"Il était une fois une petite fille de village, la plus jolie qu'on eût su voir ; sa Mère en était folle, et sa Mère-grand plus folle encore."_ Charles Perrault.
"Le petit chaperon rouge a été mon premier amour. Je sens que si j'avais pu l'épouser j'aurais connu le bonheur parfait."_ Charles Dickens.


Identité

Nom: PILGRIM
Prénom: Rion
Surnom(s): Le petit Chaperon Rouge
Âge: {en apparence} Vers 16-17 Ans
Date de naissance: {Jour & Mois} 19 Mars

Emploi: A monté une agence de détectives privés avec pour associés les frères Tweedle.
Ville natale: Candyland
Orientation sexuelle: Hétéro, même si, certaines filles pourraient la faire céder.
Don surnaturel: {Unique, original, "modeste"} Pour le moment je n'en ai pas la moindre idée. Je pourrais vous dire ça plus tard ?



Personnalité


Il fut un temps où Rion était une petite fille sage et innocente. Aînée d’une famille assez nombreuse, elle ne souhaitait qu’une seule chose : pouvoir troquer ses vieux vêtements contre un magnifique chaperon rouge.
Jeune enfant pleine de vie, elle était décrit comme au regard vif tellement sa curiosité était grande. Toujours à la découverte de nouveaux horizons, cet enfant tentait de garder le sourire face au triste sort de sa famille : un père n’ayant pas réussit a percer dans le métier et une mère, particulièrement violente.
Oui, Rion n’eut pas le plaisir de connaître une enfance heureuse. Mais pourtant, elle faisait tout son possible pour garder le sourire et ne pas sombrer dans la dépression.
Elle ne voulait pas finir comme ses parents, non, bien au contraire.
Jeune enfant déterminé a réussir, elle allait souvent voir sa grande tante Evy. Elle la gâtée et lui offrait tout l’amour dont elle avait besoin. C’est en grande partie grâce à celle que Rion parvenait a supporter ses parents.
Mais, le bonheur n’était que bien trop grand pour une pauvre petite fille appartenant à la famille Pilgrim.
Un beau jour, la petite enfant se promenait pour aller voir sa chère tante Evy, elle s’arrêtait par ci par là, pour admirer la beauté des bois. Elle s’y sentait en sécurité, loin de chez elle.
Par la suite, elle offrit à se tante le petit panier que lui avait donné sa mère à son intention : une tarde et une bouteille d’hydromel de miel de sorbier. Cela avait l’air particulièrement délicieux.
Ainsi, sans qu’elle le sache, Rion venait d’empoisonner sa grande tante. Choquée, elle l’était réellement. La jeune fille ne pouvait oser croire que sa mère est fait une telle chose.
Mais, tout ne s’arrête pas là, lorsqu’elle comprit qu’elle avait été vendu entant qu’esclave par ses parents, une grande haine naquit dans son cœur. Et depuis, ce sentiment ne s’est jamais estompé.
Avant même de remettre les pieds chez elle, elle fut violer par le lois des bois. Une honte pour cette pauvre enfant. Elle se sentait coupable … oui terriblement coupable. Etrange comme sentiment alors, qu’en fait, elle n’a rien fait pour ressentir telle chose.
Culpabilité qui la rongea pendant un bon moment, c’est pourquoi elle a eut du mal a porter plainte envers le loup mais, l’a finalement fait.
Aujourd’hui, elle ne vit plus dans la crainte comme autrefois. Non, en devenant tueuse à gages, elle s’est endurcie et cela lui a permis de défouler toute la rancœur qu’elle éprouve envers ses parents mais également envers le loup.

Déterminée depuis son plus jeune âge, Rion sait ce qu’elle veut et ne baisse jamais les bras.
Le sang, elle le connait très bien. Que ce soit le sien ou celui des autres elle en a vu couler suffisamment pour ne plus en être effrayée. A une époque, il était même devenue son compagnon le plus proche.
Mais, sa soif de vengeance s’étant adoucie, elle s’est unie au jumeaux nommés Dee & Dum.
C’est l’une des seules personne qui parvient a les contrôler.

Et oui, Rion est une personne dure et ferme.
Derrière cette apparence de petite fille pure, sa cache une réelle femme ayant vécu tant de choses qu’elle n’aurait pas du voir.
Endurcie, elle affronte la vie sans crainte. Et, pour tout vous avouer, elle compte bien tuer le loup. Sa vengeance ne pourra-t-être achevée seulement à ce moment précis.
Les ami/es ? Rion a bien du mal a se souvenir de ce mot. Petite, elle n’en avait que très peu et, sa carrière de tueuse à cage n’a fait que réduire ce nombre.
Dire que Dee & Dun sont ses amis, est une bien grande chose.
Rion est une personne méfiante depuis que sa mère et le loup l’ont trompé. Certains peuvent penser que ce manque de confiance est trop extrême, elle, elle s’en contre fiche. S’ils avaient vu ce qu’elle a vécu, personne ne pourrait penser telle chose.

Pour être franc, Rion ne fut pas triste lorsqu’elle appris que le loup avait réussit a sortir de prison. Bien entendu, elle va devoir le retrouver, mais elle est contente de pouvoir assouvir son désir de vengeance.
C’est elle qui doit le tuer et personne d’autre. Voici tout simplement ce qu’elle pense.

Rion est une fille compliquée, elle-même est incapable de vous dire ce qu’elle aime car, ses goûts et ses humeurs changent très souvent. C’Est-ce qui fait d’elle un personnage si unique quant on y pense. La seule chose que ne change pas chez elle : son désir de tuer le loup mais ça, vous l’ave bien compris.





Morphologie


Jeune demoiselle au teint porcelaine, autrefois, Rion prenait plaisir a se regarder dans un miroir. Aujourd’hui, elle se sent moche et salie.
Enfant qui parait innocente et pure, cet effet vient également de sa longue chevelure blonde ondulée. Souvent cachée sous son chaperon, elle ne l’enlève jamais excepté pour dormir et se doucher. Pour elle, cette étole est comme une protection. Il lui donne confiance en elle.
Le rouge. C’est sa couleur à elle et à personne d’autre. Même la Reine de cœur de fait pas le poids sur ce point là. C’est la couleur elle-même qui l’a adopté, le jour où le loup l’a abusé, le jour où sa maison devint rouge sang.
Si vous regardez bien ses prunelles à la lumière, vous pourrez y voir des reflets de la même couleur de son chaperon. Est-ce le nombre de meurtre qu’elle a commis qui leur a donné une telle couleur ? Elle-même ne le sait point mais s’en contente aisément.

Rion est également une jeune fille qui semble fragile par sa carrure. Très fine et moyennement grande. Sa taille n’est pas aussi élevée que de nombreux terrifiants personnages. C’Est-ce qui lui permet de jouer son rôle de petite fille modèle à la perfection bien que, aujourd’hui, presque tout le monde connait la véritable identité du Petit Chaperon Rouge.
D’une marche fine et élégante, il est bien rare qu’on entende la demoiselle arrivait. Ayant appris a se déplacer à pas feutrés dans les bois, elle est aussi agile qu’un petit animal en ces lieux. Chose bien normal, vu le nombre de fois qu’elle s’y est cachée étant jeune.
De loin, on la confond bien souvent avec un petit enfant d’un âge bien jeune. Il fut un temps où cela lui déplaisait fortement. Aujourd’hui, elle a apprit à vivre avec.
Pour tout vous dire, le visage de Rion est particulièrement fin et ses traits le sont tout autant. Un petit nez en trompette, des cils noirs et des lèvres rouges sang, un dirait réellement une petite poupée.
Quelle tromperie…

Oui, on peut dire que Rion est une jolie demoiselle mais elle, ne partagera jamais cette avis. Durant sa période de tueuse à gages, elle avait totalement arrêté de prendre soin d’elle. Portant des bottes en cuirs et généralement des pantalons larges, elle a remplacé sa tenue de guerrière par quelques petites robes ou bien des vêtements plus portables.
La raison ? Travaillant dorénavant avec les jumeaux dans leur agence de détective, elle est obligé d’être présentable lorsqu’elle sort en ville.
Rion ne doit plus attirer l’attention sur elle. C’est pourquoi, ses innombrables armes sont rangées soigneusement dans sa petite armoire. Bien que, elle garde toujours un couteau sous ses vêtements, attaché à sa cheville. On n’est jamais trop prudent.

Parfois de la tristesse, à d’autres moments un petit sourire narquois, les expressions sur le visage du jeune chaperon ne cessent de changer.
Peut être parce qu’elle a vécut tant de choses qu’il devient impossible pour elle de dissimuler tous ses ressentir.

Rion garde bien entendu, de nombreuses traces de maltraitance de sa mère sur son corps. Sa peau porcelaine a également garder les souvenirs du loup auprès de ses cuisses.
Quant à son expérience de tueuse à gages, elle lui a également abîmée la peau.
Mais Rion s’en moque, cela fait partie de sa vie.





Récit



Il est temps pour moi de vous conter l’histoire du Petit Chaperon Rouge. Bien loin de la version que l’on donne au petit enfant… celle-ci en ferait frémir plus d’un.

Lorsqu’elle naquit, Rion était un charmant petit bébé. Alors la seule dans sa famille, sa mère l’adorait. Il faut bien avouer que sa grande tante toute autant ( elle l’a nommé mère-grand ).
La petite enfant vivait encore paisiblement. Mais, bien vite, les ennuies commencèrent pour elle…
Ses parents, particulièrement heureux d’avoir eut leur premier enfant ne s’arrêtèrent pas à une seule petite fille.
Non, en plus de temps qu’il n’en faut pour le dire, Rion se retrouvait être l’aînée d’une famille de cinq petits bambins.
Bien vite, elle dû apprendre à grandir afin de pouvoir aider sa mère. Mais, bien entendu, cela n’était pas suffisant pour celle qui l’avait engendré.
Il s’avérait que plus elle vieillissait, plus la maman de Rion devenait difficile a satisfaire. A tel point qu’elle se mit a prendre le contrôle du foyer tel un Tiran. Elle ne laissait rien passer et les enfants n’avaient au aucun cas le droit de faire du bruit pendant les heures de sieste, chaque repas ainsi que les tâches domestiques.
Ce rude changement de caractère ? Il était sûrement due à la carrière de son mari. En effet, le père de Rion voulait devenir écrivant. Laissant son ancien métier de côté, il se concentra entièrement à cette tâche.
Mais, c’était peine perdue. A cette époque, très peu de gens passaient leur journée a lire des bouquins. D’autant plus que, Mr Pilgrim n’était pas du tout célèbre, ses œuvres n’intéressaient personne. Un écrivain raté … c’Est-ce qu’il était réellement. Et pourtant, il passait son temps a se répéter qu’il était le meilleur des écrivains de Candyland et que c’était le peuple qui ne reconnaissait pas son talent.
Face à cette situation, Rion était bien gênée et restait donc à l’écart le plus qu’elle le pouvait. C’est pourquoi elle passait de nombreuses heures chez sa grande tante Evy. Elle pouvait lui raconter ses rêves, ses désirs et ses envies : notamment posséder son propre chaperon rouge. Son grisâtre ne lui plaisait guère.

Un jour, sa mère demanda à la petite fille d’aller voir la tante Evy, de lui apporter une tarte ainsi qu’une bouteille d’hydromel de miel qu’elle avait soigneusement préparé à son attention. En chemin, Rion n’était pas tranquille. Elle entendit des bruits par ci par là mais ne parvenait a les identifier. Croyant que c’était son imagination, la petite fille continua ainsi de marcher jusqu’à la maison de sa tendre tante.
Lui donnant le breuvage et la tarte faite par sa mère, Rion lui signala qu’elle n’en voulait point : elle avait mangé de nombreuses baies avant de venir et ne pouvait plus avaler le moindre aliment.
Elle laissa donc sa grande tante se nourrir à son gré. Mais, bien vite Rion vu que quelque chose n’allait pas.
Evy commençait a se tordre en tout sens dans son lit. Haletante, elle s’étouffait réellement. La jeune enfant compris : sa mère désirait empoisonner la grande tante, sûrement qu’elle coûtait trop chère à la famille.
Affolée, Rion sortit en courant de la maisonnette, appelant à l’aide. Elle ne sut pourquoi mais trois hommes se tenaient juste derrière la porte :

«  Venez ! Vite …. Mère- Grand, Evy est entrain de mourir !
Vite vite vite ! Elle a besoin d’aide.
Venez m’aider ! Je vous en supplie !! »

Rion ne comprenait pas, les trois hommes ne bougeaient guère et ne semblait pas le moins du monde choqués de savoir qu’une vieille femme était entrain de mourir à quelque pas d’eux.
L’enfant décida de partir chercher de l’aide plus loin mais, les trois étrangers lui attrapèrent son capuchon gris. La traînant ainsi avec eux, l’un lui dit, un sourire sadique aux lèvres :

«  Tu es notre esclave à présent.
Alors cesse de geindre. »

Contrainte de suivre, Rion due abandonner a sa grand-mère à l’agonie.
Mais, le chemin de retour jusqu’au village ne se passa pas comme ses nouveaux maîtres l’avaient prévu. Ils rencontrèrent le loup. Rion frémit en le voyant : le loup était connu pour les horribles massacres qu’il avait commis mais, étant recherché par la police, il était bien rare qu’il se promène dans les grand sentiers.
L’horrible bête était déjà pleine de sang. Peut être, avait-il rassasier sa soif de sang ? Rion n‘en était pas sûre… mais eut la réponse bien vite.
Le loup bondit sur l’un des trois hommes, ils lâchèrent aussitôt l’enfant qui partit en courant se réfugier. Elle entendit tout, les cris de douleur des uns, la joie et le bonheur de l’autre. Pétrifiée, Rion ne savait que faire. Restant ainsi cachée pendant un temps qui lui parut interminable. Le silence finit par revenir.
Sortant peu à peu de sa tanière, elle ne vit personne. Décidant de rentrer chez elle, elle courut à toutes jambes et le choc fut grand : le loup venait de ravager sa maison entière. Toute sa famille… il les avait tous dévoré. Plus aucun vivant n’était présent.
Folle de rage, Rion ne désirait plus qu’une chose ne tête : se venger et tuer cet horrible personnage.
Prenant son courage à deux mains, se bouchant le nez et regardant droit devant elle, l’enfant entra dans sa maison et attrapa la seule arme présente : un faux. Intact, luisante, son père n’avait même pas eut le temps de la saisir pour sa défendre.

Décidant d’aller au village en recherche d’aide, Rion passait par les sentiers les plus sombres et discrets qu’ils soient: elle ne voulait pas qu’on la prenne pour une meurtrière avec cette arme si imposante.
Mais, la jeune enfant n’était pas rassurée, à chaque pas qu’elle faisait, elle avait l’impression d’être suivie. Depuis qu’elle était sortie de sa maison, cet étrange sentiment ne l’avait pas quitté. Et … ses craintes furent confirmées.

Alors qu’elle s’engouffrait dans un nouveau sentier, Rion s’aperçût bien vite que c’était une impasse. Elle s’était trompée de chemin.
Il faisait tellement sombre qu’elle n’y voyait rien. Quant elle les reconnut : ses deux lueurs semblables à celle précédemment vu; le loup se tenait devant elle.
Elle voulut crier mais il l’en empêcha. Tentant de se défendre, elle n’y parvint point. Elle était prise au piège. Pensant qu’il allait la dévorer, Rion se dit que ce n’était pas plus mal pour elle de mourir plutôt que de vivre avec ces affreux souvenirs.

Mais non, le loup voulait s’amuser. Il n’avait manger que des hommes mis à part sa mère. Il semblait ressentir un autre manque que celui du sang…

La douleur fut atroce. Chaque moindre mouvement du monstre la pétrifier d’avantage. Il la tenait de toute part, salissait son corps.
Elle avait mal, elle souffrait et ne pouvait appeler à l’aide.
Cette vingtaine de minutes lui parut durer une éternité. Une éternité qu’elle n’oublierais jamais.
Elle fut finalement sauver par un chasseur, le loup fuit en voyant l’homme arrive : il n’aimait pas être pris par surprise. Incapable de se redresser, l’inconnu porta en aide Rion, lorsqu’ils sortirent du sentier, le chaperon était rouge.
Ne voulant être accusé, le chasseur partit en courant, laissant Rion seule. Attrapant sa faux, elle partit en courant, s’éloigna de cette affreuse ville qui n’était plus sienne.

Au fil du temps, Rion devint une tueuse à gages performante. Une carrière qui dura six ans. Au début, réellement incompétente, elle apprit a manipuler bon nombre d’armes et plus personne ne lui résistait.
Sa peau de porcelaine était abîmée de toute part. Elle se sentait revivre en tuant toutes ces personnes. Elle se défoulait, extérioriser toute cette haine, cette peine et cette honte.
Rion finit par porter plainte envers le loup en tant qu’anonyme. Mais, les rumeurs circulaient à une telle vitesse que tout Candyland fut bien vite au courant que c’était elle la nouvelle victime.

En jour, Rion tomba sur deux étranges jumeaux au caractère bien trempé. Sarcastiques, ils l’étaient totalement.
Le petit chaperon rouge apprivoisa bien vite ces deux êtres. Elle les appréciait, les trouvait différents des autres. Dans leur propre monde, Rion décida de monter une agence de détective avec eux.
Depuis, la jeune fille a laissé ses armes de côtés, dans sa petite maison au bord de la forêt. Elle l’a trouvé abandonné et s’y ait installé.
Comprenant que pour le bien être de son agence, elle devait oublier un temps soit peu son passé de tueuse. Reportant des tenues plus féminine, elle enquête avec les deux jumeaux et se prépare a tuer celui qui vient de se libérer de sa prison.



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