toujours le cas hein :°). Concernant le don de baptiser les nouveaux-nés, nous n'avons pas vraiment expliqué comment ça fonctionnait et je m'en excuse (on éditera l'encyclopédie dans la journée ô/) c'est un don héréditaire et, allèle récessif oblige (les petits plaisirs de la génétique ♥) il n'est pas présent chez toutes les Fées. Le baptême est un véritable business - comme expliqué dans le PP de Marraine la Bonne Fée - mais la faculté se perd de plus en plus et seules quelques familles de célébrité certaine en possèdent aujourd'hui le monopole. (Mais ne pas posséder le don n'a rien d'exceptionnel).

Autre remarque : tu vis à Verassoie, or, tu nous parles des Lullaby qui vivent à Malkins : il faudrait un peu éclaircir les relations que ta famille entretenait avec (pourquoi l'avoir invitée au baptême ?) vu qu'ils n'ont pas dû avoir l'occasion de se croiser souvent... Je précise aussi que non, non, les Lullaby n'ont certainement pas invité "tous les méchants du coin" Ô_Ô' Petit souci supplémentaire : tu ne peux pas avoir maudit la Belle puisque tu n'as pas ce pouvoir. (Fairy God Mother peut lancer des malédictions non pas parce qu'elle est une fée mais parce que c'est son super-pouvoir à elle, toi, tu as le brouillard). Nous ne suivons pas les contes à la lettre, tu peux très bien trouver un autre moyen de t'en prendre à la gamine des Lullaby (empoisonnement, vilaine potion à effet secondaire, ...).

Le dernier souci scénaristique, c'est l'intervention de la sorcière (et le fait que tu en deviennes toi même une ?). Ahem, le "je sens en toi un pouvoir destructeur" est un peu hors de propos (tu constateras qu'au milieu de tant d'autres supers-pouvoirs bizarres et détonants, faire apparaitre le brouillard n'a rien de bien dangereux). Pourquoi donc, une sorcière irait-elle engager une fée coupable de meurtre comme apprentie quand on sait que justement, cette communauté magique cultive le secret et n'inclut qu'en de très rares occasions des espèces concurrentes dans ses petites affaires ? Il serait dans ce cas plus logique d'inclure la mixité dans ta famille et prétendre que tu as des parents - éloignés ou non - sorciers en plus des quelques fées. Enfin, on ne comprend pas vraiment le dénouement de cette relation (le combat à mort).

Il faudrait que tu mpotes Cheshire maintenant qu'il est revenu histoire de voir si son intervention convient. Par contre, j'ai du mal à saisir ce qu'il viendrait faire dans une prison - sachant qu'il est lui même recherché - juste pour te rencontrer (et pourquoi se faire passer pour un policier ?). Il faudra sans doute revoir un peu ce passage de façon plus logique.

Un dernier petit mot - j'ose poser une petite question délicate - je me demandais si tu ne t'étais pas un peu inspirée de la fiche de Compote éè (la psychologie menée via interrogatoire, de même pour l'histoire, la prise en charge par une vielle sorcière qui lui apprend tout, l'ancien pouvoir qui concernait l'empoisonnement). Mais je me trompe peut être, ce n'était qu'une simple impression. >_<" (Je préfère avoir la conscience tranquille en te le demandant directement).

Dans tous les cas, j'espère ne pas t'avoir trop démotivée, je reste à disposition si tu as la moindre question ! Je te souhaite une excellente journée - ensoleillée si possible ♥ - et bon courage pour la correction.

Wallinou.
Walrus
Walrus
team steak haché
team steak haché
HUMEUR : Bweh.
CITATION : « L'objet possédé est heureux tant que son propriétaire l'a à l'oeil... »

BOITE A JETONS : 0000

FICHE : La Cabane à Huîtres.
NOTEBOOK : Le moule à muffins
VIE SOCIALE : La pêche à la crevette
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